Baromètre , qoé' la hauteurde
„trouvée par lacfégie de ,1| ^dijatatioç. de -fai-r ,. eft de, 1 %oîfcs^ & que-
par la progreïfiôn arithmétique, elle’kit ’déterminée de Î283 T^e qui
ne s’écarte pas beaucoup de là tnefufe géométrique faite par M. Beu-
guer, qui trouva cette hauteur de 1214'toifes : c*eft pourquoi-Don Any
tonio de ülloa la fuppofa 1268 toiles & réduilit au niveau de'la Mer/la
fomme donnée, la diminuant de ce qui y correspond par ces làWtoi-
fes, dont il trouva la quantité 76. 485 parcetm analogie; le-ràydh de
la Terre 3269297 + 1268 e t à la fomme ig^&rf. d&ï :
comme les 1268, à ^ 76. 485.
Si cette quantité I > , <î 7^
e t foustraite de la fomme jj$ 195817. î ;o8Î,
la di tance entré les parallèles des deux Obfervatoires rudaite au niveau
de la Mer retera de • i smuO 195747. 596.
En fuppofant que la Êaïè de Yaruqui a 6274 toiles jutes ; mais
comme nous avons dit au Chapitre I. que M. Bouguer la-racourcit dé
9 pouces; il e t néceffaire de diminuer la quantité 195747. 596, en la
même raifbn que font-6274 toifes -avec 627,4 toifes— 9- pouces ; & a-
lors la véritable diftance entre les parallèles’ des deux ’Ôbfervatoire's de
Cuença & de Ptteblo f rétera dei9S743. 697. ce "qui ne diffère de
ma détermination donnée dans la'Sèêtion précèdente-que de '18. 3
toiles. '
Cette quantité étant fans doute extrêmement petite, nous pouvons
prendre uü milieu entre les deux déterminations & polèr, qu’il y a de
yObfervatoire de Cuença à celui de Ptteblo Ftéjo, toute corre&ion &■
réduftidn Faite, 195734* 547- toifes pied du Roi du Châtelet à Paris.