
SJ J D I C T I O N N A I R E
3Bbnicus , a, um; Î>om.ùcus , a, um,
Guerrier , Belliqueux; Militaire:g*V
qui concerne la guette«
Beiticofus , a , um!} vattlarïùs, a, um;
,vaillan£, martial , GO»tàgeuXi
Bello/ùx., «»Yo», courageux ; vaillant ; ,
guerrier.
BELti-Fer , a , um* ") quiportelaguerre,
Bwi-Gsr, a > hto». >. qjûaiine les com-
BitLîgeraîor, zfÇ J bats. Homme de
guettes
Büti-PoTEss, H>,, P,m|raBt-cn guerre , , ' ■
qui préfixe à la guerre.
D-é'k.- i v- é- *.
j . Bsxiica, te, colonne confacréfe à
Bellone. Lorfqu’on vpujoit déclarer
la guerre» QnJàpçoit. cootçe cette
colonne des javelots & des #dfefSf: | '
i , j.Ej.tic«m 4,z‘ i gggÉliguai que’donoe la
j trompette 1 la guêtre : lîgnaux du-îam- !
bôuf, la charge., la retraite., la chamade
fîa géùêfàîe ; le fdefin ; FaHarmé.
p, B E iii-Ç a ita j m danCe. armée £«Çfëê i
de pyrrhique, iitfiïtuéè par Rqinulus : de
CREPure , fairp -du bruit, à caulè des
cymbales, tambours, ou autVes^^^ru- i
mens guerriers & bruyans qu’on xm-
. ployolt dans ces dantes.
4. BEtqzze , ex, ;aiguiUê|,pe®ii de mer.
y I BÊïülum, i , infiniment pxepre.à tirer le ?
fer des plaies.
6* BEiû/a» <n> hete-féroee-: 10;' Guerrier
fasouohe : 3 Homme crugl;
B Eilualii Sgàatj | i
JSti-luinus, a, upi , de. bc{e.
'Bv.iAùtùs; a,um, J
Belluatus, a, um,.qui repréffebteùiieBête» -
BelIuo/ux , à , um,, rempli de quantité de
bêtes féroces.
V e -R B - E
J3iiubrfire,; or t-qri^&jpe la;g.uerj:er,
f guerroyer, combattre,
É T Y M O L O G . r t f
BELti-GERo:,-are j porter là.gticrre » faite
,1a guerre.
. c O M P O, S É s.
Àd-Bello ,-are , /a ire la guerre.
De-BècIci 'X-ars , vaincre, dompter, dé-
1 faire : mettre fin à la guerre ; faire mec-
tre. bas les "aïttiei1.
DE-BEriator, «vlqiti'remporte l'à^îâoiré
lesrarntes^à ,la; main..- | .
Im-Belhæ , gqltroti&rie , lâch*«esLpeu
de! «lifptmtwh.au'?métier lè'ljpgïferre.
f l l M M g ^cu propre' 4'lâ gnérrc:,
lâche, foible^ppltroa. Kl
Per-D^Bl-lIx*, zs, crime de Jéze-Ma-
„ÎBÜ^^çrùme d’Etat..
Per-Duel&It;« î cflimrf^d’Ëtat ;jpfeemi
tantrq_qui l’an ell eh ^herïcr. On‘(ait
que D-qktËbm efl le même que, BÈLLOîn.
RE-'B'Eïftr^af a» recommencer la guerre :
i° . le révolter."_
KE-iBÈbLÏwr^ ■ if;'^E-SiÊLLa^gz^*W g y -
» belle ^■ ôè’Uiioü- celle qui |fcf0u;|eTC.
RE-BEoingff , ï ï g g g g |
RgiRELLat^ir, >
Re-Bellzü«2 ■ 9
wm. \
BAX ,. Bas., .
Bal fignifia- aulS1 lesM lieux bas, par
oppofirion aaxlieux élevés ,'Xûîyânt
l’ulage des mô^ÿriraitifs.4# défi.--
gngf, des. e^trêniea fdé-lf ^
I^fiAxo ,-urô»^eflglüqf iFv, avaler ;
epnlÎMMir. Et cecEeipatnille
V allzj, is; VALiei- f Ü , vâllée*
VAbîldal<ki « y vMkhSw > 0 r, vallon ,
: petite vallée.
