
D I C T IO N N A I R E É T YM O L O G . t*<?
- grains ronds, comme ceux dès
raifms, dd îàürier, du genieyre.
2®. Perle.
BKcmh, te, petit gralfi ,. .petit fceit fondJ
Bhccatus, a, um, orné de perles., ou
st'l dsrbjiies-■ d’arbres.».
Baccms.,,- tir., rond , rebondi,.
' BACcalia, a, arbriffeau-,vqai,- porte du;
fruit çn ^grappes,- ou en „grains*
Bacci-Esr», a , um, qui porte 'de-petits,
fruits. ,- .
ÊAediar , i s , 'n j r,ƒ,;:
telée ^nom de, plnn^fy Ç® iU0t;^fi4§^e" i
ment Grec & . Bafquev.
T ri-BacC;! , æ , pendant d’oreilles de
trois 'perles»: -
2. B A C, jeûné. ::î
BACcahtitreus, , t , B a ch e lie rde BUCca;
& de Laureus J parce, qu’on,couronnent {
de laurier ceux qu’on nommoit Bâche- •
lier?: onffdt que le laurier a de petits j
fruitsronds. Peut-être auffi ce mot ell-il ;
, formé.direftetnent de BAch, petit; alors :
Î1 fignifieroit uu jeune homme : on a .
d^draQnefiër^ ’te ‘ 'BàcBêpÉ,; 'po&r dd:|
Jeune homme ; Bach elîeré -, ou Bache-
lette , pour une jeune fille. ; J
HAccalaureatus, ùs, la- qualité,, le titre-, ;
l ’.éiat de,Ba.chêli£r.
Am-Bactut , i , valet ; page’: domeftiques
qui enyironnenÇlêur; rnaître.,
- jVRaifins, Vin : Bàcchus.
i . BACCÆaj, i , lè*vin, liqueur exprimée
des grains;!de raifin / d’otï]
.»eHetire fon dom ; r a.%. Dieu- du
vin.
B.Acar, ir, broç, rbouteille , flacon à
mettre' du vin.
Bt&cheîs, idü ; ËACcfiduih, i i ; va(è ou
bocal à mettre du viff.
j BAççÀeiur, *a, um, ' "5 vineux p qui con-
' BAttheus , a , um, ? cerrie le vin, ou
BAcchicus, a., ùm\‘ J le Dieu du Vin*
i, BAGG)?jV,id/d,Prêtrefe%u Dieu du
,, vin, Ba‘çcliâ.ntéyvrognelfe ,
femme ÿvre, femme de mauvaife
vie.
; ÉAÇcha., oe, nom de. la- Prêfreffé dé
Bacchus ; 2°. „emportée , furieufe. «j
BAçchanal-, ale/, iix/ . débaudljç, ÿvro-
iî gherie ;< 2°.| lieu ..de débauche, /»t
Bacchanalia, ium, otubi , fête d'u'Dieu’
du vin,. carnaval 2°. partie de dé-
. bauche, ribotte. . . -
ËACçhabunâus., a ,, um yvrogne, qui ne
f fait que boite.- ■
Bàcchor faire la .débauche f s’erly-
' vrer, ribotte r * 2°, être dans la fureur
poétique.:: 3®. tempêter, faire l’enragé.
fBéçchado, onis, débauche , yvrognerie.
Bacchatim, en yvrôgne; à la manière de*
Bacchantes* j|
De-BacçAot j-arz, tempêter, peôer, fê
iftettre en:furiè ; faire le diable à quatre.
PER-BAccêorVari, boire du vin à l’excèç.
^. BkCchius't ü, pied de vers conr-
pofé d’une fyliabe brève_& de; deux
- iyllabes lohgu&s : on s’en fèryeic
i pour les chan&ns à, boire.
ANTI-BAGCHiuf, pied de vers compofé'
-3de deux longues & d’une brève. *•' J;
I I . •
BAG', Grand.
