9ô V O Y A G E A U P E R Q JJ.
eoupde Navires FrMÿtis foient entrésdans ces Mers, toûs ces voyage?
n’ont pas faffi pour lever la -'difficulté dont il s’agit, pour fixer-les tems
■ plus' -fiattes, & t e régtëî fur l a t e t e
oii l^n lè croùve en faifant route pour doubler ce M i l l É g «
être déterminé que par l’expérience & à force de voyages,„ Qeft pour?
«uoiiî convient-que ceux qui font cette route, ne:fe règlent point fur ies
cèlifaîis,- -parce-que moyennant que larLignedecLofedit la.longueur q f f:»
MÊreavoitlci-, c te à -d k e iy l pieds, & qu’onfaffe attenùon à l’liojlûge de la
ëëffii-fliiatttey lterreuï ducalcul^de la route fera peu de.éhofe,
due-différence prèsdn fituraxemH^ ona ^ïivé m^ibtement par l^ffep
dés courans , effet qu’on déduira de là différence qu’on trouvera-autems
ded'atterrage;- & cette différence t e un |ps défait pour
^ N * é t e pas poffibie;dedétermte:préfentement ,m_laquantité des cou*
fans, ni iéurs. période®,; ^ M M i M É I g f H
confiance certaine .-c’effiqu’ils viennent par l’Eft& qff ils portent al Oueft,
fitns ùtOl t e jaà^s arrivé de: éàangément à «et égard, def<»te..qu;oi*
peut, tabler te e ffu s , à moins qu’on ne s’approche fort de terre oijt.Ja
Mer fait divers détours; earve qu’on appelle Terre-df-feu étant un conii
pofd de plüfieurs lies qui forment divers détroits ou canaux, 4 f i t .tout
^ l ô %ué ® t e tem:giteent & leur dispofitiott les-eaux courent d ua
Dans m m m è m m S i
après dans ce volume, on voit qu ayant fait !a
près par la même Latitude que nous , quoiqu® mois p|us-tar4 ,-. nqp ei-
L ien t il éprouva d’autres tems & ffautres vents, mais meme il n y eu;
aucun coûtant, ,ce qui.prouve oe que j ’ai dit ci-devant fur ce.%et, ; , c r ,
: -.QuoiqHe' tes -Vtexp» Jouent dans ces' A a r^ f/ .te n t p o u r ^ ^
Mine Ouëft ou Sud-Ouëft, il arrivequelquefois qq’ils f^ eM p a r iL it,.
nous lésâmes tels depuis te 57 ^ S S^ SH SU
dre buitude pendant trois ou quatre jouis , mais ogfe P f p l p e ï t afiez
rare.' Les Vaiflfeaux qd veulempafferàlàMer du S&4 d « te -Æ ^ep^ au^
vents-de Nord-Guëft & a’OuëffNord-Ouëft ■Seaux autres
ffiaifes juûtt’à celui de &idtOuëft, lefquefc t e . e n .toute Y t e
génémux qui ïdgoeat-E fls. âÈiventlpcoiker des, premiers. pour .gagner M
- hauteur néceffaire-, qui doit* toujours être par de-là les do degrés, afin que.
virant de bord par le vent de.teOuëfi:, il y ait Merfuffifance pour porterie
Navire, fans être'obligé, ' le vent venant à manquer, de f icompen-ü
cer àù tteïLt de aueteues jquj? i augmenter ia é hauteur diminuée, qui efl
'... .. a i H . ..-aae
«ne corvée fa« defagréâblô en! tout tenjs, dans une ü pénible navigation ,
tant à caufe d.es tem p teq u i t e très-fréquentes, que par rapport â la ri-
eueuc du Climat & des. différente«: Mers comté lefqueltes U faut fouvent
b a t e e r r i l’égard du Climat,, nous^vbns vu quau plusjortde l’Eté la
neigé & tegfête tomfeoteaPf1emmfMES?£id§:f SÎYqr; Sp :quapt a la M er,
quoteU’eUe t e I I t o u i l l e W W j o p »
m t e m & s â
Snd-Qnëff QS0 i% 0 dfEfàtigue à nos équipages.
Deforte æ m w 'û fa M Mer ne
laiffe pas dtetrec9b«oudée,&.d’éieyer des lamesqui te.blent vouloir pngteu-
tir 1e Kayire; .& alors: le travail des équipages eft terrible , ayant à combattre
contre deux ùu troisMérs dff^entêfc.. y , : '
Depuis notrd.dépm
étionspar les 4s'deg. I min. la Latitude dé terminée psjr k.rojice ë «
avec la î-afoHdgpbfttyée’à * mps de^ijs jour
cette dernieré excéda toojoum &
journal f«iy^t>. Députe le 15 jtffqu’au 17 la Eatitpde o b te e e exffd?
celle deJà roütê i é iS n te : Dii 17 attÆferde 9? Du m ad
t e i t e f c a u é7 53 K B «?
au 6 20i.; Nous»étibnâ alop.par les iaffeg* d mitt # Q r te : dé■ &:<*?
par S m deg. 44 min- de Latitude, Depuis lm te
lecommeaeérentà s’accorder à peu dejidicîfe piès, la Lâtinde obtervée
étant quelquefois plus grande & quelquefois moindre que celte de k route.
-Da d a u 7,de:M«rj lâ di^nence ®ittde4l min. ^ n’eXc»da p o ^ temom-
:bre:de 5 ou. 6, dans fefpace de trois tu quatre jmns t e t f e paffej^it lâis
prendre hauteur.. Ainfi U paroît hors de doute qaê dès là hauteur de 4£
yjpp-, t y -min, les. eaux commencèrent âicqurir par lel.Sud,. comme ,
dèslque ta terré qu’d te IMs'Sieht leur manqua* c ite ^«oient j l
temtipas:,poffiMë^-.te_ ffiffiinguér. néanmoins 4>robftble que:tes
cour-ans étoient éffeftifs & violens erif, cette qccafion,, parce que tqutfs
,les eaux qi»i;cpuroiqnt.-par. ;dÇYfieflf patureltemçm; prendre la toute
de rEftj.dè^flu’eite ne trouvote pte;|q;.ifrre qui t e ,en,empêchât,
&>on pa^ celle de l’Puè'fl; qui -f to i^ côté d’où 1e vent fotifloit. *| ( o,
■. r ,p 3©;^ejv| 4 ^ f {||it par,te Méridionale,
-^fpte; ma du MeridieBide
fjgsy appai^ce porueeUeTle
la route tte àjffl imip. par }$ur, Mais te M-À 'Jwü*-
M 2 " . ' ' nous