H 2 L’ORGANISATION- DU RÈGNE ANIMAL.
de l'abdomen — p àUs’proportloonellementque partout aR.eurs II | M pêihe;besdln d e
dire que chez- ces les nerfscpllques latéraux n’o n tp lu s que deux branches.,
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d it.ceslégères différences ne doivent pas être la, sées p.,.
ractère. S’appliquent-elles à de petits groupes na ure s , KTOroions désignés sous les noms
R l l ^ i S S S l s s s g f
même degré que chez le Scorpion roussàtre ( S c o r p _ ^ ^ intermédiaires doivent se
5 S
.... loppement chez les grands Bulhus, a „„„„„t,™ „ue l ’e x c è s o u l'arrêt d e développement.se
P3Loe M ts ^ T v o n t se produire successivement achèveront de nous .éclairer sur la nature deS-modiê-
cations dans la famille des Scorpionides.
Organes tic la vision. Chez les Scorpionides, les 7-7r(!s chezTa - pda^grande1 p a r ü c Z s
le rapport de la grosse». Ce nombre « de suc d°eux dep'.us (Çtaespèces,
ayant tous a peu près le même ram , P apparaissent chez certains
r r ^ t r ^
d’yeux latéraux-, et qu fen réalité enontèeulement trois; à la place’où Z u r s ^ I “ “ f * * * P*®“
plémentaires (Androctonw) J i\ existe .’deux tubercules plus transnarent^m, 0 7 ^ S“P'
la sorte à de petites cornées; au-dessous on distingue même parfois un peu « t e T r “ ’ *
n y a pas là d’organes de vision constitués, il n’y a nas de nerfs 001!™™ Élémentaire.. Il
d’yeux en voie de formation. C’est donc Dar suifp ri’un-rf* 1 maiS 00 reconnaît des traces
tronvent être pourvus de cinq paires d ’yeux latéraux
montré par les espèces où ce développement, ayant commencé à s’effectuer * “ “
“ us!“8 “ 6“C0req,land n° " S la * “ * » < » - °rgaues de Z n l “
pèces appartenant à * ’ ? l 1
beaucoup plus petits crue les aMén'em*« • vhs-à ^ » deux postérieurs sont
vient total dans notre type d’Enrope (Scorpio j L ! “ “ * , *
s y s Z ’^ : : ^ q ^ ^ d i t r < ^ ^ à 7 io,ï d? ^ *
de ces organes ; différences pouvant se nrndi ■ “ Per ectIonnement , soit à nne dégradation
rapports. P ‘ " Pr° dn‘re e“ ‘re les « * * « P'«8 voisines sons tons les
« ¡ o n f C i t a e r L r e ^ t s T e p T é L n t Î d e “ la“ L T d ^ 8°Dt ^
formés extérieures dans levolome de« , e es Scorpionides, mais encore dans les
dans le n o m b r e | »1— 8 da“8 le décentralisation du systètqenerveux, -
notables. A l’égard — ™ ° “S 6U 8 mentionner divers détails plus on moins
cet appareil chez le Scorpion ro u ss ira 1 vraimenl plus rien a signaler après la description de
sions génériques ■ ¡ ■ ■ H M M l Da“S lous les des nombreuses divi-
ressemblance. ° “m ’ 6 ta.be aln“ entaire et ses annexes offrent une complète
■ R B Ehrenb 6S‘ «»marquablemen. élargie (Androctcus
cependant ; le tnbe N i H M I H N à tr°UTer 'luellIue Perticularité, il n’en est rien
glandes salivaires sont disposées e x a d e m e 7 d e T ' J gT . isU* iu n’est pas plus .renflé; les
principaux. Dans les Titvm et 1«« T / c ° ’ ° “ retroave Ie8 “ êmes lobes — KHBHH H— ( T S H Gervi lopt 681 pareil H trouvé là rien non „h,« H H M I ’ de™ e“‘ êlre examinés 8008 “ R i l mais il ne s’est
calés, l’intestin, sont dans“ ' ^ m êm e s „ 7 T ' ’T " ' ‘^ tom a c , les glandes stomanianièrë
semblable et toiit ca i> PorlIons; les canaux biliaires sont espacés et dirigés d'une
■ corps es. i i l i l i M M m m B | volumineux dans les espèces
très-grêle, c’est-à-dire les H H M H i J " “ “'ns dans les espèces dont le corps est
les L y c lm , et que celle légère différence coïncide de la façon la plus exacte
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