
 
        
         
		■Fig.  
 £ 5-  Plan. 7 
 236  O B S E R V A T IO N S   A S T R  O N  O M I Q_U E S 
 L ’équatiôn  de  cette  Ellipfe  eft  A1  zA x   x1 ',  fa  difference eft  
 A S d B  — A d x — -xdx; 
 done dx zz A*SdS  
 A —  x ’ 
 mak celte de féquatfon de l’ÉÎÏÏpfe eft x =   A  ±.  A  (*  — S2 )  f ;  '  
 done  *  ’ dx ~   'z^ASdS^-1— 
 Suppofaat maintenant  d x  conftant,  la  difference de  cette  dernière  équation  
 fërà égale  à Zéro, 
 c’eft- à  d i r e , $ 2^i—-S2)r— ddS 
 —  1 =   j 
 &  dîvifant par  A( i — «S* )  - 
 d& 
 reftera 
 - d d S =   
 Nous avions  auparavant  
 dx —  
 done 
 dxx = 
 +  A S d S ( v— Sx)  
 A1 & É f i 
 x— S»  '» 
 & 
 .. læ   •.  dS‘ Tk( A — i M m —f*aù  —•  ( 
 « I f  eft  bon d’avefrm avant de  contitiuer  le' calcul  que  ïï  K L  2*7„a’eft  fa  
 développée de l’EIlipfe, ou Méridien terreftrcjri - déffu's mentionne", *& qùë  
 P O — Tn foit une des minutes mefurées.,& U T  — Mrautrey.jèsp^^n-  
 diculaires  à la  fuperficiede laTerre aüÿ’estremités dés minutes, eotùme  
 OX,  P X ,   T T *   E7XfontRayoas dela Dév^qppéq^Xs^j Jes  Angles  
 O X P ,   TT  U  étant tous les deux  d’une minute  font; égaux, &  par  conséquent  
 les triangles  Ô ]?P\  T*TU  font' fémÜabfes,  &   leurs côtés- proportionnels, 
   e’eft -k- dire,  les  longueurs  des  minutes;  font  commit des  
 Rayons  de  la Développée  P T,  UT. 
 Cela fappofé, la formule du Rayon de Ta Développé?. en  fupppiànt d x 
 ■' conftant,  comme.noas  üvons  dît,'  etc — "v  dxftdT *   ’  ** je(;iiniettanc 
 dans  cette  formulederquantn^‘trouvéés préçeoe^ëni;»» i iô f  jjjf fe»  
 égalés,  on  aura  —— :----- ^------------>  n 
 qui eft la  formule du Rayon  de la Développée de FEllipfe, où Méridien* 
 a  On  déduit facilement  de  cette  formule  ce  ouï  a  été. die dans  une  note !gi| def-  
 fus  touchant  la  mefure  de  la  bafe,  favoir que  les -perpendiculaires  au - deflbüs. deshorizons  
 des lieux ,  qui. font.dans' un même Méridien & proche de .^Equateur.,. - 
 faut à nne  diftàncëexprimée  par A-  dont  la  valeur  eft lé  Rayon  de la Développée 
 en fuppofant S—i, 
 E T P  H T  S  I  Q.U E S.  Liv.  VII.  Sect.  III.  237 
 terreftre dans  le  lieu où a été  raefiirée la minute  M,  vu  que  nous nous  
 fbmmèSï- fërvi  dé  Ton  Qrdoaiiéeê -eorreipondante  S:  c’eft- à - dire  du  
 Rayon  U,T.*  -,  ^ 
 Pour trouver là valeur du Rayon PX on  n’a qu’à mettre s au Beu de 5   
 dans cette  formule,  <% on  aura  P X  —  & 
 AJ 
 . Cela.pofé,  &  ayant  démontré  que  ces. Rayons  font  proportionnels 
 aux minutes mefurees,  nous, aurons kyW-  vé-ï->i& x’S- Ê„Ê 1fâAk'él    ~ —m  : - 
 d’où l’on  déduit A1 —  (mf Sx— M\ s1} — M j— m{  4- m\S\:— AfjrÇ; 
 .donc A —  (-Mil H i 
 .qm  Formule pour trouver  A  égal  àu  Rayon de l’Equateur ,,  la valeur  
 dés minuïës  M &   m  étant donnée,' &  è'ü  fuppofant  le  Rayon ou  
 'ferai-axe"^  I.  -1' 
 |  iUoroUqkes.  : 
 1.  St  le‘.petit ,A|Ç pu minute m eft mefure  en E *,  c’eft - à r dirç à l’E-  
 quaçeur, alors fon  Sinus de IaTatitudé où  Ordonnée r~ o 3 &  la. formule  
 fe  'réduit  à 
 ^  i,  J3 f  M ( , r - m i   2  n 4  y - - s 
 A  -   v,  n f s ÿ  +  y 
 a.  Si dé  plus i ’Arc,  où minore- M eft mefuréè • en  B ,  c’eft- à - dire ,  
 au  Pol^'^fctèniiée S ,  au  Sfnus de  Ltytitad^ÿ s-.étant gn. ce cas.nlà  1  
 î^ette dernière JbrmufeIferréduit.à,. 
 m\ * 
 —  ï  : iA   :  .c’e ft-à-dire,  que  les  minutes, 
   ou degrés-du Méridien près dé l’Equateur &   du  Pôle,  font com-  
 ,me le, Gube  deJ’axe:de la Terre au  Cube du  diamètre de rÊquàtéur.' 
 ,  : 3 .   Si l’on ne  veut  que trouver  la  quantité  en quoi  le Rayon de  l’E-  
 cuateur excède  le femi-axe,  on  fuppofera  A  —  1.  +   Sj  &   nous  aü-  
 rons\ 4   —  1  +   2 S  -f-  S2;  §   négligeant  le  dernier  terme comme iü-  
 -finiment petit, vu que  le  Rayon de l’Equateur excède de fort peu  je femi-  
 axe,  refterf 
 . •  M4  ■—  mf 
 A1  =   r   *+  2$  =   «yrs  +   * î  ! 
 donc Mi 
 • Mis 
 2 ( ro| 5 -  —  iWf  * 
 Gg  3 4.  De