
Açoga , Gr.’>>•.»>*, .tranchée, conduit,
7 •
AK'AGoge, .Gd Ay«?«^ » fopsmyf- •
■ tique de l’Ecriture-Sainte;
An-Tan? Acoge , figûre de Rhéto- :
tique, .
z , AÇb¥ .a .Gr> *A^fià y, jqux publics ,
, combats. - ■
Aconalis,*, qui concerné les jeux
publics.'
ÀGüïtiA, Gr. ’kyjttŸia, Agonie* det— -
; niere frayeur.
Agonia , fran^x. les combats, les
jeux publies.
A'gÔîîo-theta, Gr. ,A>»ir^3r*'7îiç«'J:u^'
/dès combats, qui préfîde aux jeux ^
-d’exercice!
Ant-Agonijla ,æ , Gr.A)i'l<tyan$r«f»
Antagonifte, adveriàire, mot-a-mot,
qui combat contre nous. î
'3, ACorna , Gr.*Anopya* eipeçe de
. ^chardon...’
q,. A)i.ioma, atisyGr.*jJ^l(ù{x&ï dugo,
Axiome, mot-à-mot .vérité claire
Hr-évidente', qui frape," pique ,Xe
fait fentir d’elle-méme, qui entraîne
kréfiftibiement.
Acharne, mefore de chofes féches..
Çe;mot eft cité comme étaut.d’Aü-
lugelle ; mais il n’exifte pas 4?ns
Jes Diéiionnaipes Grecs., C’eft iâns.
. doute.^un^rfau^ç des Copiftes, au
Heu d’ÂçHAî^É ’jA^cty» >. qyi eft en
effet un mojVgrec; ddfr^jaçt' une
njefure de .chofes féches, & qui doit
avoir été emprunté du Perfan.
' Acheta , Gr. ’A^tWIau plür. & du'
mafe. Cigale# groflè fruterelle qui
dhante,
Aeii-iitEÛm , Gr.J a^im’mm ‘àvroyyoi,
Ackitlea jpongix ? .éponges d’Achille
-, elpéce d’éponge fort ferrée
dont lès anciens faifpient.des pm-
ceaux.
àchot is, td*Ax» » Acho, frire mal, )
ulcères de la tete- quiïlùentpar
lés pores dé la* peau ; teigne,
Acbras, Gr. ,,poirier
fauvagc.
Acinaoes , Gr. ’Axiyotiens > frbre ^ cimeterre.
C’eft un mot ^Perfan.,
Ace® y idis\ éfpéce de dard ou
-javelot attaché à une cordé cônfee
- uirhamegon, pour le VÊirér apres
-fc j’avpir -lancé,
Les. Diâjonnaire's ^tarins",mettent
cemot ail rangde.efùx qüeles
Latins ont empruntés dés Grecs ;
X maisélétt'ün mpé^éljp^u^fee-de*
; fr Campanie, qu’ils mitepr pèur-
. être ‘dpsJ^élàFges , 8c qui tel qu’ij
eft'd’eft point Greejmaî^fnefrl-
térationjtû4 plus d-u iJSçéé'Ay^-^j
Xqiÿon âuta proïioncé Acritt'tëfà&rfil
\ " on aura pu frire Ac,çlis, ^ cês- mots
\ “aysfit la, meme- lâpifiçatioa.. |
A cris, idis, Gr. ■ '.AitpiîV {^oç jgfrute- -
; Jjrelle.".
' Acî;ido-i>hagi? Acîidpphagesj pep-
(f^ples d’Etlnôpie^qut virent de frttjs
! it&êjpSfer 1*
; ÀcroAMA, Gr^Anfoàfi*» alo:ç ,
"r ' 'iîbns fubtiLes,en .terme de phifofo-
phie,
AcP-oamaucus ,
AgroXmâticus , G r . ,
•ce qui^Qncerné^’oufe , ce qu’en
^ ^nt,e©d. .
