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hauteur correfpondante raprôs-midi, cela fuffit pour trouver le milieu
dans le Pendule. A-la-Vérité nouf eft prenions plufieïi^‘“afin <lue corn'
parant eè qui en rêfultoit,' nous puffions découvrir l’errêùr, s'il s’en 'étoit
glifFé quelqu une dans les obfervations.-1 ' '
' Dans le cas préfent, les fut hauteurs correfpondantes comparées don-
nentde véritable midi, cbtnnïe on le peut'voir ci-defToùs.
* 8h. 2 4? O s" 8b 2«? 17' ‘ 8h 28' SriM
gh 8b 32' i f -f~ 8b 34’' ' 3° tf
3 26 120 U 3 24 27 * " ,, 3 22 mà
6 55 5 5 ; 6 52 1 0 * 6 47 45
3 27 57J .3 26 05 3 ÈÉgf 52?
é à -*1 58 22 - i l M 'M k -—,.
'Ï1 eft aifé d’appercevoir quelles donnent toutes-midi, à une derai-|g:
eonde près , qui eft une exactitude des su s grandes-que l’on puiiTe .délirer:
or en prenant un milieu Arithmétique, entre toutes on aura midi
au Pendule à 11 hejùres.5:8 minutes 22* fécondés.. v. - * ' .
J’ai dit ci-deffus que le tems que le Soleil employé pour arriver lefoir
=à la même hauteur après qu’il eft fprti du Méridien, étoit, fauf une . petite
correction:qu’il faut faire, égal à; celui qu’il ipe^pom venir,de la
«même hauteur jufqu’au Méridien. Cette correCtion eft occafionnée par
le mouvement en décünaifon que le. Soleil a, depuis>lé moment que lpn
commence les obfervations,du matin, jufqifà .celui que l’on commence
les obfervations l’après-midi. L’explication & les particularités en font
un<peu longues.. Ainfi nous ne nous .arrêteroçs pçint -ici a u^ c f^ d e ?
dmmerfidns'i' dont il fera parlé,an long dans la fuitéi .Voici çommgnt il
fa u td §^ e r Je Midi troüfë préçédemaiâiË 7
- Midi tipnvé par des hauteurs correspondantes -11*58'22^
dbrrèCtion additiye J t I ■
Midi véritable • ' * 1 1 5 8 2 5
Dg là même maniéré le 13 de Mars nous prîmes des hauteurs correspondantes,
& après y avoir fait la corre&ipn^isdite, nous trouvâmes Je
vrai midi au Pendule à ■ ' : **^59 33
n rmmididu^ ■ v - . s.ti,58 ^5
Donc
Donc le Peudùlé dans les mêmes fept jours r . Kil ri. , oobp3/ dÿ'
& avanceroit dans unijour j ; tpi agfli . . chiiftf jp.OuOO-.aé^r
• La nuit avant lë jpl nous obferyâmes rémeriion du premier
Saitelîite de Jiipiter furies : m4 •*” 1 ' 11 38 ob
Depuis, dettê ‘heure jufqù’’au 13k midi, font ! 12 22 00
Durant lëSqtpjlës le Pendule à^âncéroitfiif le tems moyen :%o do. 13 f l
Pourtant^àu^inêmes 12b ^è^lè'tems moyen retarde du vé-
' \o o èb c ÿ i
Donc îè ^Peifdtiile âvançoit dans les dites 12b 22' furfle tems \ I
’> vérit^ble'feulemênfc • / _ ; ’ ! ?^;dP é l 044^
QuNlbùilmrtës du-mididu 13 j -■ ; > 11" 59 3^
Itèfteiit ' ^ _ . r< 11 59 284 ‘
Doiit lè'ébrtfplémeiït à j j heures eft ce-que ‘le Pendule re*
ô tMloit- àfl'heure de l’olifoéyation du Satellite’ '‘oo 3 11
Dohtc le vétitâble avancement du’Peàdùle en:fe|ït'j'oursde tems bd-soi dg
Dans ces' mêmes fept jours ‘le tems moyen’ retarde à1 l’égard -
0 dü véritable^- ^ w ^ o i ’ 57
Ce qui ajtfûté'fi théine* du Pendille, o^l’^erfîon fut obfervée ^ i x ’38 do-^
On aura l ’Heute véritable où arriva réniérfîbn du •premier ,Jj
Satellite de Jupite/ a n §8 81 ?
, NdUs“.fîme^éncOfe déjà même maniéré'diverfes obfervations^ des im-
ttierfion5'& des.émerfions des* Satellites de Jupiter", comme lés fuivantes
dans lesquelles lès heures qui y "font marquées foritles véritables r corri-
géès,com®ie dans rexemplé:préîétlifii?.
■ Obfervations des émerfions des Satéllitei'de faites' à Carthagêne
en 1735, par D. Antonio de >Wlloai!& moi,^employant pour celal’Annèàu
Aftxonomiqué, qui à-voit appa^léüfaU p©ii prendrédes ha®-:
teùrs correfpondantes & régler le'Pendule, & un Télefcope de Paris de
■ i-dl#ieds de Roi.
Hêuï.^ésobfeïv.
Juillet' 291’Atmofphèfè éta|ït utf’peu ÿpaiflfé , 1 % ■ -:|b 28' m
Août . 14 Le Ciel étant fort ferem
■ -T* H a i
18 l’Atmolphère pÈrefqu’imperceptiblement
épaifle' , 2 . . .3.° - 43
2i Le Ciel, étant fort ferein ^ . 08 m
45 1 id P
Octobre 15 rAtmofphèrë ùn peu épaifle •' Jbd- 58 33 i
22 - : 08 53 23
Tèniè II. Partie IL K En