fieffus du niveau jü Carabwug qui à déjàétfé- déterminé à ià&5 toiles àttî’
deffus de la fuperfieie. de la Mer,, ee qui pris enfembfe donne une quanti.)
té de 2935-toifesj qp un peu plus d’une licde marine-, .deforte qu’il ne pa*;
-roît _pas croyable qu’afte vivante,ait.jàffiaisïété slévée'à'pneplus rgrandc
hauteur. D’ailleurs il efi: certain que-dansJe tems que nous\étions funteC
fQttimèts des Earamos.,, logés fims des tentes de campagne, pour farmer la
fuite des trahie*/ de .k-;rM^dieime5;.,BoMLv%iàûs joürnelletóefoilesi
Buÿtres ou Vautours du. Pirow à joo ou. peut titre 200 tdifes au- deflus>
de nos têtes-, defortequ’ils .n’étcaèné. paslor t: éloigné d’habiter khautéurJ
ou le mercurejrefteà 14 pquçes,^ati-l’air a hné.doabfe:diktaïiën; Ge-qéP
prouve que dahs .d’air ,libre: il1 doit; y^voittquêiqdéieadeiïïïconnrój qui:
empêche-Ja Nature d’opérer comme .dans k Machine Pnemôatlqie^ 'Djcr
C H A P I T R E IV.
Autre maniéré de prouver, la hauteur des Mtmfagn^.j^fWe^r^ès du, '
'■ .' Baromètre'. ‘ ' J ‘1 " V T * - ,
N Qü^avoas- déjà refit,-que fes maöères,hjltót'c^6«l-qüF.^É^fê#<&:
r^® répandènt par fiatmolphere * en alterent'ordihairement le poids,
& en même: tems ne permettent pas à l’âir qui formé j ’âtniofphere de fé?
dilater à la rigueur félon la régie mentionnée dans de-Chapitre IL * C ’eft
pour cela-que quelques-uns prétendent qu’à peu de dtflance fie la fuper-
fide de la Térte, cette dilatation fe. fait entófomffi^é«e^ ilsluppo-
fent que les coudfes de poids égal qui divifènt Patmo^phere, Wdilatent
en progreffipn Arithmétique, chacune d’entre elles correlpôndàhé
à une égale augmentation ou diminution de hauteur du Mercure dans:
le Baromètre,::
Suivant cette règle M r. CaJJÎni a trokvé par fies expériences faites en
France 0 qu’en commençant dü bord de la Mér,' pöifr1 qhë- lé' m'ëréüre
baille d’iitte'' ligne dans le Baromètre, il faut Releverà la hâutéur de 60
piéds deRoi y pour qu il baille de .2 lignes à éo—l-fii j dé trois lignèé
A)|f âinfi dans une progrèlfion Arithmétique ,
donc fe premier terme commençant du bord de M Mef^ oùdè'mèrêéîë fd
foutieffi at 28 pouces ,-r-döit être doy- & l’excès des aattés'i : fuivahC
c ë k la fomme d’une ferie d’autant de termes qu’il y aura de ligïies
de différence entre lés deux- expériences faites en différeiis lieux, fera là'
m
•l’élévation d’dh-iSndscQÎ1'^lau-çdeffusfiiühiSW^éi. Des mêmél expériencesytyie
:fit -MÉi de k T o u r d e \
4uèlfesdilctf0uiïk<^ po»£es.!s? ‘iigfcpsdfe difféiMïCëv^madit^ fuivant: cette
Tégfe ï là hauteur de:k^bPtagn#iaU?delBiS'îdei k Sàllede
que de; 2 toifes, qui
.eff^puGceTqpîoisjpéïl1! pî;éten#e d’exaélitüdêaqiï
! -Le Peré Æmiïlk danslepremier.Tome fie foh Owiâg^immié Jtop,
Re j dâaéri k 1 pségreffibn: qu’ il.. Muiviie skas Hes expérienéesü qu/dlifii à *Ài-
ima, pour déterminer lès,hauteursioù^s’étoiü[fake>lfexpériehce;-du Baromé-
îrëàllaqueHq il-donne, pour premier, terme do pieds, ficpoiff excès 2, i :‘
Mfi. fëodin détermina .par les expériences quülfitiaufePé^Gtfaéàquek
pirogrélfion^ pôurr.ce .cfenâtîlàde vomavokrpour 'premier; lerme-y^pieds 6
pouces 41 -lignes, &pour excès des termes.ro.pouces-& ligne.
1 Mr. Bouguep pair les mêmes obfervations: -aligna pour prem'ièŸ terme
^g|) pieds| èfe.Rexcès .de 1&-pouces ; i mais • à Ibivîàrrîtêè au ^Rôyàiilne dé
fâuïm^ voyant, quercette progreffiohiimoonsypnoft pas, il enfionna-unè
autre dont le premier .terme iétoif 9g ppiefis' & l ’excès^ëp jf> dé' pîèd; Si
-l’on. appliquerles' unesfit lèâ:'autresiaûx bxpéïiëEîëeS-^'mélures'd'oniiées
■ dans laStabte précédente, ^ y*i*ra qu-ejies-ne s’y a'cberdëat! point..
•« =5 au p reh ilê r^ é rm e 'd e - lâ^ o g r é fiiô n r : S
z = à l’excès-dèsdits -tetmeis^
n f e qu nombre des, termesentrëde^deqx^xpqriençes j.dont-réjgyatipp
.-d’une û^tion au-dglîù^ de rautremefidé^^éométriquemqnt,,
m=. au" nombre Ueq terxp^ fptreAët^ q^tresriexpéçie^es, dont Dfleva,-
• ti-onid’une ffation au-d'elfus fil l’autre elt B.
Et nous aurons ces deujfëqëatèo'ns riM&lr'ŸfP'hzz AiJScmx—$j êi*z=ÏÏ.
Par k p f è f f i i ^ ^ '^7-. 'dont la valeur infroduite dans la fécondé
|â réduit(h'x =: ^ ^ l’oniîippôfe iTAiti, & Jt-^-B. ^
Pour kouv^.ajpréfent le^.valeursfiupçemier -terme x & de fexcés
il n’y a qu’à mettre atf-lieü^f», ,m,i A (Syü'les, quàht'ïSës coifrelpondan-
tes tirëfi&!dls éxpgïiênces la4 table précédente. ‘Si nous preàdri's’ par'
exemple celles-de'ÇaraburtîmbaraBumbamarca, rious aurons n = 48>
ïb= 74 , = 8g2,? & 5 =W(Sj 'd^oùipn.^qHélùrafife; ié. 51 toifes, ou
environ 99] pieds, ;& 2= 00-5} pouces.
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