
543 d j c t i o n n a i r :
Ges mots tiennent,de même que '
KÔMê, village , & que le Celte .
Com , ville, habitations réunies, an ^
mot. Gom | enfêmble , parce que: i
les divertiflêmens, les réjouiflances
publiques le forment toujours-par
la réunion de tous,ceux qui habir-
tent lé même lied.
Nous verrons' dans là lutte que là
Tragédie n’avoît pas mieux été
traitée qtte fà foeur relativement à
fbn étymologie.
De Couos , réjouiffânee •, vint
cette fàmillè Latine-Grecque--:
iv Comu s f i , Comus , le Diea des
réjouiflances» publiques , de» dânfes
& des jeux."
*».CoMÎcuj, a.+ um,, Camique, de camé- dien.
C@Miet, orum, Comédiens.. CoMicè, d’une maniéré plaifante, comiquement.
;Gdsioeduf^>'Gpaiédiett, Hiftrion,-
Gaitoedicus., a , um , de Comédie. ■
Co.MÆiicé , en Comédien, plailàmment..
fZovioedio-G&hrhus', i , l’oéte comique. •
Pào -Crymium-, i i , hymne à* l’hionntur
de Cornus. '
4, CoM-AaçAuj, i, qui Commande dans un
village» •
rxi;.
CUM, »Monceau...
3 » Cüutdux^i -, moncèau, tas, amas ;
z ? . comble, excédent ,-fiircro ît,
augmentation ; } °. fin,, cénclufion.
CvmuIo ,r®te combler , rem p lirch a r ger
, emplir’, amâuer , entaflêr ; accumuler
■ ; »o. augmenter , accroître.,
ajouter..
! É T Y M O LOGf. 344
Si^Mulffîio^if,:^nas,aflemhIage^|npn'-- ceau y. entaflèment.
Cvûulatim, par monéèaüx,maniéré de choies entaffées Tpeasi-rutanse-s, £eUnr- les autres.
CvMulatè*,. abondamment , .magnifiquement
, amplement; , largement j;|peu
largefTe ; outre mefure , de relie, a* Cvuera, ce, grand panier avec un
comble ou couvercle , manne ; ou»
; corbeille haute »i pour ferreuXe:
bled».
G o M P o s as.
K.'
Ao-CuM«/b , - are, amaflèr, aflem-
: hier, entalfer ; z K combler , t'ét*-
ehauflerlesatbres &lés'pkntfe’s;
|A "'q&»Ci .avcvciuumiàuiolér.ÿ-is, entatfeur-, 'quï àmaÎTë, jAcrÇuMamaiatio;- ,z ;° o. nrirépc»h; auenffteamffeemnte pdte.s arbres’ ou, aes vignes.-/,,
lparrogfeumfioenn.t., en : abondance, à tas , avec,
%.^:3Si^TÏ
Gà-ÇùMï» , inif ; combl®f cîfrïe
fômmétv'
•CCkA--CCupMMinino am,a, umyqùifîmt enppointe^ •De-CA-CuMi/,-taor ,e- a,r et/e,r, mabinatet-rree Jne p looimntmese ». le Jaîte. -■ ‘ , t ; Dèb-creAs-.CoMmà«û.yÿàiî ,Ætètem«aiï.dés. ar*-
-C di eMs i.at,r bcri,e sp,ointe, cime-des montagne s, -
LV.
GGEN, CoramUH'j Repas-
Dé Cou , même que-CoMunkm,,
B E L A L A N G U E L A T. C A N *4<*
: les :Gfecç firent d’adjeébif Komôlr,
■ commun.: &.le.fub#antîf elliptique
. KoiiipjdeîCottpec*iOTs?/-^m^/ pre-
pas commuaVixparcè.qu’alors tous
. f ceux. qui; çoj^^foiÿat la .feinille j
; {èréuùi&ient pourm^igercnfèin-
; ble & qdè^toitf y érôiii cbm^fiS'tpâ
*' tous : eh partieülicrle ,pdtage' bu là
foupe qu’on ^mapgeqit .dan,s, le.m^.
