l u h r S T O I K E D E S
qu ds’he' iouhaiterent1 pas derecommencef quanddejour'futvenu-, & envoyèrent
fairô leurs foubiffions. z: Y Tnca, quille? reçut; : avec beaucoup de clé-
raencet-- Le de cette adlion fut fuffifimt • pqtir<.: am^açr. ^ ..lffiéîfc
fenoe te:]&ctyia*Càpqc -toutes ©„-Nations .depuis âuayéu où s’étoit;d.opëe
k bb^eqüfquèsk. Çallamarca, 'ce qui faitm.PajB? .d’e nw ^ s^ fK lu ^ .
S '^ 'CaÏÏcrmarca, Ylncd marcha jeftjrâon .2^ftet^.,en- avant juïqh
çhemin des Cbarcqs tournant -à KO-
rient fl ie rendit .aut-Pays ■ desr^ntis_y Peuples diftinguésj par Iqurs cruautés
^ Je^r barbarie. Pirés que lés bêtes ces|©ples ne5|
Contdntoient pas" de làcrifier leurs prilbnniers,
leurs propres tenfans. „ CêJ&prifiçe d’hommes, de'femmes & d’ëpf^ns de
tout â^e & -de. tout'fêxe, ,fe fbloit-entre eux,’ fois enteiéventrant-& les mettant
par quartiers:, doit en les .attachant tout nuds à des pieux & les déc^u^
pant par tout le corps à coups de ralbirs' oyi.de couteaux faits d’imeioetetje
caillou qu’ils fevoient rendre fort tranchant & très-affilé., b a i^ cp dernier
cas ik ne démembroièpt pas d’abord le patient, mais £ £ i^ jfjiïjg jrag de
y gfandéut & de. là longueur de fes fquffrapces, ils lui. %tignt^ul^rpnt
îa ëhair des.parties/qui; éft.ayoi^tyj^pl§g,:^^g^so^®^- t^^e^mble de
ion faîig, &mangèoiem fa chair .toute crue, ou pour mieux d^pafoient
.plutôt qü’ils;ne kman'geoient, ne fe donnant pas te-tems de;la tel©
ment que;-Ie:patient:k .pliji foovmt:fb voyoit mangetout'vif, Ç ^ m a e eu-
ieveli dans le corps de fés enpemis .avapt que d’expier. 0 PgPÇpdant<<t,o!al
■ barbares qu’etoient cès. peuples , ils Je fournirent ainfi que toutes,les.au-
trcs Nations qui. fé trouvèrent ijufqifà :la ;VaJlée.de . Ce fut daps
éëftd â^dàbleA^llée.:où r^ràU’.arçêta,' & où-il'donna f^qrdres.d^r^mw
feler tontes les Nations' conqprifès fous le-nom^de'jCWfar &{Jefiéur faire former
des Beüpladps; ayant obfervéque pour ©récolte du Mabî^ terres,y.
dtoîent beaucoup plus propres que celles' ou ils habitoient. \ “f
2 -Aptès: cette expéditron Mqyta-Çaÿac rep^it-jk-route-de Cuzcq, il n’yiqdpas
lôtfgtëms fans former le deffein-d’étendre ©borneg de fon Empire ^àTQc-
cident ; & comme il faloit pour cela pafTer le ¥ka^e 4purimac , ii .ordonna
qu on .y jêttât un pont; mais ce Fleuve étoit trop grand & trqpjarge pour
on pont ordinaire; ; c’eft pourquoi YYncaçn imagina un d’une fabrique fingu-
iiere, étant fôrfnh àe Bejucosqupziers^ tiiïus & entrpiaffés deibtequ’i] ppu-
bôit- fe foutenff en.fair, commeil a été dit ailleurs. Ce ponf .Æleipïus
long ée tout le .]?£rm:, ayant plus de deujç cens pas d’un bout à. ƒ autre
fiir un peu plus de deux aunes de large , foivapt fa ïéktion Rebeux qui
Font paffé. Il efl affermi par cinq cables., chacun, plus gros quef le corps
d’un
C A l P T lF ’&aôry&wî> p a r te d \A '2 d 'T .I S