ET PH YSIQUES. Lir. VIT. S e c t . UI. z i i
s E C T I O N III.
Sur l’amplitude de l’Arc compris entre les deux Obfèmtoires.
, C H A P I T R Ê I.
B e / c r i0 o n de f In firm e n t-y te m m imaginâmes p u r fd r e M obfervatkns
Afirom n iqu .es t & ufage que nommfims+ï.
T a diftance en toifes entre les- parallèles des déuxextremitéS de la
. dès triangles, l’are du MérMéfr terreffre, étanreonnue,
il ne manquait pins, pot&idétehmher fa valëim du‘degré1; qùé de:d&
d # è la différence en latitude ehtre' les dites extrémités, ou l’amplitu*
de dù. même arc. Pour prâtiqüèr'dette' Opération les Académiciens
français apportèrent finftrament de douze piés de rayon , avec lequel
on firles dbfervatîons de l’dbllguifejde l’Èclfptfque qu On a vues dans le
Livre I. o& nous avons aüffi dohné la dëfcriptiôa du même infiniment;
mais comme ôn remarqua que la principale barre en étoit trop flexible,
dn jugea à propos de ne pas remployer dans ceS obfervationsici' qui
demandent une extrême délicatefle, vû que cihq fécondes cferréùf au-
ïoient- produit 2â; torfës dâfiS lâ mefüfe dir degré.. !’
' Comme cëf mftmmëàt é d it le feül qùe fo a eût pour les obfervatiôàs
de c2 | efpéce» & q«e neanmoins il fàllpit l’abandonner, on fongea 'à
en imaginer un autre qui nëfitrpas les mêmes débuts. Ce fut âduoi
M. Godin s’appliMaj il en cOfifiruifït un de Aô: pieds de rayon, qu’on
fôfpendoit â üfiè bôalë dë caivre'a'fférmîe aü‘-dèfîîis du centre , a fa
barre principale de jusqu'au limbe., \ N oW noos fervïmes
ue èet mftfuffienf pour lès ôbieivâtidns que noüsfimçs à Cuença M
m in , D. Monte de Üîhi & moi, à la fin d e \ ï ;ÿ a ; dans lesquelles
nous trouvions dont nous fbmès
wng-tems £devïnqr la caule. Jë/mmarqUai enfin quë le moutel
t l a R l t f f l fc njoyëa des yisqüi l’aflujettiflbient
pa ^ b 'a s n efou pas égal
oit ouïe de fulflnfiorî, a càuîe de l’extreme ïônguèur 3e finfirü;*
Dd a ment,