
vj d i s c o
» appartiennent IWftemmt-i la Langue. Latins '.‘«nais que 'I’os
» donnera la taifandt* an®« Langue qui I* ptemrere en
» Rapportant erfuitê les mtrçs L a n * k ces Aura cbffes ,gdné-
„ raies dont chaque mot poitera"avec' loi la raifon qui t t%
. choiltr poür-eiprinte. t d l e u u ï e f c i d é t . i .M wM É f
»•Lanaue Latine en de.vkndra infiniment, plus « ftt* * . (»Mite
* affûter «ftui» , * ne Urequ une mideiis. pages p»
„ jour, on pourra>a tó te n tenue avec le plus grandIw&Sf, tous
I l e s m o « A la Langue Latine , & l'un * » . ’« * # *■ « * » *
» raiïon^é'tOûs ; êe dont « n’a peut-être r i aucun exemple ,u l-
• qu'lci.après ™ g t4,45rïétudea. ’ . -,
Cette énonc e .étonna: un la regard* ttb ttM lu n e ,eh,*e»e ::
ramënfer TaLaftgW Latine à.la Celtiquepat« u n e ^ o » digue
J ’un-ïtprr*lc%ifte t fôuvok on juger autrement . n naaro
d’autres points de comparaiO f que ceux que: renfanu»«,cette
annonce, & ce n'étôit. qu’un point pour V im m a& i deuas.-FOmelïes.
L é Pufelidplus
nous tenons parole. r 1 W J*_; - 1 „
p* tCes OêïéinesLatines ïWit deftindes fur-tout aux Jeunes (Sans qui
Le uo e » k «tuée ^ L angu es . nous.ne les M f cépeudant
pas-indignes des regards fcceutt tprilunt d«à avancés da«ue«e
carrière lilsyttouvetontdesvuesûeùves>d«.tapPMB.ktriieux,
des vérités inçonnues aux Romains èux-mtoes i * - * ™ ? dans
Jes mots dont ils ne fe çloutoient pas.
ï . 'iV .
Pourrai cas Origines font connues aujourd'hui qu'au
tems des Romains^
^u’on ne foit étonné ni de, ce que k s Romains avoient totale
P RE L I MI NA I R E". Vij
îfFfent pebdu- de vue les- origines’ de leurLangue , ni de ce qu a une
fi grande diftance, nous avons pu parvenir à les conno'itre.
Les Romains nâvoienf aiicune idée dudaënie Etymologique
des Langues : & jamais ils ^eur
Langues Celtiques qu’on parloit dans le relie de 1 Europe . il étoit
de toute ïmpoHîBàit^quii» puflent répandre la. moindre lumière^
fur les origines de leur'LangUë.
Aaueilement/aü conliiakej il^exifie Utte fckïi-tê étymologiquef
sia flambeau de laquelle doit ‘fé di0ipfer t'eut ddpte ; 6t 1 oti connoft
eetêe Langue pafWë par les pteMérs LaMtânS-dë l’Europe , qui-
étendit-fes féîtïlesi-rameaux dans'toute cette partie dé l’ancien
Monde' irtrec lès-Çofe.Uëis fùl-sy répandirent dé tous1 oet’ës, & de '
laquelle ckf®hdfeënt/èom'mé noïxs 1 avons déjà dit dans' nos ■
? Origifes-EïançqileSJÏ Pifc-, Prélim. f-. xîj- ) l’anriénne Langue'
Grecque^ antérieure à Homère Ôt a Héfiode -, 1 ancienne Langue
Ëat&e ou celle- â t Numa > rEfrufifue.,' le-Thrace parlé depuis 1**
Mer --Notre IfkètitSii > dé Gaulois' >?
lè ’Cantubre y lè. RUnique..-
§ | dans nos- 'Origines Françoifès'-, nous Woks- pro-uyé Oêffe*
aflqrtion relativement à nqtre Langue, nous ne la prouvons pas
moins aujourd'hui rêistivement -aux Origines Latines . & même
pour k plupart des atftreâ LanguëS'3 dé la Oréèq#den particulier
dette
Ges rapports foné^à- deux éf^ëës qa'dri na paS’ affeæ
dïftmguées, & qu’il eft eepeniant eflèntiei de ne pas confondre. -
Les uns font rcfièt dé forigifte commune de toutes ces Langues :
les autres font dus aux emprunts fuéeeffifs que chaque Peuple à
kit chez fes vojfins. C’e’ft ainfr qHe dé- La*fe= -ÿ outre lès ïéôti-
prîmitifs qûi lui fortf communs avec les autres Langues y en
emprunta fuècelEvèménfc dé la Langue-fçâvànte des •GrfèèSïi£?eÊ