
DICTIONNAIRE
e u. .
Cuumum , i , plante appellée C umin »
Grec Kuminotï , -■ OriestalrM03 ,
C-Mukf-'-Ce nom tient aa verbe
« ^03 , KMaN , récolter, cueillir
• amafTer des-^hdfes pric-ieufâ|y| des-
tréfbrs, • 6é au-nom 1Q3 Km an
ftS trÉor, Hchoies: =ptécieufès - ' raffem- 4
bléés .avec foiiii .1
» GUP RU M ,
Cuivré.
O jpr«/»- , j jCû^re^Çe moc.tienta.'a
Grec Kupris,, .nom de VénHS'-?,&
de* l’Ifle de'Gflypré. Oit* a” èru|
que'cette- Déelfe & ce métal qui
lui étbit confàcré-avaient tiréfleur
^ nom de l’Ifle de Chypre-,-■ pafee
que cette Ifle abondoit en suivre :
mais cês* êtymolbgies k la Gfcecqtie
ne rendent rgifon de rien.; car afin
que rifle de’Gfxypré-ëâfedann'é-lbn-
nom _au cuivre , il fàufltèit que ce
fut de-là fèuleïnenr que les Grecs
euflênf riré: leur diiyré ou qulls
Lèü euflént tiré pMftOTvenrent ,,out
que le cuivre deGnypre fut le plus
excellent cuivre de l’Univers-: a£
ferrions qu? on fèrôitfbreeipbarrafle
de prouver* L’Ifle de Chypre tira
tan nom au.cojitÿâire du- cuivre
qffôn y trdljtva *,3s„éllé ifiit .rqnfst.-
crée à Cypris par la mêmë raifpn.
Etc’eft de Cypris à laquelle on con*
/. fàcra lécuivre, qup ce Métal avait
» -tiré fon nom. Vénus étoit appellée
ÉTYMOLOG. yo#
r^dans l’Qïiént Keharjpu, Kæbræ pro-
- noncé également KeBRtfjWor-a OTor,
la graqde^yla parjaiteç la brillante :
les^ Grecs entrent; Kuppis ou**£y-
pris, : de-Ià. également le nom du?
cuivre refplendiflànt & confacrg-à1
la Déefïê relplendiflànte, d&beauté.
Ce‘rnordevâi5| fî commun qhul
éprouva de grandes ^Ixefations :
Kebaf fut çha'nge en'KfiJÏ&ïS , tan--
;dis 'que nous avons--changé KuptM»
en» Cypris j & Cuprum enxüivxe r
devenu en» Theuron Kupivr;- *
Gv^^Æi^yum ; CuprjW , a. y uni , as:
.cuivre^
CxsnÈÙs' is „ad^eétif -de-Seti. asmot-iï;-
mot-, chaire’ curute ^ pu garriie en
^ivoire. Cétditf là'éh'àire Éroffntur
dés Magiffrats 'Romains-j eflg'érbit
. en efFetgafrué en'woire|u^-imfn.
donc ay-ec fon u&geTde
" 'KOrMnL’j^oiT *Tin > &uT > ^ur
lignifie-bl^ici1 *
M C Y. - :
C-/ri:EKiér, ii, fùrnom dé Mercure.
Il ne diit certe-épithète ni au Mont
Cyllene ni à la Nymphe Cylîéne ,
comme 11 prétendirent lés Grées,3e
d’après euxjtous- nos Etymologues :
cë fibm vint dé POtîentaL **73 y
Keli, Kuli, nom de la tortue &
' dé là lyre , donc les Grecs firent
r Khelis , lÿre.
Qxèarijpts:, iy y cyprès.Ce mot vient
Ço ïfyejjus, iis y ) dé : ^Orientai. ,Vÿ r
bois, & “\^XiJSupjier
DE LA'- LANGUE
pfèsé '--’c’efl: - de ; CÊtvàrbre\que
f3oyfè/dit qu’i-fefêrvirià conftrii%,
rt J’Àrche '.de' Noé. En- Grec
Kyparijfos.
€5ypr'e[Jeù£i*a, unr; Gvt'rèjfinüs','a> um,àe
cyprè*,-
Çvvréffîetunfy i, lieu planté de cyprès.
Gupré/Ji-Frtf a ,~um, qui porte des cy-»
prèsÿ' ■
f \KiU , K Y:.
Kym% Germé«; -.
A-Kvterium, - ii, médicsunlrir p^ur
prévenir la» conception.,{,
ÂV-CsŸCfN~yofii'$ , oifeau ‘ qui ” panait
'/pour faire fon nidlhr-les-’eauxde la
“z ■ mérr-; ' "•
Cés' mets' viennent Jtdu^‘Grec
ikpsêy devenir enceinte grolfe ;
porter;
Ils riennenr à' l’Oriental TH3»
L A T» C Y Or. '50$.
K§0k, force, ptfiflancé, faculté de
, -produir^&c.-
Par conféquent à la femille La--
pbùVoir'^puiflance %
qui tient|eelle.même à la- fâmilfe
Celtique Q uaï.
j£ü#v, çpsnééyoir 4 êtrê etîcfeitt'te ,
fasxufKufS, [feroît tenir
au Grec Eusoi;“, baifer ; mot Cet*
; tiqjïe, Tbetiton, JLunique, Efclâr
von , 8c eo'mmun aux Dialeébes de
ces'langüé'si'
Gall, GùS j^CusÆnr
atngia-Sàx, Coss, K.rssdh»
Ælem. Kuss.
Ejc/ay.'Kv sa.-
ifidndvŸÏQSS.. ' .
Runiq. Kosi.'
Ahgl. Kissé,
Süèd. kisning j 8ceï