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de Sénateur : capote - deduldafs* -V
A-M-Boiaglun» >-ïi M l^on. jette ^autour
de foi, ce dont on' skftf elope : Aiaiét,
Kngequc les Prêtres mettent fur leurs,
•épaules -pour tfire laîfteïTÇ'»"-
j°„ Bourfe , Bulle, '&c.
5 É T YM O L O G » 148
9°, Bulle- du Pape.
h ia t u s , a, um, fcelléj huilé orne de
j. Eu l s a, a, enveîc^ge * bourfe »
boùgette de cuir, havrefac ; ventre, I
, - matrice.
C ’eft.un mot pur Allemand &
Celte | en Ceke?,l<£ ventre , aü
é g a ré une enveloppef&difçnt Baçg *
de même qu’en Gochique & en A K |
-lcmand.Les Italiens difent B'QL<n$/4j
d’où les F r a n p is ont fait Bunoette,
:. . B o if ie ,.qu.’ils qnt&douci etiBouge *.
Bougetré. En: Grec vulgàite ÇOL~
c io n , & en -Grec^ndÉ» M o i>gos->
. un- fac. En T fb eu teq , en Sajcoo & I
eu Suédois-, B e-bg veut .dire' le
centre, une enveloppe de peau, dé
» cuirdes Anglofs en ont fait Bïlly,
Je ventre., , .
J.BÜtlâ, or. i*. Boule ,_corgs rond: t°.
Bouteille qui s’élève fur Peau, lorfqu’^ U
I ) rgmiifj quleHebouf, o tM ^ ' P ^ t!
j . * « . tèt? d e . x l o t t : & £ « * * t a U c
■ dfor oir j&rgëift;ÿ;~
5. Anneau é» forme J* câmr que Tes1% ^ |
- - Ides Romains pefidoient au col de leurs
enfans jùfqu’â d’âge de quatorze ans»
(«. Erifèigftes.que portaient dévant eu* |
les; Triomphateurs.,...» dans lesquelles j
’ étoient. renfermées des amuletes outalif- |
ni ans 1 pour l.spréferver de l’envte, .
'' 7o^ Boule d’airain creule-ën. dedans , qut |
nagedit fur l ’eau '& fervüità. connoître.
.' les heures- •■ 'G ' t \
S°. Houpes qui pendent auxisoulies SC
iarnoisdes chevaux».
houpes j'couvert de boulejl^es.ll
Bmdojwe $ beuiflmm^ t? fdrmer des
: bouteilles, mouïïer ;iÇc?lJ«.,-bulles.
bouteille, »
Jftyfôf-irt ,'b'oûiflif.
J^yrfitwvfjî * bouillon bquiUoj^eçiqnt.
E-RoL-fefo ,-^re , bouillir bouilhanner.
E-Burpitia, ynis „hcuillftnneiuent ; .ctul-
Htiuiu-t
; RE^BpNa #*«r, bouilli* de «W W « . &-
J*, bouillir. '• § j ' »,
4. Bvf.hu&> h SmSuius, i » Caïeu, tete >,
oigtroh, gonflé..
Bmiéfàs ,’a, ùm ; ^usJacaiôv a , um
qui a des cayeux , dps gwffds* .
Bm.Mn&rXï c^hçotrip^o ^
I V. BAL»
Aller & v|nir<enéond-: fe promener..
Bal , figniftâ en Gêke fe puonMier-L
pr®neïiade ; vùiicüfeS^l .labile
on le tf^d(pqpe- -a ^.ns
autres,
Bas-Bret. Balz, mareber, fe proméner*
2.0. Pro mén aAe'^rti v
B i l i> Allée" dé"grands arbres.'
Balbscg »'petite*' ptémenade, &c..
De-là :
Ba l ta , æ, barqqe,,chaloupe.
Les Latins'î’alTocièréjit a%gc Jm
qtfi Sgnjfie autè%£-, Se'l’jf dûÆtot.
^al 7 fe ebangeant àlors'ên% ; il
J f a Vamille^m-vante» dohit
l’origine avoit toajouts etémeonr-
nue..
