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 5)8  O B S E R V A T IO N S   A S T R O N Q M IQ .U E S 
 . j i j  A Gwmac-Cruz fur kmême chemin  g j,  22  -01  02 
 À  la moyenne hautêur de toutes les observations  
 de Mr.  Godin  20  -oi  00 
 A'oo.  17 ACaraburity  extrémité feptentrionale  de la 
 Bafe mefurée dans la plaine de Taruqui  21  03  03 
 Ï3  A  Oyambaroy  extrémité Méridionale de  la  *  
 mêmêdîale1  v  ^  .'<•  v; 
 *  I  Sept.  26 Au Village de Taruqui  08  — 
 Les ^expériences  fUîvantes  furent faites par Mr. Godm & moi avec us  
 dé autté précaution;  car ' comme -il  eft difficile de juger dans la taffe on  
 vafe  o h   effi lé Baromètre,  quand la ligne Zéro de la  divifon dans le Ba-  
 Eométre éft 'au niveau  avec le mercure,  parce que celui-ci fait une ligne  
 c m h e ^ m  touchant î’inftrument ;  Mr. Gfadm mit-àmë demi;-damé „fur le  
 niéTeure  &  contre l’inftrument,  laquelle marquoit.la ebvifion avecbeau-  
 côup plus d*exa£litude.  Mais â-caufe de cette courbe il j  eut une  différence  
 d'e^ii Aligne entreles obfervations faites, avec lf (demi-dame & le»  
 autres,daquâle  étant  ajoutée  pour  que  ces  expériences  correfpondent  
 avec lesprééédentes,  on aura 
 g   5 y a o S   | |   •  •  0   .A æ  .«O  mis  .  ■  n   k s J 
 raarâtofa&As i  _ A  Carctbunt  y   ;._ ,i  d»  q  #»lq  v 93. 
 "-.'û  ïdéb  ;.sâS)jflb  „.•j  '  30 
 31 A Pambamarca une toile plus bas que le ü-  
 gnal  que nous avions mis fur  çette Mon-  
 tagne , 'pour la mefure de la Méridienne.^ *' 171 ®3  . ^4 
 . Sept.  7 Au lignai de  T a n la gm ......   *8  °9  99= 
 v  .  1;  r  A la? Haciendade Tanlagua  ,  -  . -   ft  20  11 
 1728. Oiïob.  ’  A  .Riohamhft.JSQ$£nne entre toutes les expé-  
 t  'ïiençesv.  ;^.  ' 
 1 7 on Mars  ‘ Alaufi moyenne entre toutes les expeuén- ' 
 '  :  ces'.;*&1;C C Ï v r : / ' r;,|  •  g a â p 'm 
 r  J v r i l  Au Cgnal de C h u f iy k  même moyenne t  ""17 |   fe9  
 Septemb.  A Cuenca le même-moyenne  ' J  !  9^  0(5 
 Don Antonio de üfloâ.^-flws M. M s  Bouguër-61  de la  Condamne les 
 g '  ;  ^spérknCAs^Jvïvmites. -,. -  ■ v •. • ~ 
 -Août  1 6  An fommet de la Montagne de Picbincba  
 r  Sefôl *’  A Quito  
 sjy$cCài ‘KàjàUîiïéç 
 î .g  1. P 
 ,  .21 03, 
 .  20. ■Çïs', 09,; 
 m à 03 04 
 18 09. 
 20 II 02 
 I»'* 
 01 03 
 ' %! 01 H 
 -> I7 ''" t©v eor 
 91 06 
 P- l  P- 
 15 II  OG 
 zo j .00:106 
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 '  * 7 P 
 E T   £  H Y  S  IQ.U ES.   Liv.  V.  Ch.  I.  99 
 «738* n É  i  24: &£Ëntbùru  ■  2,1  «3  03 
 .  Æ Pàmbàtiiiïc#  :  .17'  03  io 
 -  *  yMar*j  £& A-Pêcdgtttm  au!  jnèd'de  la  neige  de  la 
 rï  *  '  id  .05*  04 
 Juillet '  ï  é Auc  -'tôifés pi us bas  que le  fi-  ’ 
 ^  goal’ *  ^   ■  ■  id   09  0$ 
 :îj itMay  ''  iè'A Sinafdguàti  .  id   .02.  09 
 ■  É& A iGàmar,!‘ il'~!"'  ■  r'  ■■  ’ ° S   ;09 
 ■  Les  différences-des  hauteurs  du mercure dans le Baromètre d’un jour  
 à  l’autre dans ud même  lié#,  en  diffèrens  tenos,  furent  obfervéès  con~  
 ■ formément  à la Tablc lhivanté. ’ 
 - -   -  Aû^-Pétât- Gèêtàè * 2 j  Lignés  
 Guayuqkil-'  i f  "/ 
 ■  Quito  1  N  
 r^iIdobâmbà  f v^L  '  ■ 
 |  Ateufi-  •  r  ?  ;  ' V  'v' 
 Chufatÿ--  - —4  - 
 Ôm voit  dans ciBteè^Tàl^ô, ?e[üé'pjâdéÿdî^'’M„rqin.,Ê^bit les expé-  
 ïiences-étoieBtétev^',••moins  lés  3îfféfenCèsJé|bjéntTênfibles,  Alàfcfi ë-  
 tant plus haut  que  Guaygqiitlj  Quito -plus haut^ ^uMlaüfi, &  Ridbambd Sc  
 Chufay  plus  élevés  querj^aîi^,  &|eonféquemmei^que |es mêmes différences  
 ; font  Béahco up? moindres  fous  la^oné"  torride  qu’en  Europe,  vu  
 qu’on  a  trouvé  ordinairement  cette  différence  kl Paris de  deux pouces >  
 &  davantage,  D,’où  il fiiit que l’altération, de^la  pefanteur dé. j ’atmefphere  
 êft moins  confidérable  près  de'fEquateur qu^:Çqu|-3^. plus grande^ Latitudes  
 ,  &  encore tooiMs ftir les' hauteurà ^ue dansées.vallons &  autres lieux  
 profonds. '  11  fuit auffi què Tés éSpériences du Baromètre près  de ï’Equa.?.  
 teur  &   où rivage<dè*la Mer,  fe' peuvent  faire avec exactitude &  à une  
 ligne &  ï  près de différençé," '& à Ta  ‘à  2|  lignes 
 ■ près.  Ce  qui prouvë'que ïëè^"hadteürs ues^Montagnés '&  çollinês.tîPUvéés  
 ■ par  ce moyen, ne  font fufté^tiblês d’aucune  erreur que de celle qui „peut  
 provenir  de ces„ légères différences.  Et aÿaHt  dit qu’ils font moins Içnfl-  
 bles  près* dëri’Equateur qu’en de plus grandes Latitudes,  les hauteurs des  
 Montagnèsis’obtiendront plus facilement- près  de l’Equateur qu’en des plus  
 grandes Latitud^.*^0* 
 La  plupart  des' éxpërïéhéés "faites  fer'lë'  
 quêde-'-mércure  fe;ifôâtidn€‘îfà;  27 'poüces'ii^lignés,  
 iious  devons nous régler :  car quoiijûè celles qui ont, é té faites  à St. Lm'ù