homiques. Il paroît fans-contredit que la fécondé effcime nous donne plus,
de jufteffe ; vpuifque déterminant- le i Solftifcer à, -la même heure la plus;
grande ërreur ne'va pàS 3 PVÉS&jë conclusque'c’eftde celle-là que nous
devons" nous fervir.
Le Solftice étant arrivé fi près du midi du-2 1, la variation, en déclic
naifon, que le Soleil eut d’un tems à l’autre, n’eft prefque -rien, c’eft-à-
dire m=o: ainfi la diftance méridienne 4U Tropique du Capricorne au Zénith.
de Quito fera de 230 j j ' op?"
(xss^^scmsescmsesemsemsomsâscmsa^^sKsso^
C H A P I T R E 1 1 L
Ohferaation du SoIJlice d'Eté en 1.737.
LEs oblèrvations précédentes étant achevées l’Inftrument fut laide1
ï tout monté & dans le même lieu jufqu’au Solftice d’Eté 'fiüvant de
1737, qui fut obfervé de la même maniéré &avec les mêmes précautions
de cêtte façon.
Le 20 de Juin, diftance méridienne du bord feptentrional ;
du Soleil au Zénith 1 j;r; r:- ' ' - h - ; 230 44'57*
21 ■ ' ' r ............ '• 45-08*
22 ...4 4 5.6
23 " \ ’ 4 4 03
24 du bord Auftral' * j i 40
Depuis l’Infiniment fut reftifié également fur l’Etoile e d’Qrion, en prenant
à fOn paffage par le Méridien les diftanees méridiennes de cette Etoile
au Zénith, telles que les voici.
Dans les degrés externes par rapport à la Lunette
Le i de Juillet 1737 ~~ ' i° 22' 19' ; w. y i i \ p -. * p 27
5 * 5 . !rv ^ 29 <
7 I S S !
Dans les degrés internes
Le 28 te Juillet ■ - . eo' sV W k
./ r ' *~:'c r
3 dû Août ' ' 41
La quantité moyenne des quatre premières eft ' 1 ' 1 22 291
& des trois de la fécondé opération , 0 58 .3P1
' “dont
dont la demi-fomrne eft ' _ -, I *° 34 2
laquellè dohnè pour la corre&ion additive de la Lunette o n 55
•Si.l’on.veut auffi corriger les obfervations de la feçonde opération de
en quoi l ’aberration de la lumière'* excéda le 31 de Juillet celle du 4 ,
la quaStitîé moyenne de ces obfervàtïons fera alors de o* 58' 43*
& la démi-fomme ■ ' " J 1 10. 36*
laquelle donne pour correêtion additive de la Lunette | o 11 53 +
Cette correâiqn.eft moindre quç ee^du. Solftice.d’Hiver de 23 |LjgÊ
qui provienude ce qu’on avoit changé , pour les obfervations.de ce Sol-
ftîce, lès fils- du micromètre de la Lunette.
Il faut doïjc corriger les obfervations Solaires de ces *1' 53^, outre
les ro' que nous'donna lam^üvài^ dirpo/itionidu centre de rinflxumehtÿï j
ce qui fait une quantitéde 03^: & ainfi nous aurons les dites obfer- I
y atâ&ris’de1 cèke’forte.
L e 20 te Juin 1 ~ 4 '
' é t r o i t
i r j
P P p P I
&É jp |
| ''2,2’
I B Ü B i ' m m , ^ fl ■ _..
Outre cela,* en employant 15-' 47* du fêmi-diametre apparent linvant
Mr. de Louville & la même réfra&ion & parallaxe que dans le .(Chapitre i
précédent', »nous aurons les diftanees méridiennes du centre du Soleil au
Zénithcoînfrië les’ vbi'ci; ' 1
Le 2dde‘y«m 1^37 diftaûce Méridienne du-centre du-So-1
leil au Zénith
'■ •7 21 ■
a 4.1* 21?
4 I-J32?
411 2o!ï •
"39 28|.
' ’ 24 f f ' f * H H H E T \ » 1 ‘ À ' u l i '
Les obfervations du 20 & du 22 “étant prefque de la meme valeur, puisqu’il
n’y.a qu’une fécondé de différence, font^yoir qqe Je.Solftice -arriva
le 2$ à midi; parce qu’en ce cas * sa = 0 » à-ça»fe que b s - f f
■ C zsd: ce qui eft conforme aux Tables Aftronomiques, r
Le Sqlftice étant donc établi le 21 à midi, pour quelles, obfervations “
fuivent Ja, régie dont il a été. parlé .dans le Chapitre préeédeqt, .& quelles
varient le moins qu’il fera poffible, il faut les corrige: de cette maniéré.
‘Home JI. Partie I I. E O bfer