L’ORGANISATION. d u R è g n e a n im a l . St0
L™u W > , é , " " - dsn^ P°o t ''" " '“ 1 „ . A, n , l , p ^ o n sm d i f c™ * i* l'abÆomen (ta S ^ p i™ . » 1
Les canaux longitudinaux sont nombreux d a n s^ ™ ° " ° art SOIll logés dans les cavités superfi-
en a a n de chaque côté de W B M | H K | | | g | g g fois déjà | a été H
nielles formées par les saillies du tégumen , “ eS ’e„,raies. Ces rigoles, ces trajets m m
,Oa en compte s ir : deux dorsales, deuxlatéraks e q ^ c0„sidérables; situés sur les côtés
n'ont pas tous la même capacité. Les canaux■ ' ,m0„Bires eu suivant nue ligne directe (-).
passait dans les canaux veineux hépatiques. m ‘ q“
Eamuoe « à * » hépatiques. - Au ° “ mo!nS UmitésPar f
les autres, il existe des espaces nombreux q«t t e ‘e g g H 6t les veines du
B n H B B I ■ ■ ■ * ■ - —E S qu vraiment-impossible d'en suivre l’ensemble B M S W H H I de résistance. Avec d u soin et
Les veines qui rampent entre les muscles adhèren à cté ^ ^ dispose âe plusieurs
de la patience, on parvient a les mettre too e m t a r l a n l les utricnles du foie , il faut
individus. Mais pour les veineshépatiques q à distinguer les principaux canaux des
des efforts inouïs pour réussir à reconnaître leu P tes anatomistes contre 1 idée
canaux secondaires. Ces remarques nous hépatiques.
• de l’absence d’une disposition bien déterminée • v e i i e i i . Us n’ont pas ici cette
C’est aux côtés de l’intestin que se trouvent ce P P parües du corps. Plus
forme régulière de c anaux, que nous avons — ™ des siMs'longitudinaux; ils résolvent
élargis sur certains points que sur d « » , _ < * ^ ^ se jellenl dans des canaux transverses
une grande partie des veines qui parcouren ^ lon^ udinaux. Ce sont les canaux transverses
q u i, du reste, sont en communication | g g | H g g ve= eux d u foie. Il a été dit précédemment de «
entier ■ , - m a m m
l’abdomen. . . a(iU(irpnce dans les intervalles des sclérodermites
r “ en- e’^ ^ Dèi que le sans veinr
du foie.se trouve amené aux organes, respiratouus ^ ^ H qui leur vient de la cavité
" • “ déjà Vtt qne les cana“ "
(4) Pag. 2 9 , etc.
(2) Pl. VI, fig. 1 *•
CLASSE DES ARACHNIDES. g f
celte dernièrq partie. arrivaient en arrière du foie. D’autre part nous voyons teüveines qui régnent sous
dansée foie ° Jq“0 “ danS 'a parl‘e 8"Périe»re des glandes stomacales se porter également
Vaisseaux pulmonaires. - Comme on l’a v a , les poumons sont revêtus d’une tunique résistante
constituant de véritables poches ; celte tunique resserrée entre chacun d’eux établit un canal de communication
entre les cavités de tons les organes respiratoires placés d’un même côté. Prolongée en avant
du poumon antérieur, elle forme le vaisseau qui reçoit le sang des grands canaux veineux céphalolho-
raciques ; prolongée en arriéré d u poumon postérieur, elle forme le vaisseau qui reçoit le sang des
grandes veines de la portion caudiforme de l’abdomen. Tels sont les vaisseaux pulmonaires du Scorpion
qui dans 1 ordre physiologique représentent les artères pulmonaires des animaux supérieurs (1). ‘
Les poches des poumons ont une certaine convexité. Il importait qu’elles ne pussent jamais s’affaisser
sur les lamelles pulmonaires, ce qui aurait empêché la libre circulation du sang; une disposition
simple et tres-parfaite en même temps ne permet pas qu’un accident de cetté nature puisse se produire
en aucun cas. Vers la portion moyenne de chacune des poches s'élève assez près de leur bord interne
un ligament souvent double un triple qni adhère d'autre part à la face inférieure dn péricarde. On verra
bientôt 1 utilité de celte connexion entre le péricarde et les poches pulmonaires. '
Ces poches ne sont pas complètes; elles n’enveloppent les poumons qu’en dessus et sur les côtés- elles
ne s étendent pas en dessous ; leurs bords se trouvent ainsi adhérer simplement à la paroi abdominale
il en est de même-pour-la portion rétrécie en forme de vaisseau entre les poches pulmonaires comme
pour les vaisseaux antérieurs et postérieurs. Par suite de cette dispositiong les canaux veineux transverses
de abdomen s ouvrent intérieurement dans les vaisseaux pulmonaires où disparaît leur paroi
rem°ietsPa8 “ d’° nflCe5 praÜq" és 8ur les côlés de comme si c ’étaient des tubes
Les vaisseaux pulmonaires antérieurs s’avancent jusqu’à la hase de l’abdomen où ils prennent le
sang des grands canaux veinenx céphalothoraciques, mais leur paroi s’amincit graduellement II en.
H ) H H 165 ™ SSea"X p0slérie,,rs 1“ s’éle“de“t P ^ q u e jusqu’à l’extrémité de la portion
gie e abdomen, où ils finissent par se confondre avec les grands canaux latéraux de la portion
caudiforme. Ce qui établit la distinction entre ces deux sortes de vaisseaux, c’est que les pulmonaires
ont une paroi solide indépendante en dessus des tissus environnants, et que les antres ont de tous côtés
leurs parois adhérentes, soit aux muscles, soit aux téguments.
Le sang introduit dans les poches pulmonaires, s’engage dans un large canal qni règne autour des MBS V Pé“0lre da“S I’esPace intermembranulaire qne nous avons reconnu dans les parois
M Ê S m T ■ ■ s°lide distant entre les deux tuniques disparaissait au bord
■ ensuite H 68 ’ SSant amsl "" danal parfaitement libre, t e sang arrive dans ce canal, et s’étend
ensuite dans la paroi entière des lamelles; le tissu aréolaire, n’ayant pas d’adhérence avec la tunique
aurais des |0PP° , r PaSH H aU passage dn liquide’ Le S™S qui a pénétré dans l’épaisseur des
réoxvvén»«! r T “a 'reS 8 Y f° rme al“Si ™ véritable naPPO (*)■ C’est de la sorte qu’il subit la
B f l H B B f l a,rtérie1.’ 86 lr° "™ tt sur "ne assez grande surface en contact avec l’air
que lamelle pulmonaire, dont une mince membrane seule le sépare.
0 ) Pl. v i , fig. 3 e , e.
Ë P l . VI, fig. 40.