fâ ch e r de-le dégager.; Dans la: rapidité d&la:eQurfc.r^iôwfutrenverfés;-.
tiàîb!&'&‘# to :ro 0 # 6^ SA ,^ * oa^ pourtant pas mais il fut
jours à p&frVo*r éüxéialàiR : ‘-La M e Ÿavok.pris éniécharpé, d’un épai#,
f ■ rr,.:"- Jbj| /
-.... Comme ils font prefque. affurés de he;point manquer .leam'eQup, &. qu’il.,
faut qu’en ■ mettant 4e: lics>R(je me,fers de leurs termes) Jl.£erref & étpeip?
gne le fujet-quel qub‘1 &it , 'ils ont foin de poufier Je cheval à toute force,
mpyennant: qttoii ils ne.donnent pasle.tems de fe dégager, ne Liftent
anqm:iatâpyte:mwteryiCTie.'àieéSîi .faifit ^éïûrafoeiV Dan&leiff&qgje-,
relies - particulières, & dans leurs .duels, ils-Xefor-ve-npde- çe||laqs: & fe dé-^
fendent ateetjun.e.demi lance, qu’il? manient.auffi„.ayec. tant cUadrefte*J.
quLaprèSu-unJong. «combat dis' fe fépareppfàns aV0ir;pu..f’enlace^, & Japs
autre mal .que.quelques -coups défiance. Quaqd ils,jutent fe venger de,
quelqu’un, ils tâchent, de l’enlacej êîjjfjiyants5,qu ksfqu’j l p’gj| pj6^,fjirt
fes. gardes. Dans cesdfortes,de.cas, la meilleure; Xagon,d’;éy iter leur Goup
JOLc’eft en café campagne, ^c’eft deXe, jetter à terr.e;tout|fë^^ttg,' aus-,
fi-fot qufon voit qu’ils prennent le laget dans. 1§ main, & de fe,ypttir le
mieux qu’ompeut.po]ur ne point donner, dé prife. On peut auffqfo coleïj
contre un arbre,, ou une muraiüe fi^left dans, la rue. ,Quaij4 il? n-qnt pas
trente a .quarante'pas d!éfooulTe^fl%©#éufîiflent pas fi %efa^;u»e(<ÿ^an-
©e de dix à quinze pas eft déjà trop. petite,^ tnaiss s«i|s pajtejit de quaran-,
terou uafëûplus, il eft trjèa-dange^ew*, d!$tse‘le but oùüs yÿCent^.
. . Ç^Dac^ on I^agets. font. de^cjirsde'Ee^^cpupgXout att^ufe^efJa, peau,
de .l’animal; ils.tordent cptte-oeurroye, lial5@np^erft;^i^^§ la grais-
fer, & l’étirent fi bien qu’ellejne parpî-tpas jlfi^gf^^jquteî <f|4|t' dam.
demi - doigt, d’épaifièur. E-lfo ne -Lifte- pas^d’St^^ÿÿt|ÿ>u ilqÿ yfra gpint,-
de Taureau.qui la.puifferompre, .taùdisiquiune,-cQr4%de,c^aH.ÿfg beau-;
coup plus grofle ne faurqitfofifter y^mpétupfijé d’^m pareil apj'mal quand
il/git effort; pqur s’enfuir^,..
j De -dimat de ;ce|tp-Ville n’eft abfolument- point différent.du climat or-?
dinaire d’Europe,^ L ’Hiver ..y, eft plus froid, que dans.lqscPfovj$ces Mérfo
dipnalesd’Êfpagne,, ruais passant que dans lesPçovinc^s.Septentriqqaîés^
& l ’Eté eft à proportion. En Hiver les vents de Nord nçd’incommodent,
point, & dans l’Ete la chaleur du Soleil eft;tempérée par.le^vent de Sud,
qui rafraîchit, la terre &. empêche que les rayons du^ffoieif rie Ja pé-,
nétrent trop. La chaleur eft pourtant plus grande dans la Ville^u’à la.
Campagne, à caufé de la différente dilpofition du terrain où elle eft bâtie.
