84 O B S E R V A T IONS A S T R O N OM I QjU E S
eft C T («)=.£; & prenant GüTpour unè différence infiniment petites,
elle fera = dD ; & la différence des arcs C T ,C F z zd Mi moyennant quoi
■ nousauronsr tx s sdD :dÿes ~ ~ ; & auffi M-J * kÉ&..d Etâuzs'ïriB. , Met»
( - f
v - j dD; qui eft la formule que Mr. de Maupertuis donne dans fon
Ajlronomie Nautique, 6c la valeur de l’arc, mefbre de. l’angle M A P , dont
la moitié réduite au tems doit être ajoutée ou fouftraite du Midi trouvé
par les hauteurs côrrelpondantes, pour connoî.tre le véritable.
Quand x eft négatif, e’eft-à-dire, quand l’Aftré décline vers le Pôle X
il eft néceflkke de changer le ligne de la quantité ^ - également à
Cette corre&ion paroît clairement être nulle, quand dD eft=ê& c é quî
arrive fi le Soleil eft l’Aftre qu’on obferve , 6c qü’ihle trouve dans les Tro<*
piques, puifqu’en ce cas il n*a point de mouvement en déclinaifbn. Elfe
leiera auffi quand— - y -= o , ou
& comme il faut qu’il, foit fV à , fl-faudra suffi, poffifque fe corre&idn
foit nulle, qu’il foit X"* «S. Donc cela ne peut avoir lieis-dans les Obfer-
vations Solaires,, linon dans les lieux litués entre les Tropiques, quand Ife
Soleil fe trouve entre le Zénith du Lieu & fon Polè élevé.
La proportion r: a=X : S f montre auffi que ce qui rend cette correction
nulle en tout lieu, ne dépend pas feulement de k déclinaifon, mais
;âuffi-de :l’# gle horaire^
” Pour trouver le tems où elle le fera, il n’y a qu’a lûppoÆr le cercle ho-
Fig- a. raire A T X donné, T l s’élèvera perpendiculairement à CT , & égahà
'la-tangente de.la hauteurdu Pôle; tirez enfuite .C I G , 6c par G le parallèle
G F ; celui-ci coupera l’horaire à M , où doit fe trouver l’Aftre pour
que là correéHon fblt nulle. '
Si f on veut trouver par une latitude donnée 'tous les points M , noua
nous fervirons de féquation rS == aX ,: ou ur* • & comme
y
par l’eSenôè ducércfenoui avons y =a ( r r c e l l e - c i fe réduira à rS
(ri —x t ) 5”— i"ûX‘7 où S4 y* ta x i:, quièft l’équation de-la courbe
AÉ M î) , dbntdes, abfcifles « doivent; être, prifes lur C.j^, & les ordonnées
x parallèles à GAy dans laquelle toutes les fois.qu’on fera des ofefervations
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