blemcnt en arrière (I). ■ divisent dans les muscles «xtehseurS et
Dès leur origine, ils fournissent des branche g r f e qui se diviser, ^ ^ ^ ^ ^
rétracteurs des hanches ou coxopodites e es roc ' d leg muscies en une multitude de
dices, ils donnent de chaqne côté des branchesM M l j a M M se partagent en deux
» * < « * ' " “. S “ » S $ ® î S — •■SSÏ-SBSSteK«®*- H " r-!*1“ * " H médulbdre céphalothoracique.et fournit des rameaux aux muscles trochanténens. ,
un nerf assez grêle qui remonte et distrtbue set, r a m e a u «1
Plus en arrière et sur un plan inférieur, on 00 ■ 0t pénèlrent dans les appendices qu’ils doidents
ou lamelles des appendices sont d’une extrême finesse.
Gavgüm maSS6 ° léda' ,a7 61
abdominaux au moins, sont venues ganglions très-espacées dans la portion
La chaîne ganglionnaire abdominale p r é s e n te tro is p ^ n es de ga g F ières forme une
-*■ esipas
Les connectifs qui partent de la masse médn ane, c é p b a ^ ^ . ^ ^ 5Ur la ^ moyenne
» l u . Au delà , c’est-à-dire depuis le troisième g anghonabdo-
WMÊSÊmmmmÊ * H »,«
J l f e p M e u , cm p lé lrm en l à n » , H M H da c ilé droit. L’o .id acté m u é en placé m a sq u é so t passage
(4) PL n i , fig. 1 • Dans notre figure, c e nerl.a eie mis eu ..
dans l’appendice pectiniforme.
minai, les connectifs sont séparés l’un de l’au tre , de telle sorte que la chaîne est réellement double
dans toute la portion eaudiforme de l'abdomen.
En voyant la description dès connectifs d e la chaîne ganglionnaire réunis sur un point, séparés sur
un autre, il ne faut pas oublier que cette description se rapporte au Scorpion roussâtre (,Scorpio occi-
tanus). Comme on le verra plus lo in , on se tromperait en pensant qu’elle s’applique indifféremment au
système nerveux de telle ou telle espèce du grand genre Scorpion.
Faisons encore une remarque sur la position qu’occupent les centres nerveux de l’abdomen. Le premier
de la chaîne fournit les nerfs du troisième segment ventral ; il est placé à la jonction du premier
et du deuxième segment. Le second fournit les nerfs du quatrième segment ; il est placé à la jonction
du troisième et du quatrième. Le troisième fournit les nerfs du cinquième segment; il est placé vèrs le
tiers antérieur de. ce même segment. Chacune des paires de ganglions de la partie caudiforme est
située à la base du zoouite auquel elle fournit des nerfs.
Ceci montre clairement que le premier ganglion tend à se porter en avant, à se rapprocher du centre
plus que le second, le second plus que le troisième. Là tendance à la centralisation se manifeste vers
la masse médullaire céphalothoracique ; ceité tendance, s’affaiblit graduellement pour les parties qui
occupent la portion postérieure du corps.
Ainsi les centres nerveux céphalothoraciqnes chez le Scorpion et les premiers ganglions abdominaux
se sont groupés sur un point unique; ils sont venus former une seule masse. Le premier centre nerveux
isolé qui vient à la suite tend à se rapprocher de ce point central. Cette tendance est moindre pour
le sacond, moindre encore pour le troisième, à peu près nnllà pour les autres.
Remarquons aussi que la centralisation du système nerveux s’opère de la même façon, non-seulement
d’avant en arrière et sortant d’arrière en avant, mais encore sur la ligne moyenne. Pour les
noyaux céphalothoraciques et les premiers noyaux abdominaux, elle est complète dans tous les 'sens. ’
Au delà, la réomon des parties qui s’est effectuée sur la ligne médiane a cessé d’être complète.
Les deux noyaux de chacune des trois premières paires de la chaîne abdominale se sont oonfondus en
une seule masse, et les deux connectifs qui les unissent les uns aux autres sè sont intiniement nuis •
cest alors un cordon simple. Pins loin, les deux noyant de chaqne-paire de ganglions, tant en étant
accolés, demeurent distincts, et les connectifs qui les unissent les uns aux autres restent séparés.
Nous verrons plus tard les différences qui se présentent sons ce rapport, dans une môme famili.
entre les. espèces qui se perfectionnent moins que notre Scorpion et celles qui se'perfectionnent d a-
vantage.
u- * S n0yam’ aldamimua: rémi* à la masse médullaire céphablhoracique. — Comme il a
W Ê ÈM deuf P aires de nerfs partent de là grande masse médullaire contenue dans le céphalothorax
a i " H amere.des nerfs des appendices peoliniformes. Ce sont les nerfs des deux premiers zoonitel
— 7 X de ‘a Première paire s°nl l eauconp pins grêles que ceux de la seconde. Du reste
miers se H 88 partagent en d?ux branches à peu près égales. La branche supérieure des pre-
. ° obliquement, passe sur le grand vaisseau qui amène lé sang veineux aux organes pulr6S
’ 6 ™monte snr les côtés en donnant des rameaux nombreux aux muscles latéraux et même
fonr i:H ■ ) à ,br 1,C inférieure d6SC8n<'inStI“’aa 1 1 la P - i è r e poche resp“
un r que constltuant la poche dont l’organe pulmonaire est envelonoé «
un rameau qui, passant au-dessous, se divise dans les muscles de Porifice respiratoire