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4 iîfsiluiflsreâàtSS^pSPÏi-41s-font «fcnnméoeipacdesioagle#, <qui ofct
•environ deux Igneiàelôqgrfor.ime/ligne; de large.,- . v sü'up :tlus
Il rfy a guère que: deux 'articulations aux ailerons j. dont lune eft a la
•jointurë avec-l’omoplate.,- oq. eJfefait. comme une. épaulé, & 1 aqlre eft
^ü io ô : cinêînéy de l ’aileron ,1 à^HÉwkl fcfoïttcte? ^doigts?
^entendreà l’égardidela'qufeue;: &..rfeft.patqiù.|mïQ.^_ani|nai^ peuventr
Te mouvoir & marcher à .terre, quoiqrfavec moinsèd’ag^ité rqdgrles Quadrupèdes.
Bs neilâiffentpourmntpas de grhnp« fur des.reçhers fort jSfèar-
-pés-où le§ hommes ne peuvent atteindrei.;.&:rfén:defçeûdrevavec knm|-
më facilité fans que leur corpulence les emharafle ; fiffr» JgllàQi J3G&
,de remarquer-qrfà féndroit où‘font leurs .ailerci?i«r>i leurs ÊPipsyf ®SÉnd
des plus grands j a au-moins quatre pieds fte diantf&e.i ■.
. ■ | Les parties jiatureHèssfantpl^^'W
ü e . Pour s’accoupler, ils, fafleyent fur leur queue-f-le' ipgle-devant 1% ^
mdle^ .ÏÏ(C s’emhraffent avec gpj|$
femelle porte ,& .alaite fes petits^ommeles^anknaugtejf^lreg, mais ja;
ruais plusd’Unnadeax à chaque ventre-, _q çç.-.l fb c.b : r p o !uîf
Les Loups matins qui ont lepeA^Jlmci^tîWa," & qm, qomme^^qys }ia>*
vons-dit, font les plus grands, fonfeappellé:s par queique§;uqs Lj®ns'ma-
rins, & p.ar les.habitansdefces qôteg Loups d'hmMeP'^fevqsa quand, ils-
fefemuentils .rerfemblenLafle? ionne (®trepfeiQe.(|htMl&mngjejp i (cpr^
mouftriipny fruir. remplisse -gfailTej &. quoiqu^n-tj|er de-Thùilqjjjq^iIns
& des -autres.,cependant qn^ep ifret Hifinlment; pins- dgj dont- A0tis
pmlofis igiÿ -qui lemhleot'rfêlfê
^confiance bien extraordinaire au f^eudg-cê-s dernier-y fin de- nos"-Mate-
lots en ayant bielle un, l’animai fejett| à
fon iang, quand tous les Loups iqatips des ^eux^ autres^çlpeces açcoj^ru-
rentj & formant comme une fourrmhere autpqr^aelqi^ lej^g^ÿereqt
jgn up demi quart - d’heure. P n’en arriva pas ^ ‘tqêng^jàux autres-',* car
.quoiqu’ils -ftlfegit bleflgs ^ ‘qu’ils
là vpe^ de leur fang rfexcita pas l’appétit 4çs autres, & ils'iiçrfurent pas de#
.vorés» Ces animaux font dangereux quand pnejfois ils rn oh^re,
.car alprs, ils ne lâchent jamais prife | -maisyil eft rare . qu’ils en: trouvent
rocfcàlion,étantnatureilement lçurds, pefans, & nepouyanf remuer la,tete,
!jls nè s’embaraflbient, guer^de pqs. gens quand ils pafoient., il fallqit jes
écarter à -coups de bâton pourrie faire palîage. Les1 petits ; ont qhe façqndp
^ y ^ r ‘‘|u i‘ re-G^b.Wbeaucoup aux.yi®mçns;-c^