qu’il devoit; & du^remier ordre ayant
mefuré géométriquement dam ces derniers tems plufieurs Montagnarde*
ptus ia â e s d trMrope, an^Èteffus du niveau de la Mer» nelés ôfit paà
trouvqés1 d’une, R a t io n j&rëifle à celle- là. , Enjeffet^ Mrr ^£ini%
qui'â;mefuré-ic|fé" de Canigpu ou ‘d é ’ Canîgo dans les'Pyrénées i ne Fâ.
trouvée'que de 1446 toifes./ Les plus hautes Montagnes d'Europe foqt
fans-contredit.’téMs. de. Svifle ; Rivant les [^renSfÆjfns^-Pw^^ikt
n, 406, celle qu’on'appelle Gemmi dans leC an to h d é '^ f
par fa hauteur, h’a que ié z s tôifes^ mefürée' géométriquement.. Seloft
je jP. FeiMÏlêeie Pic de Tênèriffe a âi'pg! toifes de haut, c£ qui eft'déjà
uné' élévation ïupéfîeure % celle de: toutes les ' Montagnes d’Ewropffj laquelle
pourtant n’égale .pas à beaucoup près celle de la. Montagne de Pu
çhincha, dont la hauteur doit paraître fur ce pied-là exceffive" à tous 'le?
Fhropems^ & ehcore"plus céüe du Chiniborazoy Montagne contihuellë-
ment couverte de neige 8c proche de la Ville de Raobamba, qui fëlon moà
'calcul à ,3380 toifes de haut, qui font beaucoup plus d’une lieue mariné-.
L I V R E
L I V R E s I X i e m e.
De la Viteiïe du. Son.
t *C ï î A . Û(P I T rR E : J .
Des Expériences féitesljùtxe fajet..:
T f ' pus l'es P^^^i'convieMeht‘générale qiie lé fon jfe ïf autre
^cliofé quelle mbuvemëiit^ou lesTibrations d’un corps" fonore^
, .qui c-ommiiniqnant_ fon mouvement au Fluïd.ç .qui -l’enviromie,
ÿ^dktiitë HëS Ôrides'qui mluccéàentiés unes aux autres',qui s’étendent cir-
culairement, & qui 3Ûeradhïn^^'WD^U|éfdé'rdd&i..^'L’ejçpérien*
t i fait vÔîf,!qaè'lé'’mouVemenf_de ^S;Oüdes,]n’ëlJ; pas fiiBit, (mais pro-
greflif ; puisqueda^perfonne la plus proche du cbrps fonore entend le fon,
â#ttt£ VéluT-qman éteins! âmgnéU, p p p | i a vitejfeA|jK,s ondées: que
housu de difcius,-
iion cdnfîdëmh?^ entre Jes?P%ykciènf, & fur lequel ils ont. fait aulîi diver-
dÉfoi ^uVa^l^i^^cëà^çÆ^,Té plus amplement
, &.ayçc!la plus ^anp*ex^Müâ^; c’eft Mr. Derham,. comme on _
le^peut* vm? daâs l e s . y. 313, où ü propofe les
dîffi cm tés Tûiyâptqs. ■ ,
f. pùé innnëiéfcon3e»^iu en plus dé tëms ?
Æii^iéïîF'à^c rp|AdS ÿî£eire huandontirépar,
exemple Un canon, laWuché^ôürn^ quand elle regarde le
fcôté oppofé,
'•*3. Si'lè Ion parcourt èhêgàles ^iMucts''dans dêl^temS'égaux, & dans
tpus leé^états » de 'Faiahofphef.é,' 'Baîdm|t jfc '1 '
5. S’il Vâ pïus vite par an vent feVbràÉle qué ^ar uh yënt contraire j
& sf11 ÿ a qùelqùe différence à çfet égard, de dofnbien elle eft.
6. S’il femeut âvecplus deViteffe dans un tems.calmeque dans Une tempête.
'7. Si un véràftraverfal accéléré ou retarde le mouvement du fon.
8- Sa^é wn'a'fê^m’émë’d ^ é àé'^iteffe jèû Été'qu?en H iv e r .^
p. âi'ïébfpn eîfc lemême quand il nei^d^tjüé quandilfait b’eàu.
ïo. Si un¥on fore a âql'aùtçle yitjéffe qü’un foh fdiblé^ ’J
i ï . Si^lejhruit (fèfcanoTW’méüt avec une égale vitefle à tous les
degrés p â ^ t io n dü^ànon. ^ m I v -ap
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