
 
        
         
		T A B L E   des difiances  entre  les pâéÊèles  des  Si&uatä^ ■ X&wfàtomïfo-hr  
 , fuite'des  Triangles réduits au Niveau de-h'Mer, 
 Entre ceux àe Pueblo  Fjiejoi  &   Cuicocha ( * }   
 v  '  Cuicocha  ( * )   &   Campanario  ( ç ) 
 Campanario{f) &   Guapùlo (E) 
 Guapulo CE) &  Corazonlfif  
 Cerâzon  (G) &  Miß« (K) 
 ^/lilin  (K) &   Cbulapu Q $ f  
 Cbulapu  (N) &   Chichichocd (P)  : §  C 
 ehïchïchoco (P) &Guayama( R) 
 Guayama (R) &  Sipf-Pongo (T)8  / 
 • C Sifa-Pmgo  (T )  &  Lanlangufo  (l^>: 
 Jumfongufo  (U)  &   Chufai (Y) 
 Cbufai  (Y) &   Sinafaguanf*) 
 ■  Sinafaguan  (*» ) &  Buèran ( v f   
 -  Jfoéra«  (v )  &  Surampalte («•) 
 .  Surampalte £■ ƒ ) &  l’Obferv. dé Cdenc« 
 Sommé  -T  tfyc,  T/  . 
 Cette Tomme eft la diftance entre  les parallèles  des  deux! Obfervato'ires  
 de  Puéh»-Vtejo âcPiQ  Cuenca ;  ou ladongueur'd&Tarc  du Méridien  terrestre  
 compris .en&e lesdits G^ëÉFâ^mes;. 
 S E C T   1. O N  S  E  C O N D E. ' 
 Déterminatiaa  de laMefureGéomêtnqueTeîbii lés O'bfèfvatibnS'  
 de  Bon Antonio  de.UJloß  . 
 ##*****«*»**W(MhM*****MW«****<Mf***»**>W!♦ ♦ *♦ ♦ •*♦ ********»!»•******♦ •***♦ ****•' 
 C H A P I T R E '   L 
 ,543  toifês 
 2131T. 36» 
 8646. 056’ 
 m m 033 
 18843- 
 :16363V '909  ■■ : 
 13119.: 843 
 6452- 203,. 
 12164-■ 901-7  . 
 ' I6 ? 3;2- ü l j 
 '288*', " 
 13314. 
 1^656. ^ 7 : . 
 .71:84. 656. 
 984§- 659' 
 ipmm* -397 
 Mefure  de  la  Baze fondamemtîe  de  la Plciïnè' de Yâruquj,  - 
 LE meilleur  moyen .pour'  s’afiurer  de la jùftelfe des  melures,  c*eft  
 de les réitérer prafieufs fois,  tantôt  d*ùn’e même méthode,  tantôt  
 ‘  d*uhe autre : &  tant qu’on* peut la  varier, ée n’eft- querihieux j  car  
 alors  on  eft  ftcr que  l’erreurv s’il y^ en. a ,  neyient  point.de  la méthode  
 qiA>n a d’abord mife en  pratique.  > 
 Ainïi,  quoique  dans  la  première  SeSion, nousayohs  donne  la melure 
 gde ïaa?gâ»diÆéri4ié»epfflftriâ: entr§||[sparalléles de Cuènca \§c die,PuebloFiejet  
 r  . fi eft - néceftaireïd§,'rious  ena&rerjrpar celle que :fit Bon Antonio de Uiloa  
 •.par. line  . différente  fuite  de  triangles  en • compagnie, de Mrs.  Bouguer & 
 * Je lÆondamm:^  ; 
 La  Baze fondamentale par  où ils commencèrent  la-mefure fut la même  
 .tpie la nôtre, &.Hs  la-, commencèrent,  comâie: nous l’avohs dit dans  la Section  
 ; précédente, k.,Çamburu, &  en.prenant lesmêmes précautions que nous  
 » primes'Mç.  GpdW: &  moi,  ;  • 
 -  iVdls  employèrent; d’abord ,  pour  le mianiment  des- perchés,Tes mêmes  
 .cheyal^tjs ^que  I#r.  Caffini'$écüt. dans  fauméfure  de  la  Terre'pag.  todî  
 , mais hie§tô|;îls. yitrouvereftt. les mêmes défauts  que ntuisÿ peu de folidi-  
 , f é b e a u c o u p  de.di^CdltéiÙ  leur  donner une  dilpofîtion  convenable, 
 J fteforte _qu’ils-v fqreht  obligés  de les .abandonner,  &   de, palier les  perches  
 4fur' le  terrain même,  mefurant onfuite  de  la même  maniéré que nous-Je  
 _ fai|iqns;t.^|©. leseheyaletS'de  Peihtrey . fans.. autre. difierenceque,. dans la  
 manière de  conduire ,Ja mefure' dans  la  dirêétion de  la 'Baze";jicar audiéu  
 fide l’aplomb  dont  nous-pous fprvîmés fikélevérenrttteuX chevrons B   ir-  
 . d’gù-pendoient deux  aplombs  ,GM,\  CJ\t  le.premier:  direélement  fur-le^^iv^^  
 piquet ,jE,  où  commençoit  la  mefure.  Un obfervateur fe  plaçoit avec  là  
 lunette derrière cet  aplomb,  pour ajufterles deux ..ap.lombs...a.yec  le..fignal 
 pks proche de  ceux  qoom^avoit 'plS'cé^  mr*laWze.  Enfûite’on"ten.-  
 doit une corde du  ptwuet JE aurpiquet F   fous  lodecorçd^ aplomb  ou  CD ,  
 de foitè  quelle reftt^ dirigée  érexaStement  fur ’la'Baze,  « leu r lervoit  
 à.y diriger  imm^ktemen t Jçs ,f penche s  &   .pour.pe  c^es-ei,, qu  aud-  
 ■ que autre accidfentyhe* puflent 'double^là-ooi'dq, ils eiirent la précaution de -  
 clouer les  longues  baguettes D,' quT&tènoient droite. 
 Çomme.jky.e^ain»m’el^  ni-horizontal,  ni  epJaétemêht- uni,, ils né pëü-  
 vofentrpas  tôpjpurs y-porter leurs perches,  c’eft  pourquoi  ils employèrent  
 Tes  ca.lès  Sc les'p^qu^s^au moyen,  desquels  ils  éleypient  les perches  au-  
 ^ tant qu’il fafoit,  &'j,ettoient les  aplombs,  >qui  fe  pjréfentoient  comme ©n: 
 ' yoit dans la  figure  i2„;, 
 Chaque  jour  fis  examinoiqgt^jla  longueur1 de-leurs; perches avec  beau-  
 ÇOüp^déToinj,  &   n’en  avoiept pas moins  à  les  garantir ^de  toute efpéce^  
 d’humidité &  de chaleur,'' 
 Ils mefurerent aulfi  géométriquement la petite ooulée, avep la planchette  
 &Te quart  d'e- cerclé;  &  prenant  tôj^e| les- précautions  imaginables,  
 ceft-a-dïre,  corège^nt,  Ieurs^ercfies ?!  lç§T.^ndurant  fxéfgiemment, avec  
 ;  une toife dé fer^Je^âllongeant, &  les lycoujciffant,  lèlon qu’elles étoient 
 Y affec