
ter des fardeaux": mot de la. même famille
que L’Anglois BuRDe/t, fardeau.
3°. Enfant.
Déjà cette Famille Grecque & La-
' ‘ rine
Brephos , enfant.; bn eft obligé de lié
porter,de l’éleverde le nourrir. ;I ^
BREPHo-TRbyHÎutaVhtëjjjihll pourles èn-
fans- trouvés-, mm-à^mat, lieu où on
nourrit les enfans. ’ jjjftj
BAR,
Parole ( 1|3KLl!l
Nous avons \sô dans les-Orig. Francs
que cette famille Bar , défignant
la parole , revêtir plufieurs formes
‘ différentes, fùivant les diyérfès ïèl.ee^
. relatives, à; jÇglÊs-là, & fuivaait les;
Peuplés qui ?én feryirem^lfeJà
ces fa milles Latines ou V.
fcivre d’un B oü d’un B»
Vere ,défignant là parole.
BAR-BAR,défignant un langage
étranger ,noft entendu.
Bàrd , la parafe chantée, ou la
Po^fie : des Peuples Geltæs. . ’
;i . VerAeot , ? ; i °. Parafe ; i®. Un
mot, un terme,3®.urié Sentence,
4 ° .u a verbe»,yt
VxKbofus, a, ûm, où il y a beaucoup
de paroles gg grand parleur. &
VE&boft> ,reM, tenir de .longp: difcours..
Vs&iojitas , long .difcours.
VzX-bpsè, arvec' beàucbu^ de pâroles.
Vwkii - VEiirarie|£û,idiîpute dé paroles ; I
de Refis; léger.. J
i Y erW- Gero ,-are, fê quereller, le battre
avec des jnpts. ;, «
'i. BÂR-BiTim, i ; BAR-BtTffflSfrTof »
■ Lyre, Luth-, Harpe,inflrument irebrdc;
■ maifon1 qui parle ,c qilï're-
tentitl^ÿfe- B |r >/j^rêfe^ : ohfa|,: & Bet,
■ .maifon. C’efl .un'‘mot Grec 8c Latin,
f II1 jRxnt de l’Orient aVec les' inilrumens
r niérn«T - quYP - aé'figmïiti "**
-3 . B& ^ -B à r b j , a , um : cette réduplt-
' .'cat}on d u mot Ba r , marque T a c -
,. tion dq prononcer un la n g u e , ,
qu^n^-neo comprend pas : : ■' B
U ne langue étrangère paroîrayoirr
des.fons durs. Itb'nJa^ d éc laré(5 «r-
barc , comme [fi^ u k fft’çtqijt .giFun
v a in afTem'blage de! rnots.»
En^ Lajtri ^.cqt mat .(ignifif., { 1 ®.
•un 'Etranger r celuL qiû.^n’eptand
. pas U Langue du Pà.ysyqiti Barr-
gojiÿie. utv.ausre. j.argo,n > un
^auyage^jïn hopiiile|fàrôuche , Incivil,
impoli,, cruel.ç f^ns pirif'r’;„
' BARjarhâim«, i î ’Ufî *1* 'clameur, ,élan
de-voix des* peiÿpkes étrangers-allait. à.
l’aifaut îbri ftyt intéreffant- poiiTibux,
&'#rpstdéfRgréàle :.aux
1 nrcn, comprenaient, p4?ri$-fenR.;.z^..mar
gafïn jg&jâ l’on. gardçutj jUps-
' .quelles i foldats Romains -feifqientj fur
i4 ces malheureux étrangers.- _
i Bar.baricus, a>-. étranger ,-..fbuvage
;ÿ®> bariolé, de diverfes coul eurs à
i'i.lamode-des fàuvages'iiL^uiifq pçîgffçnt
le corps .ou les habits de,-:Couleurs-bi-
i garréçs.È-,
B a Rèarè, : à la manière ,des étrangers';
1 »; âu çfiguré^sjài-j^fmanfele; des fau-r
! vages,..cruellement, barbarement.
