Papibamaf‘oa-(0 ) &.'‘fTâîhptanârio ( 0 P» ;5<? 27
Sou&rayfeh l’ângliShôrîzonükl a'Gmfiùlo (E) ^
entre Tambamanurfà) & Tanhgua (D) 61 ■ 2Z
Réfte ràhgle kofizohtaT à Gttâpüfi) (E) v '
entré Tanlagua (U ) & Campanario ( 0 : h s ' 05*
AuqueT-.eii kjoûtant là direèiibii'-^récédente s » ■■d’o.-' ''hé
.Refte'dé Gukp. 0^5 Campl ($ du-N. a l’O. •- :v-.5. :'*59 44'
Catnp."CQ Cuicocba-$Y diù PsT.’ â-'l’O. 48 37
: CùicoâhaX4>) le Signai de Mira (*) du Nord à l’Eft;%4’M B ; ï 7
Et d& ee lignai l’oblervàtoifê du S. à l’O. - ; '8^ 15 l 3
€ H A P I T R E VI.
Dé jà dÿduiïïon des difîances entr^WtWàllèles des Signaÿx^ & dé Jeufrfé-'
“ duciïon à la Sffiffëtficïë'de la Méf^ <,
O* N k vk dans Je Chapitre V i de là, ^^ompréG,édènt#;la**in^Ede_
& l’analegie pour frpuver les difîances ençr,e des parallèles des Signaux
,iéurs;défiances horixqntales étant données, açrfi queLleurs^0,|]ÎJ3i-
fonsipar rapport au Méridien ; c’eft pourquoi ilfuffira maintenait de donner
deâéfuit^ qa^Uon Antonio de^ü^oa trouva par un fepobk^le Calcul, qui
réduit a la Table liiivaiïte^pour l’intelHgencè de laquelle i^f|ut^ioter que dû
parallèle de Guicocba T4) au Sigdai de M m (») on trouve ia r s * *fpwi&i-
fe^de Quelle, diftance on afouftrait i^ o ^ d o n t ce£ignaLfe;t*ôiive plus
au Septentrion'que l’Obfervatoire de Pueblo Vtejo, que de-même du Signal de
SurampâJteX*}#*-la^Tour àeyCueyça £0 on trouye-p^sS./Tp1 fiSHy« à
Quelle diftance on a ajouté J14. 853, dont ladite tour eû au Septentrion
de l'autre O^rvatoire.
Outre cela, duParallélçde TànlpguaÇD)
à eelui de BiçJànchaQy) il y a
-Et. de'celui de PicUncba:(bJ à
DoncdejcekPde Tqhloeg. (D) à celui <*ja; Cwaz-, Cp|; r
Oé celui dé^tàhlag. (D) à celui de GïiÊpuioGEJ|ontrouve
Punc de celui'de Guapulo (E) à celui du Coraz. (G)
£164,6. 749
;638
-3&7
148
m 7s* 239
TA-
*T A B L E^ÿps\Diflafijces entre les Parallèles
des Signaux Occidentaux de la
Méridienne.
Entre ceux de Puéblol{ P)éj.o àc^Cukqcfia^ 4 )
rÇuiçocha. (-4*;) & Çampmario,( <P)
i,■ Campanario (<p) & Guapulo (M)
- - Guapulo TE) & tl Corazan' (G)
(el Gorazan (G ) & Milin. ( ÎQ
B &\jÇbu!apu gN ).
| Chulapu (N ) & Chicbichoco (P )
; £bî$iïhocp\(P ) ,& Guayama ’(R.)
Guayama ( j l ) & 'Sifa^Pongo ( T )
. .Sÿa^Pmgp. ( T ) & Lanlangufo ('U)
Lanlangufo • (XJ ) & CbufalJ (Y )
Cbufal (Y;) & Sinafaguan (<#)
iSinafaguan ( * ) & Bueran ( y )
« Bueran ( y j & SuràmpalteL?rJui
Suramp. (*•) & l’Obf. de Cueiiça.
Ï I 95-7-
'2132.3-, 'éB È
8dr5,' 453,
,239
%^9
;To 70
iMMf - v S 1?
m & iL
12 13 C . 182
' 390
53.8
t-3-3 r 5i. 348,
ï»2£4
: 7W - .:,2ij3
9851. 644
Somme jp58î7iv ;t>8i
Cette Tomme eft la diftance entre les parallèles des deux. Oblèrva-
toires de Puéblo Viéjo & de Cuençà â la hauteur du niveau de
Caraburu , que D. Antonio de Ulloa fuppofa être de 1600 toifes au-
deffus de la fuperficie de la Mer. Cette fuppofitton s’écarte un peu du
vrai, mais ne peut certainement avoir produit aucune erreur confidé-
rable dans le. Chapitre IV. où elle a été employée , parce que l’excès
qu’il ÿ a eu dans cette hauteur équivaut à la fuppofition de prendre plus
grahd d’une quantité égale le rayon de la Terre, dans laquelle, 400
■ ou 560 toiles plus ou moins ne produifent aucune erreur remarquable
i^ans la réduSaèn des côtés à des lignes .horkontales. Mais dans le
cas préfent où; il faut réduire la Tomme trouvée au niveau de la Mer,
il eft géceflaire d y donner plus d’attention.
On a déjà vu dans le 'Livre V. où il a été parlé des expériences du
Tome II, Partie U , Dd Baro