La campagne eft aprofée par diverfes Rivières, dont deux.font.aflen
ronfrrl érables X celles d’iÆmco-ôù déEioMdr -Cellijci-eft fort profonde,--
& à unedieue*au-deflus dedon embouchure.; elle a; bien fd e lieues de Lr-
geiou peu,islenif|ut.'lt .Ln Eté:onbpeuh;la paffer; à-'gué, mais non pas fans
danger, à-en^Hiversonrlalipaffe for» desJialzeq. , Les habitations des In-
Gentils jllét^dept.depuis.la-rivp.méridionale de’cçFleuveen avant.
A peu de diftance .de-jàXont-les Torts; de la. frontière, desquels il fera -
parlé plus amplement ei-après.. L'es campagnes de cette Jurisdiélioh font
des plaines--fort étendues ; ; car les Montagnes étant forrlèin à l’Cteient,-/
tout l’elpace jèntrei©Hes ,& fe? bord; deukt Mer?^forme un terrain aüÏÏi uhi
qd%y en aii& à-peine.-.yvyoitson quelques collines dans le lointain, qui -
fornbjent .n’être-Ià|que .pour, 4eyplaifir- de la -vue, que runifearraité de la -
plameipquprqit; ble-ffer. -
La ^nfopmitftj de ç.e, ,c]imatîav.ec..cel,m, d’Effagne produit la1 confôrmi- '
té?des Fruits.,, avec:la^fe,ulebdi^^éncecdeîFaBondanpe-, en'quoi ce Pays-
ci l^mpórfêt 'Lés^ik’bres §a tontelforteide Plantes y onnleur faifon, emtel-
lifient Jes:çhamps^&neftatfni pasmoîns. la-fvîié que le goût. On comprend
quelles faifons- doivent, être ici||l^èontraice?dp,Gel(les à’-Efpagnej & quer-
par-^onféquehtj quand fe’^ft;Hiver en?Efjxagnee ce doit.être ici l’Eté, &
l’Âutqnnerguand c;’e%Je Ermtê.mS.u L e Pays produit les mêmes fortes.de
Fruits, derSemences;& autresDf.niiées, jeineiéis pas quelles.Previnees
^éridioaalesv-d’Æ^Æ^f^puifqu’il n’eft pas propre pour les Cannes de Su- :
crëyi pour,-les Oranges, lés,■ Citrons & autrêsjefpéces femblables, ni pour
les Oliviers, .q'aoiqqfoa n’y manque pas,d’olives & qu’on- y faffoquelque
peui ditólej jq ne parle Iqïié-jdes,TxovinoesL du jeeÜtre 'de VÊfpagne, &
f%'lé?r'9^^LiiÇr5PPJte,.fiforti par rapport à l’abondance ,-qufon
regarde pomm^ une mauv-aifo-année ; -quand k’ recoltéïdu Fromèût nemend',
pâs.cen^pQur( un, & .de-mémcrà-.î égard dgs-, aiîtrgSlgrains, Voici une re- -
marque allez- finguiiere\^> je fis à^aJcaguana,’d Q m quart'
du-{jfetî^>api.'*bèrd-tde'. la -Mer dansûnîendroîtappelle el Mono.-'
Parmi pljBfieçEs --grains de>fi?omfiJn^uà'iy.,étoienfcvéHus XansmüUe-eultûre,
un- qui; d’une feule-- tige : peuffoit tant ;d’e'teutes que' l’orf comp- "
toitjëhjiaut-jufqu’à treneg’-quatré épies, dont les principaux aveient • enviro
n troî^ipouces de-long, • &Tqs. au tres jdeux iau moins.-Le Maître du jar->
din rpe voyant étqnné, me dit~qu!il ri’y avoit.rien-là qui dût me futpren-
dsf »> iÙj&ÙÙManPle^térres moins -cultivées' il y avait des tiges qurpro*^
duifofont cinq.%fix épiéÉchacune.., Ç’eftxé que'je remarquai mof-même:
dans hrfuite, ciùfprteBfflpcëffaid’admirer le grain auxÆente-quatreeVE
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