P0Un\ \7 çI™TèreI les plus remarquables Ifo même sorte ju s q u 'à '
dance à la répétition, h la multiplicité des instrument pris-isolément, mais o est
un certain point, le nombre supplée f f l j j f j j l l l ^ | | ,y6ux * t moins bien partagé que
toujours.d'une manière', incomplète. g B — ^ M dirigéa dans tous les sens.L observation,
l'animal pourvu de deux yeux , s. ses. deux yeux P t a r e o s e ment postés pour embrasser
nous montre combien chez- le Scorpiop 1 : malgré les. trois groupes que
r t l t ' l t X o C l r m é d i a i r e s où la vue de l'anima, doit difficilement atteindra
forment ces organes, 11 est ue» p
sans un mouvement de tout le corps. H B I d e la nature réelle de la vision de l’Arachnide
Maintenant, essayerons-nous nous ia mouche que. nous présentons au Scorpion,
étudié ici, comme l'un des grands types * ^ a m merïemense netteté ; le Scorpion la
tous les détails de structure extérieure n o n pp seulement une forme v ag u e , tout, juste suffivoit
il à peu près de même? au besoiu de .se nourrir ? Ici notre raison est I dn ScDrpion SB » - d e , une fonction du cerveau.
O n , :1— S ne connaissons chez
recherches minutieuses que nous _ | ■ n,e„ e ïis le p a s .H nous donnons
avons mis à suivre les nerfs du cerveau nous au o n s e ^ J ^ demera.on5 plus couva,ncu
une attention spéciale aux circonstance g ' „ é prodoisent ¡¡ucun son , les individus ne
encore' de l'absence d'un organe de 1 o n ,o lte i S J p ^ _ ^ ^ ^ beaucoup d'insectes. Remarquons
s’attirent donc pas entre eux par des b r , s006 des pierres, dans des fissures étroites,
encore que ces Arachnides restent P '® [ " , des bruits extérieurs. S’ils sortent en
dans:des retraites peu a c c e s s ib le s ,» ils n o n guè e P demeOTe cachée afin d’y rentrer au
plus vite — * * T,vent ^
. isolées.
Est-ce à dire que les Scorp.ons sont absobimen P 1 ^ B R S n,ffi SODt guère
croyons pas ; en produisant des bruits M en ressentent quelque effet. Il semble q u e ,
troublés , cependant par leur attitude on, don; p ^ de lou5ses appendices. Ce ne
les ondes sonores suivant le sol, le Scorp ^ qn’elle soit, cette audition est sans doute
peut être là qu’une audition bien vagu , , v ¡, tfa paB beB0in d’autre chose,
suffisante pour avertir l’animal d un d an s > ^ d’audition , comme il y a tant de
Sicbez les insectes in fo rmatio n et une fonction telles dans le plus grand
nombredesArachnides que nous ne pouvons “ tre les différents types du règne
■ ■ B B l i n U B B f l B
d’analyser les sons, d’en saisir les différences de façon à en déterminer l’origine.: Un sens de l’ouïe aussi
perfectionné serait sans objelehez les Scorpions ;■ constitué de la sorte , il n’existe donc pas.
Odorat. — L’existence du sens d é l’odorat est tout à fait problématique chez le type d’Arachnides
qui nous occupeiici : ce sens ne lui est d’aucune Utilité dans la recherche' de sa subsistance. Le Scorpion
n’attaque que les insectes vivants; leurs mouvements seuls attirent son attention; le Scorpion ne
manifeste aucune répugnance à se nourrir, dSnsectes qui exhalent une odeur pour nous insupportable.
Nous avons présenté à des Scorpions des Hémiptères ou Punaises de bois, des Blattes, dont chacun
connaît l’odeur repoussante, ils %s ont dévorés tout aussi facilement qu’ils dévorent des mouches. En
plaçant des substances fortement odorantes auprès de ces Arachnides,-ils n’ont para en éprouver aucun
effet. Dans le cas seulement où l’odeur était pénétrante, un certain trouble devenait évident, et alors
c’étaient les organes de la respiration qui étaient visiblement affectés.
De ces faits on est porté à conclure que l’odorat est nul chez Ib Scorpion. Cependant un dùute nous
reste. Comment les sexes sont-ils attirés l’un vers l’autre? Chaque individu vit isolé; à une époque, le
mâle doit rechercher sa femelle. De quelle façon la trouve-t-il? est-il guidé uniquement par la vue?
On n’ose le croire, ici où il s’agit d’animaux qui se tiennent si habituellement cachés : on admettrait
plus volontiers que c'est le sens de l’odorat qui intervient; mais n’allons pas au delà. Dans l étal
actuel, ni l'étude de l’organisation ni les expériences ne nous permettent de résoudre la question.
Lorsque nous voyons la fleur de l’Aram remplie d ’Insectès stercoraires; lorsque nous voyons la
Mouche de la viande venir déposer ses oeufs sur cette fleur, nous sommes bien assurés que le sens de
1 odorat joue un très-grand rôle chez beaucoup d’Animaux articulés. Cette certitude nous oblige à être
circonspect pour décider que tel ou tel animal du même embranchement est privé d’un sens si déve-
loppé ailleurs.
Goitt. - Selon toute vraisemblance, le goût existe chez le Scorpion ; mais, suivant tonte apparence
aussi, ce sens y .est pen développé. Comme il vient d’êtrè d it, notre Arachnide mange indifféremment
toutes sortes d’insectes, pourvu que leurs téguments n’aient pas trop de résistance ; il ne .repoussé pas
ceux dont l’odeur est le plus détestable.
Le siège du goût ne peut se trouver que vers l’entrée du pharynx ; les parties sont m olles, très-déli-
ca es mais il n’y a pas de papilles, ainsi que nous nous en sommes assuré à l’aide de grossissements
considérables.
vnp T HS8S . * o . — ^ ° gmuu ruie, avec ceiui a e la
ue. Le tégument du Scorpion a une certaine solidité, néanmoins la moindre atteinte, le moindre effleu-
B 9H H H l,’a"mal ■ Sé”Sati0n maniteSle10 1301 681 P1"8WËH la région ventrale
■ H H i <* cependant nu léger attouchement sur les parties les plus dures, comme le
boucher céphalothoracique, les pattes-mâchoires, les zoonites de la portion caudiforme de l’abdomeh