
près. Les trois premiers font lecommen'eefneat d'une ïnfcriptiou *
& feiifent ainfî :
A ulemi , MeTelim , V eslal * :Ie ie c ia l Auîùs Mctellus,
On voit enfijite les roots yLarth Çdjinis > comme, nous dirions .
Don Ceifînis , ou le Selgneùr Cëiuhis" : le mot L a ft, répondant
à ces idées & tenant à, la même famille que le LoRD des An-
glois.
“ Viennent enfuîte ces noms ; Marcus, Açbille , Mé»
nerva ovi. Minefve, Hcr cia o uHerculej Qaftor, P®kuB$$iVi Pol-
lux, A plu ou Apollon : ThatnâJou. JuÙdrit* Tiftià du BacchüS £
Péroufe, ville d’Etrurie,
Dans le N°. IV. fônt 'ces fttots:
m ,:«&<? i;i Je." ; V
Avïls ,âgé.
Lupum j tombeau.
Teïus\ -fils.
Glati i -;lW3,;7 j
Métrés, mefe.
Fièrent, confiiçté*
Kurf^ cnaf.
Fana y Temgle« fj
Precum , priées» "
Frontac, foudroyant.
Trutnutj, arulfcice. '
Thaïut ) dame.
Çu&tiy . >
Aucun de nos LeÆeurs quf we ’daÆis cêtte dêf»
-niere lifte divers mots Latins, tels que Mi} Fcl'us, Metris^Kurf ?
Fanu y P recum^ . »
D’autres tiennent au Grec, tels Lupum & Fronta'd •;
C lan eft commun aux Irlandais avecla même lignification;
CüER j! epfam, eft également Latin & Grec ; c’eft.Je K o ros
de cette derniere Langue : le Po;R & PtJ^R des-Latins^on fait
que Ç ôt P fe font fans celfè mis 1. gn popr fa,utre.CCi
T r ü T n u t A r u fp ic e , tien t au L a tin Trutimt-ory qu i examine?
q u i p é fe , q u i con fid é r e ,-
D’autres noms déchiffrés. fur diveçfes Inferîptions ou Epitaphes
Etr niques par le lavant Paflèri,démontrent le plus grand rapport
entre la Langue de ce Peuple & celle desRomains. On y voit
dés perfoànage?■ appelié’slé’Æ^scm l’aveugle \Elpis ou l’elpérance ;
Gyâccfius -ou Gofnejllevç Glaucus pu,bleu, bluet $ Gallus,ou coq:
Câprflis ou cabrit ; Maigér ou maigre, voû^tttyRufus ou le roux j
Sefrionle feverej Trtpuniaùmui, Trebonien,ouTrois-Fontaines.
Sur une Ihfc^ipdémtrouvée àTuders,on lit ce nom T h an a,
NIKÉl l a , Dame Nigeîlk ou la noire.-
' On fèf crôit dans les Catacombes de Rome & non dans celles
de l’Etrurie.
A L P H A B E T S.
Nous avons cru devoir ajouter a ces. recherches fur les anciennes
Langues de ritalië , les divers Alphabets qui r.éfulcent de?
MonümeOs quiîmaus en-reftenti o j les.verra* dfns la Pl. IL elle
eft intitulée A lphabets Italiques , comparés avec le Greç
ancien & ayeçl’OrientaL jg
Ces Alpb^^slc^liqges (pnt 1,’Ejt^ulquc de divers agevI’Eygg-
bien ou Q;m{^e;, .l’O fque.de Noif- & lô;Samn|te du VHme. fiecle
de Rome. Qn y voit leurs rapports avec l'Hébreu des ÎVléd^ill.es»
& avec le Grec ancien.
On ne fauro.it les çonfidérerfans fe .convaincre qu’jils furent
1 origine .des cara&eres>Romains.. 6c qu’jlls eurent tous la même
origine que les Alphabet? Orientaux ce qui s’accorde parfaitement
avec ce que .nous axons déjà dità ce fujet dans nos Origi->
M*. du Langage G? deLEçrj4uref
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