• — i s i SH H B H avi°son anai°gne d°“s ,es H i ™ I® celles de' slL éd é c e& s i ° “ “ H H B 5es im i n a t i o n s et à repousser souvent
■ ■ m 88 “ » ‘- n t toujours comme le résultat de l’étude la plus savante et la plus
s’arrête sonfm'ésentfe a m° B H parais8eilt miIiter “ *> l'opinion à laquelle il
s e l l e . P aVe° UDe Sdpérit>^ “ « ^ p p e r l’esprit de tout homme de
a r ^ l A Ï G l Z S T G - , 0" ' ' ^ C°mme n% a ” ‘ rien <Wmpr!S a a i analogies que' recherchait' si
que Geoffrov Saint Hil» ^ “ T “6 ayanl repopssé absolument l’unité de composition, ainsi
■ H H H H B 1 °°mmUP * * existe si i ü les animaux
n môme embranchement, devront lire attentivement le mémoire sur les Crocodiles. "
■ siècle w é s e n Z so n 'vm i illustres zoologistes français de. la première période de notre
v, , r , 6 a tort selon nous, comme antagonistes, il .convient de rappeïer que
i l é ^ d ' o “ m™ laire’ I,iiSl0rien des !Ü É d e so n pcm» a eu soin de rétabli,-la .vérité à •
H m G S R M CUïier ° PP0Sé à la ™ herehe * » Parties analogues chez différents types du
Règne an,mal, on s est reporté trop exclusivement aux discussions qui, dans les dernières années de
i — “ lre lai 3 «rofftey Saint-Hilaîre. Si l'on avait dû s'en tenir entièrement à l ’o p Ï
mon qu man,resta alors, en effet, la voie que lui-même avait suivie parait dû ê tre abandonnée-
mats « u « n a-t-on pas un peu'oublié de dire que le grand naturaliste, croyant voir des exagérations
B B m Par 'à ' rep0aSSer cer,aines idées i désaccord avec -les 'faits, s’était trouvé
poussé lu™ me à exagérer dans un autre sens?. On trouvai, analogues des choses -qui à ses v e i ne
,,f 'a “ - ' ï “ K H H W H de reConaailre- raaaIo*ie là où. elle existait bien, réellement, dès-
, qu elle ne se présentait pas du premier coup, avec toute l’évidence possible.
Le mémoire-sur l’ostéologie des Chéloniens, dà'ns l’immortel ouvrage sur les ossements fossiles est
aussi extrêmement étendu. I. est resté la base de tou, ce que l ’on a écrit depuis sur ce“ ’ ^
Les dtvers groupes de Sauriens son, aussi étudiés d'une manière heureuse; leurs os ■ comparés '
avec beaucoup de soin à ceux des Cromrliw r nclor n ,„ . BÜB m empares
«enre à l’antre i Ü f ; V16r- 11 a Pas 3 & 1 suivre chaque pièce d’un'
D l l d i l l a‘ .de8U1VreamsI Par degrés, autant que possible, les changements qu’on parvient
L um e n 1 «“ n ” '’" ’1' " I '“ compare *» * d’abord des objets-très-dissemblables. ÉnQn
lexamen-de ces Reptiles s, remarquables des périodes géologiques, comparés aux types do l'époque '
H complète 1 oeuvre de Cuvieren ce qui concerne les Reptiles.' Les' Ophidiens n 'n , M B M
place dans son vaste ouvrage. . F
i Z l - i - 1 “ “ B B I ’ 11 n ’a paru auctm contenant autant de faits capables d ’é c la ter sur
d T v e l ^ u p ê r erjiétologique et sur les affinités, qu’offrent e n te eux les^présentants des
^D a n s le temps qui suivit la publication des Recherches sur les ossements fossiles, parurent plusieurs
petits mémoires relatifs à l'organisation des Reptiles ' • R S
Un naturaliste américain, Hentz, mit au jour quelques observations portant particulièrement sur la
page ,6 8 .) ' • ^ p. ,6 7 . (Voir aussi ,a n o ,. 3 an ban do h, mémo page „
circulation du sang et sur la structure du coeur chez le Crocodile'; c’est là qu’on trouve pour la,première
fois une description exacte des cavités du coeur dans ce type remarquable de la classe des Reptiles
(1).
