Muscles àrrsaua,. - Ceux-ci. sont extrêmement simples. Ils consistent en I j g a H M W i l H
gitudinales, contigui* les nues aux autres, s'étendant dans toute la longueur de — H H
gales pour venir s'attacher au bord antérieur de la pièce suivante(l). npourrai peu _ car leurs
ce sont les mêmes bandelettes qui régnent dans l'étendue entière des'srx
points d'attache se montrent comme u n e sorte d'écrasement produit sur une
les pièces tergales, au moyen de ces muscles, exercent l'une sur Vautre, de la première à la dernière,
une action identique, c’est-à-dire un léger mouvement de rétraction........
Ces muscles longs n'existent pas sur la pièce tergale du septième zoomle; celle-c. fournit les atta
ches aux grands muscles de la partie caudiforme. . maintenu
. Les muscles dorsaux manquent sur la ligne médiane occupée p ar le.comr ; cet | M M I M
par des fibres extrêmement délicates et par les muscles longs qui lui sont conUgus de chaque côté.
• W ill y a une complication un peu plus grande. Au centre, il existe des mus-
: bieu marquée que nous avous rendue avec exactitude dans notre figure (2).
“ t: .
“ de U n de continuité'.dans les fibres musculaires; il y a seulement une sorte daplat—
' H'érrasement ce oui doit toujours constituer une attache ÜBlMBi moins résistante. consistent en plusieurs faisceaux de bandelettesI les uns droits, les autre
transversaux, les autres obliques ces muscles se retrouvent dans les: quatre premiers anneaux , avec
^ 1 — - ■
dilater dans une c e rta in ^
des. loges pulmonaires au bord p o s e u r , e t
externe“ s zoonilès, exercent de même une action sur les stigmates, mais dans un sens different; ce
i l pi. h, | | 11.
P Pl. I I, fig. 4.
(3) P l. H, Bg- 4 . .
(4) Pl. i l , Bg* 4 u , u .
(5) P i. n i fig. 4 ut, u \
[ (6) Pl. H , fig- 4 u " .
sont eux qui déterminent surtout l’ouverture des orifices respiratoires ; ces muscles consistent aussi en
bandelettes parallèles.
Enfin, nous avons les muscles latéraux droits (1); ce sont encore des bandelettes, parallèles au
bord marginal ou légèrement obliques de dehors en dedans, servant comme rétracteurs des anneaux;
ces muscles naissent du bord antérieur de chaque sclérodermite pour s’attacher sur le précédent.
Les muscles abdominaux sont très-grêles, n’ayant que des actions assez faibles à exercer. Il n ’est pas
aussi facile qu’on pourrait le croire de lés rendre, sur une préparation, bien apparents et surtout bien
distincts les uns des autres.
Pour parvenir à ce résultat, il faut enlever aveo le plus grand soin tout le tissu conneclif interposé
entre les faisceaux musculaires ; or c’est là une'opération longue et assez délicate, pour laquelle on a
besoin d’employer certaines substances propres à empêcher les muscles de se gonfler, comme l’esprit-
de-vin, le liquide salin, l’essence dé térébenthine, etc.
Les côtés du dernier anneau de la portion élargie de l’abdomen ne nous présentent pas les faisceaux
longitudinaux et transverses des zoonites précédents. I cÇ il n ’y a pas de poche pulmonaire; if y a
une action à exercer sur la portion caudiforme de l’abdomen ; cette action n e 'p eu t être exercée .que
par des leviers puissants ; le dernier zoonite de la portion élargie de l’abdomen.fournit les attaches
des grands muscles,' qui permettent au Scorpion d ’exécutér les mouvements les plus énergiqhes avec
la partie postérieure de-son corps.
M a rs musculaires. — Si l’on examine un Sçprpion.vivant, on remarquera souvent pendant les temps
d activité que la paroi dorsale se soulève et s’affaisse, alternativement d’une manière .assez sensible à
. -de l’ebsucvateur attentif ; cette action physique est produite par h jeu de grands piliers musculaires,
qui descendent verticalement de la paroi dorsale à la paroi ventrale de l’abdomen. Ces pilierâ
sont au nombre de six paires, mais ceux de la première sont très-grêles comparativement aux autres
ont le volume ne laisse pas que d ’être considérable, toute proportion gardée avec la dimension totate
u corps de 1 animal (2). Les piliers musculaires de la première paire (3) prennent leur attache, d ’un
côté, au bord antérieur du second arceau dorsal, et de l’autre, exactement en arrière d e l à grande
cloison aponévrçtiqne du céphalothorax. Les suivante s’insèrent, d ’une p a rt, au bord antérieur des
oisième, quatrième, cinquième, .sixième et septième pièces tergales d é chaque côté du coeur, et
autre p art, aux sclérodermites. ventraux, contre le bord interne des poches pulmonaires
H I H h B H I 80,11 ■ P0si,ivement W m ils 06 sonl P*8 ammdi8 Pi“ , “ ais
comme dans leurs formes nous avons aperçu quelques légères différences d’un individu à ’l’autre, il ne
■ M B r S Ch0rcher à les Préciser rigoureusement. Ces colonnes musculaires douées d ’une ’
■ ■ ■ H p a rle u r con-
cette dernière a ab al^ er la Paroi dorsale vers la paroi ventrale, et en même temps à élever
paroi dorsale tend au contraire à se soulever, e tla
S a t o e ' ,em>nS plaSl0in^ °elte aotio» a «onImportance dans le mouvement
(4) Pl. i l , fig. i u ’”.
(2) Pl. u , fig. 4 e t fig. 5 ¡¡I Xf
I l Fig. 5 x*.