C o m p o s é « ! Ôrecs> & L au r in .
Des Familfes m V i & VXde Ba l ,
:■ „d'éfignant l’aéHon de parcourir, un
- : grafid, elpace, foit en & protne-
■ nant , (oit en étant lancé avec
j. force, fe fomierent les roots Grecs
. iuwans en ufage icheiZ iles Romains,
&'6ù B a t v>efl:'',prononcé Bo l ,
iconune Mlë fric en Bni dasns '-Jtm-
I bulo.
Em-Bolux, i , pifton ; i°. coin, clavette.
EM-BûLa, erum , far-c-es , plaifanteries.
JËM-BoLïzznz, zi, prologue : z°. intermède
, d’une Xomédie y.çpifodc^.
EM-Botnriûï,, a. ,, üm, ferceur, pïàiz 3ànt..
HECAzesfBôqux, <r ,:arû;;{îi&cKte-BxLetss,
‘ 'os , q*Û tire,Æé loÿa. 1
Hvpcr-Bûlu,, Æ»d^9wp,çniiiaue, hyper-
3' feole v r°. haut d’ufte,çol|infej.':L
f i ypér-Bolê',, e'ÿ, 'éxagératiou , hyper-
bolc. ! I
HV;po.Boie:q exfigure de Rhétorique,
. queftiqn de DialejSjqup,',
<Ej>., Cjomgaraiffijti' , allçgo-
P A RA^Bbrzif^ar, ùm téméraire, "déftfp'éré".
Para-Boe&ôsI', a, um j^paraberfique.
feR'ATB»Lzzsi , orüW', BayfaBs obligéi aux
corvées.
ï °. Fre/es (érvans. hofpitaliers.
30. Freres qonyprs dé "Monaflêre.
FiRr-BobiiA , i , promenade:
PïRÏ'-BQifcuxi i » parc, côrdondfe muraille.
PER'x-BoL«r F in.-, um , périodique, qni rc-
.vieqty
Pro-Bolz , arum, pieux, paliflàdés,. -.
F-ro-Bglux , i , rocher , bri(ârit, Dattûre.
FSEPHo-BoLza , a , jqd de dés;.
PsEfHo.-s-BoEuzn cornet à jouer aux
, -<jez. 11 i «
PY-àprBoi-um, z',jnachine d’artillerie de
t'çPjr, fcü. * ,
RjcrO-Bo-lu-x. , . ,süïn »iquilàn-ee le Feu.
BAN, BEN, BOÜN.
B a-n , B en qui fignifie Eauteur, profondeur
, contenance, dans toutes
les -Langues Celtes, fournit divers
mots à la Langue Latine.
1. Bennæ , <z, s °. va(e, panier; z®.
tornbereâu , fourgon ; 3". fiirtqur
- 4® campagne.. !
Nous avons vu (Orîg. -Fr. 6V>o )i
•que-^eà/zu ét-oit en ce feris un mot
-Cë-1 tique. Cette racine fournit également
des mots Grecs & Hébreux
2. ÂFÊNi, fignifie en Grec un CHar^
un GafÉo'lTevùne Calèche : il tient
à l’Hébreu ?jlï{ ,.aplietv
3-.’ Eotnrts, %;-trun, i , -Ebene.. Ce*
mot efl: Grec & Hébreu. J1 vint de'
l’Chiént avec lé bois même qu’iK
•défigtte.Cet arbie devient très-gros
& i fl n’efl 4one, pàs:
étonnant qu’il ait çtis fou, nom de--
Ben,
4. Nonsf avoiis èn ïùrope nu arbre
4^ii doit fôji nom , & par la même
•rai(on , à-la. même, radne ; c’eft le
Sapin,
Aein effi dans Hëfychius un mot
Grec qui fignifie Sapin» Les Latins
-en firent :
Abïis:, etis , qui fignifie çgalemenr,
i-°i S^>in : mais de plus & par
analogie x\ Vaiffeau , Navire,
parce qu’on- les (ait de (àpïn ; & 5®.
par la- même tailbn , Tablettes de
bois,, qu’on endnifoit de cire & fur