De son côté le docteur Harlan, de Philadelphie, présenta quelques remarques sur un type-de
Sauriens (Cyclur'a carinata) et des observations sur la circulation chez le Crocodile, 'dans le b u t, selon
l’auteur, d’éclairer les principaux faits relatifs à cette fonction chez les Sauriens (2). On ignorait à
cette époque combien, sous ce rapport, les Crocodiles diffèrent des Sauriens.
L’avortement du bassin chez quelques Sauriens et chez les Ophidiens fut en Allemagne l’objet d ’une
étude spéciale de la part de Mayer (3).
Dans le cours de la même année, un observateur du nom de Sicherer fit connaître fostëologie d ’u n
type de Sauriens (Seps tridactylus)'(4) chez lequel les membres sont rudimentaires. A cette époque les
Sauriens, entièrement privés de membres, étaient classés dans lés Ophidiens par la plupart des zoologistes.
.L’auteur, en montrant comme il l’a fait l’analogie entre les uns et les autrés, contribuait donc
beaucoup à mettre e n é v id e n c e des rapports naturels alors très-cbntestés, mais il ne paraît pas que ses
observations aient été connues des naturalistes.
De 1824 à 1825, un anatomiste français, Antoine Desmoulins, dans son travail sur le système
nerveux des animaux vertébrés,(5), a donné la description du cerveau et des principaux nerfs de
plusieurs Reptiles, en faisant précéder la partie essentielle de son ouvrage de considérations sur le
système osseux. . ,
M. Thomas Bell, en Angleterre, a examiné un genre de Sauriens {les Ànolis) dont la gorge se dilate
considérablement dans certains cas, ce.qui a fait dire aux naturalistes que ces Reptiles portent sous la.
gorge un fanon ou un goitre qu’ils enflent à volonté. D’après les observations de M. Bell, cette'dilatation
fréquente est déterminée p ar l’os hyoïde et les muscles qui le mettent en jeu (6).
Le même auteur s’est occupé ensuite des glandes odoriférantes chez les Crocodiles. Il en décrit les
orifices et les muscles (T).
. Peu après, le docteur Schlemm, de Berlin, a donné de nouveaux détails sur la structure du coeur
et sur le trajet des principaux vaisseaux chez les Ophidiens (8); et Meckel s’est occupé d ’une manière
spéciale des glandes de la tête chez les Serpents (9).
(4 ) .Some observations on the anatomy and physiology o f the A lligator o f North-America. — Lacerla alligator Gmel, — .Alligator
lucius Cuvier. — Transactions of the American philosophical Society, held a t Philadelphia; new se r ie s, vol. I I , p. 246 (4825).
— Et Letter from DT H arlan to N . M. Hentz, containing some further observations on the physiology o f the Alligator. L. c ., p . 226.
(2) D'esoription o f tw o species o f L in naan Lacerta. — Journal of the Academy of natural sciences of Philadelphia, t . IV, part. 2,
p. 242 (4825).
(3) Ueber die hintere Exlrasmitat der Ophidier, von Dr Mayer. — No va acta physico-medica Academ. nat. Curiosorum t. X II.
P. 2 , S . 8 1 9 , Tab. -66 et 6 7 (>1825).
(4) Seps tridactylus. —-Dissertatio inauguralis ; auct. Philippus Fridericus Sicherer (Tubinguæ , 4825).' ’
(.5) Anatomie du système nerveux des animaux vertébrés, 2 vol., Atlas in-4° (4'825).
(6) Observations on the structure o f the Throat in the genus A n o lis:— Zoological Journal, t . I I , p. 44, p l..n , fig. 4-3 (48,25).
(7) On the structure and use o f the su bmaxillary odoriferous gland in the genus Crocodilus. — Philosophical Transactions of the
royal Society, part, 4, p. 432, pi. x i (4827).
(8) Anatomische Besclireibung des Blütgefass-Systems der Schlangen, von Dr Friedrich Schlemm. — Zeitschrift fiir Physiologie
von Tiedemann et Treviranus, Bd II, SI 404' Taf. vh'(1826).
(Si) Ueber die Kopfdrilsen der Schlangen, von J. F . Meckel. — Archiv fur Anatomie und Physiologie, p. 4 (4826).