■ A m- b u 10 ., tin y. marcher fe. pro^
i- mener : voyager-^
t 0 D E L A L A N G
AM-Bôi«nr, qui Cbprctaiehev
ÂM-BÛLtttilisrf qui va & qüi’ viêîi*?'<if^,6te J !
» ‘fferémet..
AM-Imtaria , promenade , li*u où on fe ;
J promene : t ° . aâidj, d ty fêpromener.
A M-B&LaMïïÿcSîa^ petite promenade.
AM-BôLdtfl®‘ ,'îqïii ffeWfe tîârlfpdrter :
xf£ çioüVant', pArtâtifÿ &©.
Am-Bp lacj&mt h, galerie, allée< d’arbres :
'» promenade à’couyertl ,,
• Co M -T <j S ES.
AB'Ameulo.,^? retirer y slêloignef.
Ab-A mbvlatio , éloignement, abfence ,
' ^çoûrïe , propienad^.
Aü-A'Sibwlo ft’proare.fifer ; ptoÇfte*
3 , Ters. .
ANTE-AiaB^jhoiÿàfe1,«archer devant p.àur
AN-Tï-À^K^S|B'À'i,Hiit'uier^B'eoeau, Por-
td^iafTe ,tqW marché 'devant pouïfgeat-
• tfer
ÇiÿéoM-AMB.mû, fêrproînÊftèr àüfôu¥i
G o -A’f* b iînè/-ir0è'^ fè promener enljÜHÓie.
De-Ambulo ,-jre, fe promenfctv ;
D e-A m b u LarrutÉjl jcü ,o à T on fe pro tnjene.
D E-A m b nTÈ#"w d'^a&iqh de le prolmener.
DE^M®o£iirorhiM!y:alll|È^ galetié , Dec» ■ \
ÇB-Ak.BüLatvriar’i tqi’on pcut tranfpor:--î|>
tér d’un lieu à, unr aüçte.l
s In-AmBulo', ft promenfer.
iN-AMnoEt^H^'f iicu'dé pronfenadé-, aâion
',j,t%(fe pr.o-mehéî:>t'‘v
Ofl*AMBWtatî05proôïenade devant,autouA
Ob- Amb oLatoT ; j'qui fe promeaev
Pirc-^AMBBLO , courirlepays..
pEK.-AMBui.ntio , aâion de le promener
ça & l à , d’etre toujours ep courfe.
Per-AMBüi.atoriü»2,iiipromenade autour.
RÉd-Amb tfto ,'-are , retourner d’un voya-
^ ge, revenir.
PRo-DE-AMBujbd ,-ctrS , Ce pÉOMtfter çà"
& là;
U E L A T, B A L ; i fo
V. BAL ,
Main , force , puiflànce.
1. B a i/o-, oms.,, main, paumé dé la
maiïi. Ce mot remarquable & qui
eft l’oâgine du ’mot. Bottier .,.4ott~
ôeï » cèndire , fè' trouve dans lès
düit dâfi'é lè Latin vêts le temps
de la chûre de l’Empire d’Oocident:
“^ptLjnon’cë • Valie , il tient au bon
L'atin1/
^oiæ , te , la paume de la main* ; üeul
, de' là famille &"donr nous 'avons
fait voler dans le feus de prendre ;
voy. Orîg, Frànc.1 . .
Balivos -, j , Bailli.
Ba e î BALivatus,\ûs, Bailliage r
( Æg'/lomtptele.
Ce mot tient incônteftablement au vieux
■ ftiot'EtlÀ|qiêl-^ Bt&iêi Dans üne an.- 4: cieflnë■ Ballade- le fameux .Chevalier de
Coucy affure que fon coeur efl en la Bit
lie de fa maîtrefle. j
j LV'iîicfê Italien 'Baria fignifle pouvoir, foin»
pUiiîànté»' !>
1: D<J-là vinrelît partihé légéfë altération :
B-Aïiaur, i y Croeheteur', Pôtte-faix.
1 Bajcjlo,-are, p.orter un fardeau.
BAL,
bTégafif.
De Bal , lignifiant puifiàrlce, valeur,
bonté, lè forma le négatif Bel, BU,
jB/eq défignant: le néant , la mé-
i chance té , le- mal.
Les Hébreux en formèrent'le
[ ' mot VimSs * Démon,
Kiî