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pulpeuse d e tous les ganglions, les autres passen a ^ ^ manifeste
couches de fibres demeurent ^ “^ s i l'on recouvre uue préparatiou de système .
encore par l’action de certaines sub ■ _ 0 i eM la couche de fibres supérieures devient
nerveux avecdel'essence-de téréber. me ura ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^
extrêmement apparente sur les gang ► P „souliOns pour se distribuer aux différentes parties .
médullaires; à l’origine des ner s qui nai 0 faisoeau de fibres le plus considérable prend
du corps, on reconnaît uioindre provient des colonnes
son origine dans les corps §anS 'on”™ V ( ganglionnaire, passent au-dessus des censupérieures
qui ^ •" > - 8 " - * & , ^ „ Newport . pensé
^ S , (: ^ d a n s l , p remière sv ag eu t de la sensibilité, et dans les autres celui d e là
— 1^ i structure-du système nerveux des aDs cette classe, B m M M i M B W H
nerveux sont b e a u c o q p ^ u s^ islipot^que^chez^les les fibres supérieures de la chaîne nerrépétitions
inutiles. 11 nous suffira PP - fi inrérieures comme fibres sensibles, M. Newportun
anima, viv ant, d é t a i l ,^ l’u n e— ^ s p é c i a l , a u ^ - ^ ^ ^ ^ ;
Outre ces fibres, il y en a de latér , H aclfon réflexe. Il y a enfin
M. Newport les a nommées fibres e ren or ^ ^ médullaires de la chaîne ganles
fibres transversales ou cmmsmmtes. s’unissent en plus ou moins forte proportion.
glionnaire sont donc formés de ^ différentes colonnes de.
Î Chez le Scorpion on reconnaît bien, ^ ^ ^ à beattc0Dp près qu6 chez
B B B B ■ w m M B B B M IM I
ait écprtement des fibres au milieu des noyaux médullaires.
p ) rlflomckicol broiBirelioni, part. II, p. m (ti34)..
(3) Pl. 111, DS. 5 o , 4.
-(4) phiteopMtoî IVonnBlioM, part. 11, p. -U , « «■
Chez le Scorpion, la portion antérieure du système nerveux est remarquablement centralisée; il en
est tout autrement pour la portion postérieure (1). Ceci est du reste parfaitement en rapport avec ce
qui existe pour les parties externes. Il y a coalescence de la tête et des anneaux thoraciques; il y a
coalescence également des centres médullaires céphaliques et thoraciques, et cette coalescence est augmentée
encore par l’addition dé quelques ganglions abdominaux, comme cela se v o it'd u reste chez
beaucoup dinsectes adultes. On le sait, dans cette dernière classe d ’animaux, des ganglions viennent
souvent se confondre avec ceux du thorax, et là-dessus point d ’incertitude possible, cette fusion
n existe pas chez les larves ; elie a lieu par les progrès de l’âge, ou la suit pas à pas. Chez le Scorpion,
l’abdomen est fort allongé et oemposé de zoonites très-séparés les uns des autres; de même les
ganglions abdominaux sont écartés, et dans notre espèce d’Europe (Scorpio. àcéitanus) , la Chaîne gau-
glionnaire reste double dans une grande partie de sa longueur.
-Gcmglums cérébroida ou atreraù. - Les ganglions cérébroïdes constituent une seule masse, c’est
le cerveau (t). Il est remarquablement petit comparativement à la dimension de l’a n im a lS l est férmé
de deux noyaux intimement unis,,., mais nettement indiqués p a r' une dépression longitudinale au
milieu et une échancrure arrondie en avant. Le cerveau du Scorpion est donc sensiblement bilobé,
mais la fusipn des deux noyaux est telle cependant, que les- deux lobes sont fort peu prononcés
nrowes sont les nerfs pharyngiens, les nerfs optiques médians, les nerfs optiques latéraux et les nerfs
antçnnaires, sans compter le système nerveux dé la vie o rg an iq ùP * '
' aubord a ! l l l ï ! f i e z!,SOn,Ja'1 “°mbre * ■ - ¡e la Première prennent leur origine
nerf dont les 1 n a- C6rT8lm el 80 Omissent presque aussitôt de façon à former un seul
demment ? l f ” 1 daQS la portion suPérieure de l’appendice buccal (3). C’est éviconstatée
mont e“6 ] 8”PérieQre des In86cle8- Sa double origine, que nous avons
uue c’est ’ -i , a,rement fi“6 ééaque noyau médullaire, cérébroïde fournit un nerf propre el
| toute l’élend'ne^es deux branches. ^ °eiltralisati“n T ’Un0 W "“ “ mPlèt8 8'°P » e dans presque '
chaquelêié d Î f w f k ”8 V- H S8C° “d8 paire naissonl en dehors des précédents et descendent de
t e tomch ts d ' u M e Î T - B enCOre PlUS 6réles ^ les P“ 8. U n i s s e n t sur leur trajei
Viennent ensuite HS ' “ ‘ ** ^ ^ » complètement par la^ ssectio n .
presque verticalement- les * °pUqaeS médlans- fi"1 assez volumineux et fort courts : ils montent
’ ,es yenx étant situés au-dessus des centres cérébroïdes et à peine plus en
' (MPI. m ,8 g .4 . -
, (2) Pl. m , fig. 4, Gg. 2 a e t fig. 3 #.
I f i J f m » fig. I I e t fig. 1 1