
Fro-Fatî» ,~âre, profaner.
P ro-Fknàùo , onis., ;profanation.
Fa.o-F Anator yorïs- »/profanateur*
8.
TAtatum, /, 1 Oracle, prédî&ion qui
YKLun, i, >annonce l’avenir. Del-
ÏAtusj£s,>) tinfyfort r le tangage;
des Dieux, • e’eft^à-dire, les pro-f
phcties ou le deffiii'j carce qu’onv
nomme' fatalité n’eflf que ce. .quÇ
la Divinité a .prononce, devoir arriver.
Ce mot pAturn , après avofe
fîgqifié l’Arrêt de la Providence ,
a défigné les-objers -qu'elle avoir
prédits , annoncés ^ySî3 ^décidés
comme l’avenir en générar, tout ce ;
quille profit , la mort., l^-vie, la
deftinée»- la- néceffité', la fortune
bonne oti -mau vàïféy le malKeur &
Iè'bpnhèurï
Fktalis , e ». prédît par la Divinité a
annoncé' par fes Oracles ; i°*Jfuitçf£e?,
. .y malheureux» ,Sj
FAtdUter. , fiiivant le deflin »par Tordre
% du defiin, malencontreufement. '
ttflHKngHH àcd$ê$fcI|Sg*4vii, malheur
.fortuit». ■
n 9*
JB I H Q M E Si.
Ystlfer., a,± um , . qui. porte la mort-, I’arrèt'dà
defiin. m
FLù-ligàVî- à , um , qui recueille: ce qui
doiîïie lamortî.
MAtir§^mé ■> ap «W» Deyin » .Sorcier ,
ï Sy^iik, Sorcier^-,.
WÊfÊtà
■ FAticanus ,-a ,.#)», 5 qui prédtr J ’avâ-
‘ ■ YrAticànÊsfa, um,pnsft.qui rend d4fc
. - oracles. De cano, chanter,.
Vçticanus- i r , Dieu qui préfide à la pa*
rôle ; z°. le Vatican -, la colline où fe
rendoient- les oracles.
FA'idicas, a » um * oy-um-» de
Prophète, de-Deiyin;..Sorcier, D eviae-
reffib-
FAtichrus, o-y unr, y qui. préd it lîàve-
V Aticinus, a.r u m , > qap.^ont^ î
um, \ des oracles. ; A®.
p<aéïiqpe . parce que les' prophéties
- éroiènt en versl-
VAticinor ,-ari, prédire l’avenir , 'rendre
dcsjDraôles. j, r
VAtlcmium ; vAtzdîrtçftg »préaiâion* .
! VÂficitttttor,, deviir, fqrçipr.
1-^Afff ■ i'i'S', dèvitt, prophète , devineref»
F fe.j-forciere ; ~>,<>,poëtfe;, parce que 'les
..oracles -êtoienten ver»*-
’ ro.. '
F a tua, te , la bonnç Dgefle, cèlfc qui'
.inftruit de l’avenir.
Fatuarii, orum , ceux qui éprisudëMa fureur
diviSe % ptédifent-Parenïr : erter-
gumène -qui' extrayague au-lieu de pro-
; phérifère , |
Mÿeliifi&y-ït ,~um, extravagant,- iurfèrrfc i
ce qui cft le propre de ceujc qui -srpjent
Kaire daÿfcl’aveqj^, Je qui dîCènt des .fatuités^
des inpertinences .- fa t fo t ,
infîpideri, fade.
FÀtUur i—iri, faire l’energqrrtepe, l’extravagant,
le tföV
FAtwïti, is , impertinence -, fottifè-,Jlac-
_ tion de dite des^b’êü&s.
FXfüÂ^.en.- extravagant, en homme- qui
nefait ce rqu’il dît/
ttô u b le rP é fp ritî faire per-
i;ld*Äe.3l&ns.-;ir;: )
■iY£&a<~F.Atùus , a. ». um, qüL.parle - fans
.avoir réfléchi», pnpjertinqnt, fot.
