
j io. Employer, fe fervir de ce qu’on A,
' j», l’AplIquer à un ufage ; d’oà , apli- 4
quer une chofé à-iine autre: 3°-»Ràp.roçhc.r
une chofe d’une autre; admettre-, intro-
duirc.
ANTE-H ABeo, mot-à-mot, tenir' avant,'
mettre.«wafe c’elt-à-dire , préférer, £
CO-HIBîo r ui t ftum , eremot-.i-mot,
tenir avec ; c’eft-à-dire , pofîeder une-
cliofe , en cônferver la pofîèffipn «ÿftc j
le (ëcohrs cPune autre '4 »^V1|uÿ"ÇaÇ'i
oomme de digue, d’obftaçle contre ïk
gerte : ce Verbe ûgpi%idônc,î;' ?.
r°. Contenir, réunir : t*. M$$éî®r|'
réprimer.-‘ 3
Co-Hini/ir Oràîio.» E^ftwirs lié, fciviJ
contenu dans fes ju£ës ftôrnesL '
Co-HiBâio., Dé&nfes , oppofmon."
EX-HIBeo , m, itim.x ere jHs4.£ ^Fi j
Avoir hors, tenir hors y d’ôà , faire apa-
roître, produire ,montrer>exkiber.
Ex-HiB.-ino>jRepréfentatian, Exhibition.
ÎN-HÏB7ÇPi,«JtovggCgHdans, tenir çn
dedans r d’ou i*. Retenir ', arrêter »5».
em^eher^^iftAÔ-fe^dce avec tnçnafe^
În-hibzWy qui arrête, qui reùéht^ mu
défend avec menace?*.
PER-HIBee , ttnir en travers , en faeq ,
d'où, i f . pré (enter fournir, donner-;
Mettre; én avant j' affirmer, dire.
PRO-HlBeo, tenir en avant, au loin ; d’où
opofer une barrière , empêcher ^défendre
, prohibera
Pno-HiBere vim kojîïunt ak oppido,m-d-m.
tenir la- farce dés ennemis en avant,
loin de la ville-; c’eft-à-dire , empêcher
leur aproche.
Pno-HiBiiio y dëfctjfç-..
PR.o-BlB;'ériut, quifait défenfe,
RED-HlBeo , reprendre une chofe qu’on
avoit vendue, Sf çn rendre la valeur,
RED-HiBzrio, reftitution du prix.
Rïn-HiBiwr , qui reprend une choie vendue
& en rend le prix.
~ A jH S A ' D.- ■
El.il’mot A , marquant Ja .po£*
feflion , fe formèrent les deux ;Pré~
■; pofitior-a AB & AD,.qa*fe-©ppori
refit Pune au Tems futur,, l’autre:
’ au TennKrpaflé.y. ;
A D ,'fe rapporta à fa-psrfonne
qui-- devoir a voir ; & A B, à celle
... quip^prapp
llr ie èapta A B Alexkndpd-*
I la- ville a-yapt été prîjÿ ,ea^ p4|£-F
' xandre'; comme fi bn difeiÇra ville1
<tant tombée par (à -prifè tn{ laa
j>offe.flion d’Alexandre.
- Hic liker fh Û 'Mcmmem Ësæ;
t |M e fi|b,it
-i-tsKéèS’ , ce divee doit être :la poffef--
■î 'ifiop'deÆicBPbn'.'
i Car* toute phrafe à Prépofiri'-orv
eft une pitafë dh'pliqiïE^oa&s-la-
-'-quelle owfüpp'rpïie- un enfouie 'de"
motS‘-fnffi^amBtelÿD>■ «léfigucs,. pas le
; ;prépofiti£.
Valeur de ces* Prêpofüions dans les-
' mots cMêKpojgs'C- n
FLGfS' Prépofitîsns ferrent, à
’ former-'-des, compbies r; & eÏÏés's'y"
parièrent l’idée généta.rè qu’elle?
renfermoi^nt. A B Sappîiquanj ait
paffé y défigna ce qui n’éro,ic plus.