! BAfâÆfi«jiÆ4 JBtnkjMtjf 0é&fipays étratt*
, ger. Les Grecs appellaient ainiî l’Italie.
pdÿ
Les Romains donnèrent le même nom
à;la côte d’Afrique", que npûà appel-
lons encore aujourd’hui. la Baréariey-Ce
. mot-6gnifié auffi i<ii\ l’utâge des étrangers
, c’efl-à-dire ,-le*défaiirde manières,
. t'impelïteffe ; la crûadtél . "> i
BAJtbarifmus', -zi,:-'met étranger, tour de,
-phira'fe étraïigdïst&^iiwpropréi-
BaR-Bara-Ltxij ,,^chpija <?un mot
-értahgeV Donr^lîüpîr" à., uti'mon de] > la
, IàngUC qu’eff'pâticf r- de ' Lsc^‘ehdii:
4. Pcfur défîgnerle langage des Dieux,
la Pocûe , , leâÿ; ‘0cci -
dentaux , âfbdtefenr alf’baof Bar
ht- lettre,/? ^cpnioniî& 'quif exprime,
| cei',quî[ y* a de'plu^ eîmlent ^jde
'“Hü^felëve je‘àinïï le motJjB'Aàp Jfâ-'
gnifie’ Poëfe , & j^rtiôuliéiémçnt’
Its PoëEésGaùïbjsf ^ *
,,erum ?-fes1'mfd^'‘;-'f,betes ,,
MiÆigi#-’( _& : ;Gn4iïteur'su'''Gàu -J.
■ '"Idis ; ils ''Gtÿm^ofoi'ent âè's‘ Poemes
Si les' chantofeHË de Ville'^li Yilîe,
' saétottipagnaiit de k fyré , oîr.dc"
feiHarpe. Hpmeré fut un' BarcF^'fu-
BFime: En Anglois , Bard cjéfgnd
«nPogre^. . ,
BÂRditijs , £, ou-Æj-VipoëlîeSVcfiknfonÿ
des anciens Pentes Gaulois.
B§ÿR'bftzcü#yIà% um'S BAKD<ticuf,'a, um y’
qj^i(|sbnfcerne lès Poètes-; zf. Gaulois -,
à la Gauloifc.
®A.Ri>iflÇ«w-;j ’f jr. hajbit de'-
guerre dés" GauPois^: '
BA^^^ÿcSlhs‘1'1 Gapédes Gaùlbis ; i°.
capuchon-, des -Béarnôisî :" s
:
. B'AR^Jiég-
B!4r ■, prononce Ber ,.i1gnifià en G@Ite
. . btef ,court. t qui dure peu il Car
. .changea-chez les Grecs- en’ Bru r
chez les' Latins en Ere ; de-tayhez-
k les premiers Brachkj , Si chez les
- derniers Brev/s^ qui ptéfontênt les-
j| niêmesidées.
, ér» BREvij brëf j Çôurtr, ferré ,.fuc-
' çiu^ijâfeégé^ qui.dure peui
Rre- V tablettes de pochet .
. Baèvf ; BaE^itér, dâns'peu", fuccinéïe^'
•' metlt ; éfedènx1
. BRBVê-vftr, Mémoire ,, bordereau-, IHîe ;,
i, z°. abrégé,-fo/mnairej,.
? Brevit/, y ijmf-j^é9,'lipux-guéabIe6f.î,o»'
- ; f bas-fon4s% égueilss»-, ^
BREViav-bré ».abréger 1,rfeflcrrer , mettra
î. ';en-peù;drefj^çé,'£H
H BblBvitae'pi$Si „»Ibriéycté', péritelïë.-
Buevifariû^ï«i-abrégé ÿfbmmàirey Ef!c*V»
b îregülrai
:*!• BRKVz^LpbUCTf .Jj^^.concis., forre f '
i cjnl ji’çxp^imyiea^ibujde.mots, ; court f
b prode ^iP. tpi-parie bref:, de^Z.Q£U*e-y*
I i parley; :
ï. BreviÏQqûenti'é; ’ cé ; ’Bmyihqùium -, ii, s
* parler concis, ^.langage iùccinâi •-1 ‘
g . AB - BREviû-,--rÆrfi|-, j abrégpr , raci
AB-BuKviatof, is, qui abrégéA 7
*4. AMFHr-BRACHur -, i'ÿ Amphibraqüe
j pied de vers- - compofé de deux breves
J ÔÇ:-dî«nê' longuet-,
BAT y- .
B'Gpf,fF AT-, Sec,
Profondeur ,■ &&--
Bât ', B&d ; défîgna en'toute lan-
i gue , la profondeur haute & bade ,
ij la hauteur, la contènànçe , &c. C’efi:
une extehfipunamreUed&lavaleur
* du B y qui défigURltoat - ce -qui