*Ê$mï
i-, f Ateoff tm F-j&ffus fum , eri, dé*
»■ dfarer, coçtle^^iv^e«''; 2°. dire^
donner-’à co’nnoîcrè. s
F a tendus , « , 'UM% qu’il faut~avouer.
CoN-Ft'tffi-enjdire ingénuement.ajvouery-
D iF -Fireo f,reri> dire qu’on n ’a pas fait,»
‘ '^défavouer.
P'RO-FJteor,%ri', pafler.franc'heme n t ; '1®?;
déclarer, o u v e rtem e n t, tém o ig n e r;-’ ?.®.
' • «nfeigner publiquement ; 40; promettre,
z. FAjfus, a , um, qui a dit ouverte-
> ment, qtoi a avoué, p - J
C ok-Fefu r , a ,1 um, qui a fait l’aveu;
a,®, idéclaré^ dont on éil Convenu...
C or- F es^ ; / onfsk aveu;
Cen-FESSo/iUr, a, um, qui concerne un
v .ay e uw /
: lN-,cou*FEsfuf, a r-um, qui n’a pas avoué,
j , Pro-Fesjioit is , déclaration publique ;
î°. p/ofçfîion , étaf.- .-4
, Pro-Fès/oi;^!*, Régent, pÉofellêur, qui
enièighe pu&liqüemënf-.
Pro-Fès^Sv,' a-, um, qui a promis foleni-
/ ' n ellêm ent. /
■ Pho-FtsfoYips, a ,um, qui concefne'ïes
, ‘ Erofefièurs.
lM-FBîo-FE^ïS‘tt, -tim ,; qfi’éïf n^i pas déclaré.
rr.
^ FÉCIALES, Fccuur*1 ^
Feç^âles , Fe t ia i« , le-s Féciaux, O f-
. fi'ciers publfcs'de Rome qui étoiént
cHafgés dé déclarer îa-guérre & dfe
- négocier la paix. Leur çÉ^rae croit ]
un vi>aiï-Sacerdqce ; il&p^îtoient ïa
- parele- pour le Peuple;Romain à
ceux aveq lèïquels. celüi-cF avoit-i
qu^ue -chofe a. démêler. .
Il.eft appaBent- qure cet ordre
avee ft»n nomVeiipiS’de’l’Etrurie:
r ce noift-efî'éçrit Vasja l.fîir .les Mo-*.,
uumens de-cette Contrée.
•;l Son origine croit inconnue aux
Romains eux-mêmes qui le déri^
J - voient très-mal à propos du verbe
FERtfe, frapper j au fig. .faire un
traité.
Yarron , dans lé deuxième Livre
de. la'Vie du Peuple Romain,die
que lès Députés dut Collège drès Féciaux
s’app'elloient Orateurs. Mais
H c’étoiffé nom même des Féciaux :il
vientdu primitif Fa-, parler; en Gr.
Phaz««. Phaz-i-al eft donc mut
à mo/celui qui parle»
Les Allemauds joignant à ce
yqrbe'- la terminâifbn Tçcn ; quife
prend en.mauvaife part, en firent.
. . Fa-^<« , dire de»fiens»
I ÎU
Fa , manger; •
1 »
; - Famille Grecque.
Pua go,is-, gros mangeur •, P HAgo,
manger.
Piiigedtena, et, faim canine, faim af-
freafe; i®/carrcer qüi rofigfe la chair.^
Cc.Bimomé eft com^ofé dt Phagd 8f
' -'de Meinos , hojrible^, affreüx.
1 FÜA'gejjla ,‘’drjm], carnaval d’Athènes’ ; -
§» mbt-îi-rn^t, Id^mangefaillesl
PH.AgeJit$osia, OTurtÆïc même ca rn a v a l,
kV mptràfimt, mangcmlje & buvailjc :d u
G re c Phao-* m a n g e r, & F è s / r , boiilbâ;
.1 2»
Faotw, is.y défir de manger ; envie'de
: prendre nourriture^ faim; i°.
^ avidiré, paflîori violente, rage ;
. diét^.1 ' S