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3 ■ ■■ d’au Scorpion, le sang
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' -Xro avarie la composition du sang chez
ÿ ang, Nous eussions vivement désiré connaître d une manière exacte
le Scorpion ; mais la difficulté d’obtenir.ce liquide en quantité assez considérable pour.le faire soumettre
à une analyse sérieuse s’est trouvée un obstacle.
Le sang de notre Arachnide est très-fluide et transparent ; il offre une légère teinte jaunâtre lorsqu’il
est réuni en quantité un peu notable. Au contact de l’a ir, il se coagule, se prend en masse comme
celui des Crustacés. Il est riche en globules, - mais il est loin de l’être cependant au même degré que
celui de certains insectes. Les corpuscules sanguins du Scorpion sont de petits corps a rrçndis, très-inégaux
sur leurs bords, tout à fait d’apparence framboisée (I), Leur convexité paraît assez médiocre. Ces
globules n’ont pas de nucléus distinct; ils sont formés d’un grand nombre de cellules entassées les
unes contre les autres. Leur diamètre varie de 1/109e à 1/1.50° de millimètre. Mais on en observe, de
beaucoup plus petits, de plus irréguliers ; les uns d’une forme un peu oblongue, les autres d’une
forme mal définie : ce sont les globules en voie de formation (2).
II ne nous a pas été possible de saisir une différence réellement apparente entre le'sang artériel et le
sang veineux; pourtant il nous a semblé que la teinte généralement jaunâtre qu’affecte le. fluide nourricier
chez le Scorpion était plus prononcée dans le sang veineux que dans le sang artériel.
Comme l’a remarqué un observateur anglais, M. Wharton Jones (3), le sang des Arachnides a une
grande ressemblance avec celui des Crustacés. Dans ces animaux, dont beaucoup ont une grande taille,
il nous sera plus facile que dans nos chétives Arachnides , de faire une étude approfondie du fluide
nourricier,
ORGANE DE SÉCRÉTION SPÉCIALE.
Chez le Scorpion, il n’existe qu’une seule sécrétion particulière : c’est celle du venin. L’organe
sécréteur est situé, comme chacun sait, dans le dernier zoonite de la portion caudiforme de l’abdomen (4).
Ce sont .deux glandes ovalaires, appliquées exactement l’une contre l’autre sur la ligne médiane,
convexes en dessus et sur leur côté extérieur, car elles remplissent en entier le zoonite caudal (5). Dans
la portion antérieure du zoonite, les glandes vénénifiques sont amincies et maintenues par des fibres
musculaires .(6) qui s’attachent sur le bord de l’anneau caudal. Ces glandes se réunissent en arrière (7)
et forment un seul canal s’étendant dans toute la longueur de la pointe recourbée qui termine lé corps
du .Scorpion (8).
Le canal en remplit en entier la cavité et s’ouvre au dehors p ar deux petits trous presque imperceptibles,
situés un peu au-dessous et un peu en arrière de la pointe terminale elle-même.
Les glandes vénénifiques sont lisses extérieurement en dessus et au côté externe; au côté interne,
elles ont au contraire deux rangs d e stries, entre lesquelles on distingue de nombreuses follicules apparentes
sous un fort grossissement. A l’intérieur, la surface des parois est granuleuse. Des fibres
musculaires dirigées d’avant en arrière recouvrent lés glandes et s’attachent au tégument (9). Des fibres
H! Pl. VI, f ig ,6 .
(2)M. Wagner a examiné'le sang du Scorpion d’Europe (Scorpio Europeus)..— Z u r Vergleichenden Physiologie der Blutes
H e f t I .p . 27, fig.
(3) The Blood, Corpuscle considered in its different phases o f development in the Animal series [Invertebrdta). — Philosophical
Transactions of. the Royal Society o f London, \ 8 4 6 , part. \ , p. 91.
(4) Pl. v u , fig. I et 2.
(5) Pl. v u , fig. Ü 6.
■(.6) Pl. v u , fig. 2 a .
(7) Pl. v u , fig. I e t fig. I c.
(8) PI, v u , fig. I d.
‘ | ) Pl. II, fig. I