. ; me plati De-là certe feiiiiileXàùne'.
.' ;rC<EN<*‘ y îpap.ëf,’"*’“-
r; Cenæ , <z, •7-ïdüper^repas du fo'if:
'jCoENai, a , S: f4le;à- manger. CC aa N“l ui la f oe , p_etit cbTlaùcsn^» • tourne ' ïôkper ïbü vhn t ext-un 'même Itéin :
CaNtor/ô^-jrl^-âvdîr'enVié d^ fôàpetï J !AGa«pNrfsefsù^rfbf/u,«Rveug.r a«rï'qui làrffoùpé, qui- ed
Qomario ; h is-, falïe -à.ffeflïns ï --^iSllé
à manger ; K plus* eleve'&
fe: ojiis; Jfp|ci^xr. d^uhe^m^ifon;
cabinet de jardïn : —chambre d’au*
-d âiénce, parloir.-1 ■
: CgdgWrt i,t ipuentciutl ap a, ræl o, irp.e, t|iitje chambre à mon«
- Cmnaticus ,a, um, qui concerne le fôuperi UieKatgrium:, ii*',’ robe' dc .fèflin j* robe de *f jfeiajtnb’re.’i“'-;
C a daculum , fàlle à manger : ceo mot
étoit ulité pour les pauvres, tandisjjque
les riçhes fç ferypient de Ccmaiio,S
Canacularia , de ^Ufyeî? d’un eîàge loiié. -
CmïSacuîarïîis l 'ii ,• locataire, celui qui louoit le plus.hautiétagg^’m ^m ^ fô n .
,p P%-Éï$kîf-
A kre^ÇêN a, ce , > collatipUj goûter,
Àhte*GàÉNMm, ii, ) r$pas; fiut gntr>e le
dîner &,le louper.
.^C'-oeNn-feCmauoale, . c■e', qui loupe avec , qui. loup
C o v-Cm m iio , - nis y iSuper fàit avec Une' *. - gelria^nedineb lceo..m ;, p.agnie ,• l’action de louper' '-S oloîêi,t i-dCaanssi-ufaT nn,r aziif o,n r. epBaesr q Du*ôoMn faaii t’ chézT i mai-' ; > -fonÎTf™j
XN-GcvïNo^zzrs', ifouper- quelque -pât?, -
I rêtfe a louper,
. ,îîf-&Na*aii*3*) um ; Iist-Caiii^-é^MjuïnSa -
I, pas leàjpeXp - P. -RS É-CaNo ,-ar’e-Vj^bpér, une fécondé fois.. I 'ofebu-sG eno ë,-ra''’rfee n; j-fÇtra Nqou- ’,à-aldreer,n fîôr^ûp veni'e^ dpezèPp--"
_ ,mango5 -apStitJ
GoENo-fi/a« , ii ^lîeu oü l’on 'yic ehp
4 commun, cpttVéntÿde Bf', en Cett. • Be-; vivre.'-'- '
C a5i|)^ |S a i - î M ;, » gens' I «juî -vîVüït1■ eat1 CCayoom-mBiu-AnaRuCtfél.â, <e, Supérieur, Gardien,'. PipVifeürdeda.Commuha'uté,'-'
C;0 ,M;i»0 ?SÆ,;-. *
CûïtcTlzr , a , a/B , fbûf, général ,
. entier...
ï XèsTüà'dit qüe cênitbt :dêfighe
une réàîlibn d^bjets^Ià totalité des
objets unis, raflèmKlés.èn un lieu.
Au heu que■ omfAs^délîghdif là
' ''tétalîté d’objets d’ünemêrne' elpècé, -
quelque dilpprfês qu’ils fullèhtü * t,
■ " G-étoîtf une très-bonne chftiiïâion
H qui 'failbir-,voir que ses mots n’é-
- rcâent pqint^nqnymes.i
: Çwnciiïs é(t donc la réunion'de