BAG, ne défigna pas Æulanent les *ob-
J’lû|S , enfantins is^ufli
Jq.'dps t
’ & ceux propre?^ h porreç : en ce
viens Vil deymr Gligf de famille ea
diverles Langues,
irr, D E L A L A N G U E L A t B A D i ?8
De- là" î î’Anglôis Bac K, f &s |
parte qüe' çefcé p'ir^o^dujçqfps
, cft relevée, et? bolTe ^ &„le y;qrbe
To Ba ck ,vloUtenir na?ppuy;ef-.v
k „Pe-l%xlObeuton»35^eJCe qui!
fignifia également dos de ïnontagn,e
bofiue.
tè Suédois Bac, colline ; i®.
élévation applatie j tout ce qui!
foutiehr.’
’ G’efl: égalerrieht le mot Gtec
moderne BAGKos^toAoncé-Bdh- •
qui réunit toutes eesvfigri!ifi-j
cations.
, De-là encore l’Hébreu -pfcî,
A-iak, être sélèvé.
£>e-là le forma dahs nos -î,àhr|
gués modernesje mot Ban6’, plu-'
tôt que de B an ^omme'npus l’à-B
ybns dit dans».nos Qrigrnes Fr-ar<fc
çoi(ès,& la Famille Grecque 6&La-l
tine^/Çd^Vdontnous'allBïis parler. I
ABax , cist j AèAcics , r^. èii' Gfec ^1
Aiax , kos y i°. un licgesun banéîl
un canapé, tout objet-élevé’&‘qûfI
lèrt a ^aiftbir,'a'fô|rçpQ&r' : 2°.
v'-ioate* table longueÆ écfoire^
forme<de bâtît»,& prbp®fe.;à'îtidilte- •
nitrout ce qu’on auroitâtp dépolèr.-i
Table! dé éuiÉ|lS|^t!!
Table^de 'MarçhaudïBtb^ifS, jÇm^toir.
Tablé àjpuer , T ridrac, Damier.
Tablé dè nîarbr'e. 1
Table» d’ardoilc pour lës êguréé-'^iGéblI
métrie; v |
Table-de.ftrvice ; Buffet.
Table pour'les voimptes, Abaque-, , ;■
Tailloir, partiefupérieure d’iin»chapij
» teau en iorme de Table ; i°‘ktout objet
' plat en- forme, de table. ..
Abaçus folis ,.le d(ifque du foleil. Afttcllr'cffiwnâh , un Lutrin.
», Ae a cuZuj- j z, ietton dont on fe lèrt pouè
^icalcd|eri'',, *
■ Ab a ciunc ,jii ; p étite table*, ,
B AD ,
BAD , <BAT..H ,r Eau ut»
familles urombreufes dans les Dia-
, leélps Celtiques, Theutons, Phry-
giénÿ^’Kc.0 '
, ■ Ci é.atp n t > (PAlejcandrié ,
( Strom. 1. y.) flous a'cariferve
dëiiy'pâlSgeVj UU^d’Cftphée de Un
de Didynié lé Grammairien , où
le, mot Bedy, eft "employé comme
. un' mot Phrygien qui defigne l’eau.
Bad i dans,dés v v d''5 j. âlédfcês1 ‘Ànîc?l o-.
.„Saxons ,4 Theutons „,>fignine Eau ; »
Sc t^é.’de YîUes'dev
I .font . nQmn§|eStv|$A-DBk *
Bat-h» j,que,-parcequ;on Jesa- bâties
I lur» ,les bords;?'dé' Fofîfaines ou-
fources d’eaux .minérales.»
f * -Ce; morjiut :;égalémenc. Grec &
r^; Latin rÿ- »Langues Celfiqaesv Sc û
Ipiï nfii^’y reconnoifloir pas, c^ft
‘qu’if 'cprâuva' dails\ces Langues-
des changemêns'qui leur font ôrdi--
t, change : en Gi^eden' P«q
»nfi Bath püc''dçyênjr-& ■ yde—
•;vint emefiètbapm ifcpuisd^P-r,;
d’où réfulterenr des familles-difié