AD, s’appliquant au futuryjdéfi-
. gna ce,,quE.c<mii%ùëîoit, d’être,,
Pëxiftenee la plus, positive, là plus;
r ’‘'Inaltérable. L’une.,emporta )’44ée:
négative fe l’autre l’idéo-pofitive,
AB-ire , s’en aller loin , s’éloigner.
AD-;rr, venir auprès', fe rapprocher. ",
AB-jicere, jet-ter iein,CTli ç défaire d’une
cÜdiïsï ,
|’^4?|,f#R^îI-^é: ' îd^ou pofféde,
augmenter la «naflè. de ce qu’on A.
AByéfPfeÿ Pënet o?uh (èrmerit.
Ap-jdpÿîte jàlèkéèf^ÉifeémêWi -lîti don-
. -iieï toute (^ fêtée, l’exiger, lé prêter,
A Q , A JH
1 °. -Bien' précieux.
2.0JT5 éfif,éxtfeme( 6j ).
;s'.r -Cette Famille v'içnt de POriehtfe
3 3N , ÂJlB , y défigriedeS fruits
--en een|tal.
3 N \>iAB\Aàç£p-. r
T1 3N , A B R È | defir, z®, défirer :
[t. Av^» àvereÿdelffër .avec ardeur,
;^SaVoir une»extrême envie. :
Apyfétis î qùïîifefire | qui a envie.
Av -e, (oyez Mén jig* je. vous (âluc ;
„bon-feirjîôaaour , pÿrtèzVous Bien; mot-
t à-mot, je dgfirfjtpAt vous ftycz bien.
%. AYpidus', defiréax, paffionnéy em-
. preffé-, avide, qui,engloutit, gour-
“ mand.
AY-idhas, défir extrême, pafliotl , avidité.
A,v-md, ayçc paffion, avidement.
3 . A v - a rW ,^ a ë AV, d e f i r ,'® » a k , : « l é t a l ;
I Avâre, qui yeuttout peur lui, exceffivpthéntattaçhé
àTargéâit »ladre, vilain ,
,fne£qùin,, avaticieux.
Av-arities, Sc Av-aritia , avarice , mot-
‘a-mot deffir excelSf d’arg'erft, amour ïm-,
modéré dêd’or»
A v-tiré,.vilainement, avec une économie
(ordide , avaucieufèment. ;s:
4. Av-ena, nom génétique des biens
dé la terre, conlfrvé & reftreint
chez nous à Tavoine.
2.^ Chalumeau &it avec un
tuyau de paille d’avoine.
A r-eriarius , qui le plaît dans les avoines.
f ‘ Av-cf, z, mat-à-mot, le bon papa,
le chéri ; le grand- pere.
Av-unculus, mot-à-molSç le petit papa ;
oncle.
Avz , arum , les Ancêtres-, les Ayeux.
Avitus, qui concerne les Ayeux : vieux,"
ancien';, '
Avin ^la bonne maman , la grand-mere.
FRO-AVur, z, & Pro-Aviîor, oris,Bifayeul,
Pao-Avia, Bifàyeulé.
Pno-Aviti/j, de Bilayeul.
. Püo-AVunculüs, Grand-Oncle.
AB-avuj , & A d - a v u s , i , Trifâyeul, P®«
_rç du BifayeuL.
As-Aria, & Ax^Avia, <e , Tri(àyeule,
Ab-paTRunr, Frere du Trifâyeul.
AT-a vue, 1 Quadrifàyeùl.
At-avia, Quadrifayeule.
BêAbbzzî, Pere,Abbé, Supérieur d’un
Monaftère..
AMatiJfa , Abbêflè.
ABe-Cedarium , l’Abecé, l’Alphabet.
Ave-Cedarius , qui eft à l’Abecé :
2e. Aprentif. 30. qui range par ordre
Alphabétique.
A C .
Paitité , Piquant (4 ).
» AC, Famille primitive qui defigna
* tôüt ce qui eft aigu, pointu ,
m piquant : elle a formé une mul-
» titude de mots Celtes t ôcc. de.
Latins. Ceux-d fe divifent en trois
grandes Familles, qui renferment:
i °. Les mots relatifs à l’idée
de pointe, d’AiGuillon.
Ai)