AqROAsis, Gr. ’aKpoànç > auditoire,
.iiïdience.
A C-yâijiageVr
Du mot ao ,• imagé, les^Çrecs firent
le mot AKk6-,.V>diÈSkiulé^î fille
qui feint de né vouloit pasçe dont
, etle a le plus d’envie. Et ,1e, .verbe
A k,ej ztin , dilïînudè-rVi'd;ou vin-
■ reut ces-iùôtsJl^jji
Àcçijffb ,-are „faire fembjant de n.e
pas yq^lpit - ce qu’on ' ‘fouljaité, le
'.«pjuç. z^îiP^rô,.des'ifimagçées.. °.
Afvoic pour foi-niême une forte
■, Me cérrïpjaiûncé ^
Aqcifeitr PfjfiT.’Av.K.ijMà,s , refus'.fimùlé
de.cêffli’oii’daltrê.'' S
LesjLÊxico.gEaphes Grecs ayant perdu
de vue l’qrigm,Ê'Hdie, ces. mots î ‘s’i-
»flia|in eren qdfiss - étoient dérivés- i
du' nom;dîunê{fpîfe appêltée A x k<v ]
5p;a^tTÎl fàge qui s’^èn^contentera \
ApARfcA Ad'àrce , Gr. AJap^ç,.« 3 i:
‘ écume (déèj ou cryftalliâtioqfrlée
qui fe forme fur les plantes à travers
làfquèlles coule une eau ïalée.: I
ADENCsr, Gr. AJtyes,1 éèr'èrielîés. -1
Adiant«/w, Gr. -ÀJLjyT«y , « , plante
appellée ‘cheveu de" Vénus : etlle l
dut fôn nom à là^propriété qu’on
Vlui afrnhûo'it d’êtlre‘toujours’vérté,
& de jtïe jdonner aucune prïïè à
d’étre toujours féche,
,Orig. Lat. 1
Adonis, Gr. forte de poiffon
de mer.
Âdrachn ,Gr. ’A<Tp*^ya, petit arbre
fruvrage, femblabieà l’arboifier.
Àïd%ii, G. ‘'AeüT«y , un roffigno»
Aedo^ius , de roflignoh.
DumotAIG, Aigçs, chèvre,,..vinrent
[ ;-. .l;es.h)ots foivans Grecs, 8c Latins.
Aegiii^s , Gr. rroç-, lieuef
. ’ catpé.
Ægilgps , au lieu de 'Artgilops., ^r. Âyyl-
} A»4, fifiule lacrymale;
Ægis, Gr.‘ Aij-Js-, a!/>iV»S, l’Egide, Bou-
ifrlier fait d’une peau de chèvre..
. Ægoceros , Gr. Àiylx.tfui, Capricornei,
un des doùze Signes du Zodiaque.
Aelurus,!, Gr. A^Àoopof,, «, un chat.
Aeîiigm-A , ans, Gr. "Anry/zot, ctfoij
' enigrile, parabole, queftiou. '
:Æs.)^^iff«5i^'|^jé);nigmatiqü^^f|ur.
, Gr. gtityjp**rr* Pftfl- inveijte
, qui propofe des paraboles, des
éaigpies.. .>
Aesalon , G r .’AifdAay, émerillon
oifeau 'de proie.
AetioloGIA , G r .’A/rrleAoyia.j étioîo«
- giè, figure de rKétoîrique, mot-a-
[ \mot, raifon de- la caufe.;.11
AETiTEs^Gri A^êTiT^la pierre d’Aigle.
A G. •
Ag aï*e t Gr. jdyiirn , amidé, charité.
Agafæ , amm, feflin d’amitié. Wj
AgÀricü’-m, Gr. 'AyzptKov, agaric,
‘ Toteé de champignbh,:tfûi dtdk :for
jlesarbres.
ÂtASTOR, vUs, G.*AA£tçwp,un des chevaux
de Pluton -: le mauvais Gériie,
H