%26 0 3 S E R V A T IO N S . A S T R O N OM ï Q U E S
Pour
Dift. ail Zénith dé Cuenea
- Puebfe V\éjo
Changement en déeliaaifon
Amplitude de l’Arc
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4 * 1
5 7 $6*
Selon celles, de D,
; -Mit. de Ulloa
t* g g 58" g g *
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► du Verfeau
Selon, mes me*
fures
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. 3 5<> .
Prenant un müïeu entre les trois détermina
lions nous aurons/ • / 3* 26* 53* ' - < 5» 2<S S I
Après avoir corrigé; tes ©Nervation*, qui doivent déterminer J’am-
pfitude de l’Arc, par raport au mouvement en longitude des Etoiles,
nous poavons auffi les corriger à l’égard du mouvement extraordinaire
qu’on a remarqué dans te*Etoilés, & que M. Bradfey attribue à Paber-
ration de la lumière, & nous pouvons prendre la théorie comme exaftc*
Car quoique nous avions Vu dans techapitre troifième, qu elle ne s’àecor*
de guère avec ce qui a été obîerve, il fb peut très - bien que les erreurs
des Ôbfervateurs aïeut fait confondre la différence des aberrations par*
ce qu’elle efl fort petite ^ ce qui n’arrivera pas dans le cas prefent que
nous traitons de la différence des aberrations qull y eût dans ïe| Etoiles,
dans les tems que nous obfbrvions % Ùtenta & à Pueblo Vrém
^ L ’intelligence de Cette-théorie, & Ta méthode *tie calculer l’aberra*
rion tant eiktitéde qu’en longitude, dédïnaifon & aftenfion droite, fe-
lonquufai dit au livre pvémier, fout admirablement expliquées dans
ks Mémoires de l’Academie dès Sciences 173?. pa* M. CMraud, Su*.
vanttla formule que ce Géomètre donne-pour trouver l’aberration- en
dédïnaifon, Je trouvai les iuivàfites
- Aberrations en déelmaijbn quai y eut dans Tes Êtoiks
■ * dKMon, | d’Amtihéüs & « du Verftau, m tèms
qu’on obïèrva k Cuenea & Putttù Tièitu,
A Cuenea on voyoit à la fin dTAoèt 174©.’Tes
Etoiles 'plus-an Septentrion que leur lieu vérf* p f *
-éabie-dè . . . . . ; | 8 I 7 . #
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A Put-
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E T P H Y S I Q U m m L i t MM Sect. HT.
A Paebl'e Fîéj0 à'Ja'fin d’Av rl 1744. on voyoit I
le s (E è o ile â " p îu s 'ia ü M id i q a é le u r H é u > ë rk a - ï. x t
ble * • * ..................... ..... l - i M , : ■ - • p *9 ‘ l j
Les Etoiles parurent à Cuença plus au Septentrion qug_ four lieu vérï-
tabte^M*? M diftapcef qu Zenith obfetvées four plus grandes ,que les
véritatjlesvdansia quantité de; ^aberration.
. : parurent plus au Midi à Puebk Fièje ; donc auffi leurs diflancea
obfervées font plus grandes que les véritables dansda quantité de lfober*
'rations » Il faut donc fou/lraire*J©s deux aberrations,de l’amplSdede
1 Arc ti -deffus déterminé, pour l’avoir corrigé quant à cette hypothè-
%, ofeü refteéa, alors. *■ J. -
Sëloil mes njefures.
3° M ,32' m
Ê datf S i* '
3 26 . •'.3? | ri^
3 - ■ J 26 . 39 ■ i Q5 ■
SeIon_ celles de Don Aniotoiv
de UUàë
3° 2 6 . | g®;,; 42i
'3'^ 2&, 47 I&J
i3 g<5 m
3 §2
Pour qu’il ne fe glifîè rien de défe&ueux dans^cètte circonftance particulière,
1 où l’onta manqué;d’attentaoir* noua ferons le calcul du chan-
gemént èirdéclteaifoii:., qui pfocçdef :de l’^tératkilî de l’obliquité
de l’Ecliptique ,:.dont,pous avons déjà jtraité affés;;au long dans le livre
premier. |
Pour cet, effet nous.i reprendrmis l’équation de la page 224.
r+ x z tp 2 rJ i c x = a 2 ez. a2 — r z- bz c z :
& fuppolàrit qüe x , a , & b, fotit Vâriâbléâ , fâhdis qu‘è lés autres
quantités font confiantes, nous prendrons la différence, & il refùltera
r* x d x +. t l b & d r3 c x â b cz a s* u^’d a — F b^ç d b*$
ma is.. . . | | a: = ddt: d b = * i mt^nna^t quqi en pofànt cette
valeur d *, dans t’équaion , {reliera en . . . . .'^sr+ s dis^&tod'x
_ '.ir <texd^Jj-%r„ ' £* ’ . <àst Éfo
~b‘ ~ ae a “ a + rz cz ad a. Süppofàrit maïntenatrè, qoë
le changemént de rbbitqtrffd'dè FEcîiptiqüe-foit d Ù, iSt M a ïd é la ^ 1
cliMifon oe rÉtpil| dD , pour introduire ces quantités dans réquation,
ïrws aurons, V‘ _*» onp itstu-u-mun-tiai;» 5> -a*--
comme auparavant dx tz 1^ *2& da — —d r r *
F f 2 moyen