
türè lo'ffqüe les Gre c s :le s Lktiiïs-1 cè'rhmé fixèrentà écrire. Dë-
puis long-teros I a voit été remplace dans -lès villes par lès Tear-
pies f$c par les Statues qu’on avuiteu-f aef dèconfïriiire ; te dans»
les campagnes*, ilétoit entier enlènè abandonné au Peu'pie dont
les Hiftoriens & les Poêtes- ne s’ocGupolént-guer.es/ Malgré,
ces de fa vantages 5 il exifte cependant un allez grand, nombre-
de traits échappés , au teins qui décruic tour ? ^c rejatifs a. ce culte Si
pour que nous ne puiffions doujeer de ion exiftençe._
■ H’oùS
^rèn rîé s Lacs '
Le'Lac 1 1 le‘s'bo'Ms'duqdëL 'ofe bâtirduns;lé' Laxlahi !*viîté
' :d”Al6ie la îôh’g’nè.
■ V a là- v â lîte d ^ ric ie /pt'ëfedïi § | É | : facr e d è B la iré T a ü frq iiè ‘
' >gftg lei^anVec RWâi&s fë! réhdoî'énr ehhqàë' aiinee, af
pfed^’ Slu-ânnée^dWïï^lsl; 8^June' tôrche*’3Ma m^inl^
On y* éleva dansdafoicè urr TemphVdigfie1- dé'là DécHel
Ées Ëaux Ê^rèhcitfesy auprès defqàeîlës fétenaient' à Eeferp^
té'mJfes Feriës Eatïné& A
Les1 Ëàux dèjFérbiiië trï^àBBi^We^lQ^
on voit encore les ruines d’un Temple confacrë
-phé- de" efes^ëaux,-
• lia Fontaine* de'
de tampagrld d’ffctfaée", & «m'-dëvâritSdHai|yièîle dfi élevai,
un Tfe iiipTfe a l Honneur de k-même'Beéflei
jV F leuve Clitumne wès-révéré'par lés OîfiBriëns,,.
lie Eleuvë NumiqüëÇoùld-ori3 difbir que's’droient/nbyHs ÀriiV
' na Perenna & Ehée;
Les Étàngs' de"IVTàrica dâfts lé L’atium i fur1lés^bbrd’s’ duquel
étoit une Forêt coïîfacrée:a:'la:'Nymphé'dé-ceS e’aux;.
La Fontaine de Ju tu r n e : c’étoit un Lac du Latium, voi-
lin du Nurnique , & donc les eaux étaient regardées corne H lâr
lubres qu’on s’en fervoit à Rome pour les Sacrifices. Ce nom e(t
compe.fé des , , TüR , fontaine riviere , mot-
•à-mat, la Fontaine des Dieux [a Fontaine par excellence, Auffi.
difoit-on qu’elle avoit été aimée de Jupiter, & qu’en récompenfe
il l’avoit établie là Reine ou ^p^e^Tq^Sk.^aux./. Qui ne voie
que c’eft une allégorie çliarmanpe , - relative à l’excellence, dé
fés eaux ? on lui forma une .généalogie non moins allégorique..,
•qùç. nos Mat^ t^È^,m odernes., Mythologlfles froids & fans
goût, .ont tçps,ÎMU au pied de ljaiejxre. .
Iuçurne , d.ifqit-on , étp.k.fçeur de Tu Rn us, nièce delà :Nym-
phe ÀMata| file de la Nymphe Vf*wilia , petite-fille de,PiLum-
nusj. parente,de Latîeus .qui avoit époufé;taxante AMata. Ç ’eft
Virgile qui a chanté toute cette Famille dans fon immortelle
M ëM < ^
V en- ilia , .«£$$$, u n n o m, .çj£? .jp^ux le flux .de la mer, fon
montant, où dit fort ingënieufementfq.ue Ju-tutne en efl la fille.
PiLumnus nom des Etangs , en efl. le grand-pere 5 elle a pour
tante Aüfata, nom, formé de A m , riviere ; pour,frere TüRnus,
ouie^leuye : pour .oncle, LA-Tinus .ou -Jç pays dans le quel elle
coule.. ;
Ainiî les Poètes perfonifiant tout ce qu’ils avoient fous les
yéux, en deyenoient plus intérefîans :.au lieu d’une froide & puérile
métaphyfique ? ils ofFroient par-tout'des.tableaux remplis de
chaleur & de vie : la Nature fai.foit les frais du fond j ils n’a-
voient lqu’à l’orner dé formes riches le brillantes.
Le Lac F u ç îN dans le pays des MatÇes,quia quarante milles
de tour y & dont les eaux font très-claires très-abondantes en
î ÿ