.V OY AG E AU F E R Q U . Liv. H. Ch. IV.
C H A P I T R E I V, ,
dès IlesJfcjuan Ferrîàttdez. ^'‘■^ôyâ'ge de ces Iles à celle de Std.
'é;< J&riè', & de-ceUe^i à Id-Sap. de IkCohCèfûoü; avec des remarques
m *Juf lâ0ct^gaM^piësI^nts-f' les Mers dans -cette traverféeJ*
Es Il^s de J ^ ^ d^maK&is.r'a|xpattieSteïic :ÿap ]eur fituatiQû & leur
^voiftnagife'au dfepÿoàipe!4ê&^& ^ÎPBes&iÉBhc jat# acsmbrei de' déux.
L-’uné ^:eft.pl^;ây^t;dap;:s la jMôrivjQïKâ l’Qécidenc^ eft diflifigiiée'dê
Vautre par le nom addition^! de. ajsueraÿ qro|)veüte'dire. '^feàé^j ^ l’aütxe, qui
.eft ;plu|;|ïrèa de de^ksTserru ow-êè'la Terre.
L^.priemiei;e a‘uiî§,4iep^dé4ong^ëu.ri. facfigurb eft-ovalë^ c’eftqrrc)-
4>rement>% Ecueil ou une Montagne fijjït#es#^.la:fiiî!fece,-d^fe Mer,
'æ Rlefearpéê. qû’ elle, jeR, ipaççeffible- pïefjpe'de «pus lés côtés; Bu Ibitfmet
4e egttejMd^tagfleriï 4$la^-plu.fipurs.igïos,;jtorrôns^'.:ruh desquels' après
plufieurs la te d e s qu’il fait-fui^Tes rochers au SudrQuëû, de L’IIev le pïé-
-eipjte;dans la Mér àv„§Q :tahpdébf93ée.qu’on en. voit; l'écume à plus de
jtrois 'lieues; Selon;là&bùtesdo■D'm Ile. efh par fes w&bg.
.sariiin ra l’occident du iMéridien.deli^/<4^ii&ÿÊlonii]airriienne, à 3 deg.
.2,7pmipu Et. tous trouâmes, qu’il yyavqit 34, lieues jdbjil’lle d& Afuëra 4
.5feeHê";flg,V^ Tierra.
t „L’In d e lo^Tiejfa eîl.âî44pjieue.s marines-du Cap Homes. Elle a dans'
fa .plus grande. ®hgueur. dejlploà ,1’Què'ft 3 à 4.' lieues, & quoiqu'elle
-f^it^refqiie'„tout# ^co^yërfceadje Mont-agnesiv SÉfâj a de petites plainesfor-
hrii.es., par IqsHêlpafési que les;hautéurs4.ahrent ventre-ellés.' Il >y; a;, beaucoup
de Forêts: i& des Arbres d’un fort bo.n bois, parmi lefqubls il y en a qui portent
.«du, P-imfent- femy^>le..ài celuiyà&jÇ\iaÿa dans la»ify^elhl^pagne.
Baqs lès vf^ns* & furies Collines il oroît.une; Piaillé ou-Chaqme iemblable
À celle de l’avotnq^ plus longue la hauteur-d’un, homme.-. L'eau qui
,-çoule dqs.Montagpes eÜ très-Jaipê^fOEt ,legerey & pfppreà .guérir toute
forte-d’indigeftionj & àjexcitet l’appétit» Orf1 trouye dàUs Tlle même
•diyêfiles; fe^écps- dé- Chiens qu’on^y afmis par ordre; dès Préfidens du.. ChMi
& 'des ’V^feroïSi pour .détruire les.-Chévres-, & ôter cette reflource
auxEnnèmll, qui viennent^refaire-dâns eçtte Ile; mais cette précaution
«toit allez iniitiTeîi' vu là difficulté dlatteindJk lies- chèvres qui'font ftfau-
vages, <Si fi 'habiles à grimper fur les rochers les plus efcarpés., qu’il eft
m