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Date, Localité
1886
à Vichy.
D'Beugniès-
Corbeau
(notice publiée à
) Vichy, 1886.)
1886 (6oclobre).
près Toulouse.
Espèce du champignon
Amanita bulbosa
(prise
pour des Gy-
rolles!)
Préparation Age et sexe des sujets
bouillis et
cuits à
la graisse.
G. Roumeguère
{Rev. Myc. 1887).
18S6 (octobre),
environs de
Toulouse.
Amanita bulb
o s a (A .
phalloïdes.)
un seul
pied
frieassé.
1° Une personne
adulte.
2» Id.
3° Id.
4« U n e p e t i t e
fille.
5® Id.
6° U n j e u n e
h om m e (24
ans).
Heure
du repas
c . Roumeguère
(Rev. Myc. 1887).
Amanita bulb
o s a (A .
phalloïdes.)
cuits ? 1» Marty (méaveo
huile canicien, 32
et sel.
2® Sa femme.
peu cuits.
Midi.
Id.
Id.
Id.
Id.
Id.
3® Jean, Terret
(18 ans).
1® M. X ., vacher,
Souper.
Id.
1 h. du
matin.
^ ^ Durée
D é b u t ¿(,5 âc«i(leûts
lus de 10 h.
ap. le repas.
Id.
Id.
Id.
Id.
à I0 h. ap.
le repas.
1 jour,
Id.
Id.
20 heures.
11 jours,
(?)
o u 9 h ,
après le
repas.
(?)
ÎO h . après
le repas.
7 jours
plus d’une
semaine.
Symptômes principaux
Symptômes cholériformes
seulement.
Id.
Id.
Se réveille le matin en état
d’ivresse, ne pouvant se te-
nii' debout.
Id.
Douleurs épigastriques ;
nausées , vomissements
répétés, diarrhée intense,
puis après longue rémission,
nouveaux accidents,
paresse motrice, adynamie
extrême, intelligence engourdie
mais intacte, assoupissement
ayecV.elffi'
oination, pantodinésie.
Nausées et souffrances très
aiguës, vomissements, diarrhée
tardive et laborieuse,
prostration , défaillances,
anéantissement des facultés.
Avec symptômes cholériformes,
engourdissement général;
abattement; apathie
extrême; indifférence durant
plusieurs semaines
Alternative de syncopes et de
défaillances; ictère; gros
foie douloureux ; anéantissement;
hébétude extrême
durant plusieurs jours.
Terminaison
Guérison.
Guérison.
Guérison.
Guérison.
Guérison.
Mort (H* jour
après le repas.)
2h. aumoins 3 jours.
après
le repas.
Mort (7®jour
après le repas.)
Guérison.
Guérison.
Remarques
N. — Les trois
p e r s o n n e s
adultes mangèrent
cha -
cune 1 ou 2
champignons.
N. — Les deux
f i l l e t t e s n e
m a n g è r e n t
qu’un champignon
c h a cune.
N. — Le dernier
malade fort et
bien constitué
n ’avait mangé
qu’un champignon
simplement
frieassé.
Coliques extrêmes ; phénomènes
ataxo-adynamiques.
Mort (3® jour
aprèsle repas.)
Convalescence de
plusieurs s e maines.
La guérison s’est
fait longtemps
attendre ; elle
n 'a été comp
l è t e q u e I
mois après. Le
malade n’avait
c e p e n d a n t
m a n g é q u e
quelques morceaux
de champignons
.