
Güftftub- j-riiorit-agrie (PElpaghe daàs^ là C^&lHoëriô. ^ I
C A.UNKJ} plusieurs Villes dans l$;fîrg§e|p- çeflioTO;&-ftr£4e&montagnet.
Çaunes, Ville dij Haut-Languedoc dans les montagnes de l’Albigeois* i
AcAUK»i»',r Âg aui&ot, ^ 5îftl ÿochèFHahs lè' YÉIaWén^Sfe1.^
C O T .
CoT, K o t , KwT,e.ft unmot Çeltequi lignifie Collines,Roc,
& qui forma te Cos , C otis , des Latins : de-là;
A lpes Cotti je *.lçs Alpei Sotties * ;qu Cottien nés mot-à~
mer , les Alpes de Rocs, efcarpéies-, 0 a la er ù qu’ellesiâroientleur
nom du Rai'Çottis , où du Royaume Çptrien- auquel il: avoic
donné fon nom jjpais touters;les Alpes 'àyant tiré leur nom de
ïèur fo rm eAu.'dè'lèàç"n;4tùré ^on né voit pas, pàufqqbi il n’en
aurait, pas éc^ de[(menwt dq celles-ci en effet ?|les Alpes mariti-
mes, Craies, Pennines, Carniennes, &cfcne durent jamais leur
nom à des hommesy
Il eft plus naturel de croipéquele Royaume dont il s’agit prit
ion.nomrdes Alpes-mcme qui le compofoietnt, & que lenom du
Roi Cottis n’étoit pas un nom propremais.,un nom relatif à fes
Etats, ou plutôt un nom de dignité.
, Cotynes , principale Ville des' Aborigènes dâns lè pa'ys’de'lôéate , (ùj:
%aé jgîp&a^fif“
Dans les. Pàys Cê&ff' \
montagne-dii-P4ofi^e^dô llAreadi«i,‘ il
i - -GoT-YiKi' , collïnéideRht^gierüffede^
Cot-Yl<w'wot , montagne de.l’ÉüBée^-.
U îCoîtEïpi dans le pays de Afaud ^ot-à^pîoffhÿoKiùdh liir la colline*
Cott en ces jSaiftt-fflaire1î'uahs!f Àicôiài
Cottanc» , danstle Forez;. -, *
Cott^ sqn , danj }a. Brie.
- ^o^TU^^én“î^tmarfdfe;‘<r
Cottes , ên Bourgogne, entre deux yatlçèsî.
G E N,
Joue, Coude, Genou.’
j G E N eft un mot Celtique qui déllgnoit toute convexité,
le genou , le,coude^ ,:la.iouels> & qui devint-le nom de tout lieu
Jtitué'fuf la convexité d$s $9,ux,dur leur courbure.
''•ù iGenj-Uà , aiifmtPS'hurG-ênes , moi ifyhot, le genou ; Te Coude deKeaux*
K, Cette fu,perbe>iCi:té„eft,fîcuéeSîîa^ l’endroit JelpluS Relevé de l’arcj qye
décrit la rnef* de" Gênes.—
Genusia , aâjourlnüi ùÿnofe , ïur un ruiiîêàu’j ’dans la dêrre de Bâti.
jDans fil rdy 's Cdfts. ’ ‘
. 'Çf'frAf&'w Z “ > &£ i&SPHde fi remarquable que forme
T“ » %ant’ep;^lê juftfiies-1^, vers le Nprd , retourne yetst< le
Mjdip©u^Æ porter. àffUQqlîdenr.
f ^-EÎî^ÊVe j.’fur le^coude du lac Léman"'& du Rhône. J
. ,Ar-Ge^t^-Rarum , Ar^Ge^-T«^^ nom’ cfe>'Srrâlbôuïg dette Viîfé
ù neje,doit pas'à les,milles-, mais^fa. f l eur on* - , , habitation j'î
- G/rJV~,4ir le coude, A* „ de. la* riviere,;* ïUTum, paflàge , mot qui fe
îypjeuio®ce:.aqjoiird’;hu,ii Rat>$û% fOcéaiT Gèteiq a e.
I •g U sJ | s ÇhâteajJ-Gôatier, dans le Maine, fur un coude defAilfieres.
entBxelagp'e , fçon’tie^ du kaihe,.furumcoude 4e la Seiche.
Poht'de^G^ERmir l’Hùifne au Mainè, p1æs( Morit-feirt-l’^maury’.
Ge’n-Eau-,^fùr coude de l’Huifiie, en face de Pont-de.-Genres. ’1
G ' R A I.
CjRai , C r a i , eft un mot Celte ,}qui défigne tout ce qui eft
pierreuxily graveleux, -
j • Ë n’sft, donc pas étonnant qu’bridait donné à deif montagnes,
& à.des lieU-xdkuésifur des-:-mpntàgties.
A lpes ,GRAiàr? les'Alpes Graies, entre le Dauphiné êç le
Piemoftt. Comme on ignoroit la valeur de ce mot, bn s’écoic
imagiâ&qu’il fignifioit Alpes Grecques, ôc qu’onavoit voulu con-*