
Confentoit à être tràité comme®
• certé viéttme, fi dn étó'it garjure^uï
: 5 trairé.
• FiEBero ,-are, fe liguer;7 s’allieri
BiN©:ME. .
FoEm-EaAGKi. r_a, um , qui rompt
Palliance,.
4 *
f -EMila, ct, fêrule y efpece & .pfante d
2 infiniment dufoipplibg: qije les*
pédagogue» font- fobiraux en&ns :
de Pzÿip , frapper*
Febhiloe x'arum\ prémiers bols dëè jeunes
! cerfs. •
< ¥xmlg.*susg£:a t WH , ie férulfe» . '
: ■ : f f r li Q M’ E s . . ■7
OcDii^iKii« » i v “* * fnftffappeja?
,,V vue. • ,
0 culêFer/bot, i i , étalage »montre:
de boutique.
F ES Turn »
Fête^ '
Dé Hes. * manger, repas , Vint ta fa-
milîey
TisTum j i r fête 9 mot-à-mot»jourde '
tepàs f^emneh* i9. feftip fbanqteet. j
Fsstus^'a , uAC,'ae fete ; i al"joyeux j». f
agréable , diYçrtifHnt ; 4^j,;Ji|ureux
. fortuné.
„ F sstîvus’ um y agréable , Joyeux , ;
divertiflant. ■ ,
. FsSTivitaTy,atis, enjouement, galanterie,
jeux «feijmf, air-enjoué.'',
, Festîv<? , gaiement, agtéablemettf., .d'une '
manière enjouée, plsdfante ,.réjouiflànt'e. I
■ " N É c;A I I ! S*/.A
In-Festo faire te c<mt©tee >
d’une, 'fêtéy e ejl-à^iire ' ravager,
déloler , nuire.
In'pESTur , a , uni, pernicieux ,,-acharné'
“■ - à' n u i r e d é ‘'la tpdsîné'^ *•; a jfcfc
SJ l’oij fait de là peine. >
t lN^FES.Ï2J^i,-4,wîîffi>>n?â ^ i f d^agréablçv
iK^ESTafor, ,.ir qui ravage Pirate, '
Isr-FESTit'itçr'V grerffièrement. .
1 N-PÊST'è^'ayec Üôfflîïîté, en ennemi,
In-Fes.T4m'o ,* dégât, ravage.
•‘ 'r'EJo m r-o S i l
FRO'FÆSTur'; a , Um ,«joifr’oû I’ôn travaille,
owrfl’ap ne, (è yr égale pafe ; i a.
excommunié Eëxclüs.du repas làcré.^ -
, ; ' iXi;/:.]
Fi$|0à , a-, Bouillie-en ufàge dans les
| , Sacrifices.
F e #«rlrN k r n ry«<s»
Elpécçjlg-'vèrs. -
Les Latins appelloient FEscEN*tfor z.
Tes yers - qu’on .chantpit dans'.les
noces & dans le,s foÇiîis,,.vers ordi-
- nairement libres ' & enjouéss. ILes
EfymoJogiftes Latins. qnt} ïété*.forfc
• embarta{Jes< Fur * l’origine de ce
nom ; tes -uns difoTent qu’il venoie
de la Ville de Felcennie oijron avoir
.inventé ce genre^de chanfons : tes
autres' le dérivoiént .de Fafcinü/n,,
charme, p a t e e t k î L ^ q u e
l’objet de ces vers étcdrideiidifliper
, Feffèt dres charmes, des lorts .qu’on
guroit pu jetterfur tes mariés. On -
fènt très-bien queces Etymologies
‘ font fons'font^m'fenr.’oefl: un mot
eompofé, i,i?vde CANH'i> cfaanf^ &
a®, de F r fête-, :'fë0iif$-ban-
~ qaet '.MOi.-a-moi t chanfons dé. batt~
- quet%>t(dê table 'j elles font ordinairement
gaiesï &. libre®, & for-tout
dans les fe'ftins 4e noces. S
H E ST*{ FUS-Tw,
■k Batoii,'f5f
De St., Est ^être debqjttt ,‘fo forma
‘ cbézles Hdbitans du No'fdlemot
î t Fest & ehe^ les G^Sft^F.usTj^ni-
fianr* l °4«p:bre n b{jj,s/^ t 0. branche
d’arbrèiDs'élfli ces fa'inilles Latines.
h
feusTzs, rV,;b^’Kén, baflonnade, -fop-
js,; pli ce de| baguettes/*
rvs-ÿcuïu'^',,;,F i\ petit bâton. v^svfpi,, à coups^dé bâ'tpti.'
F t stu itj l r ,, ’ , ex é cu teu r, celui quMuA.
i* v 'ÿ ^ o lt l^s criixiinèls^ . j
F ii’, voléé<dé coups de b â to n ,
b aftobnade, fugpli dé- des,1 baguettes. ;
FtjSxiûânweiï arum , lieu^où l’oit .frap- j
.AjÿQit.îesierÿçiiiels. H -Fustigcuus, a-, um, bâtruiné, ïufiïgéi. , - ’F’ pmsp’iminr, n'a• , æ , bâton noüètix: ; i°, tronede
Bien o j# evs.
Fusîï-Balbj i bâton1 -a lancer des
J piefres.’ . Fjuosutze'r- BlXa Lbaatoli/fetsev. A-ù,m , ceux qpi fajLfoient . ■.2«-'ï Y Fii sT.buocnan ?e- totte, ,h mïeo, i|dteomn, o&¥èlle'de paveur ; V'Fibisârtutrces ^ ,-âaprpel,a nafiFr.earvmeicr ïàa .bcoâutptes ;d ÿeb-jh‘eiph -, , .£oncet à-.codpS.de.mouKm.
' FrgTucatio , Ction. d’çnfqncer .des | dpuil optliâst raej*fe,,c'd lue' cui^rrotû'et-iptun M9 lafifion de battre I
Fnum * i , efi: lé même que notre mot 1
jî Fil , & tous les deux paroiflènt 1 tenir à celui de Pilbt , dont nous
; • avons fait Poil ; &£ à Capïllùs ,
dont nous avons fait C heveu. :
Mais quelle eft l’origine de ces
mots j- On a cru qu’ils venoient
tous de P e l qui lignifie peau, enveloppe,
mot primitif , commun
à-une-foute de langues, enforte
qite pèa^, poil & fil , en Latin PeLlzï jP-ilkj', Fil um , ne leroient
qu,e-des nuancesji’un même mot ,
. . dÙ méfljjPELLWi ,
On a dit également F all pour
vpqil, -cheveu:'
Eiflrl. ¥Aztach ,gélifié, manteau,
enVjèJqpp^iS^
{ Eli -'Eoo/Tois, & én ïrl. 'Folt, cheveu,
«poil.
Foiiiirn , viendrôit )de te même
' racinè , puiîqiHe 'tes-’ fouilles font
- ^bmméf lés plumer , les ? cheveux
.des arbres.
~ H en fera de même de Viium,
voile , enveloppé
pMaisi i/:i P & Jj,Pourroient bien
liîeêvb qu’üne nuance de l’afpirà-
. ümif;k ^rdès-lorsSceci1 conduit an
■ primitif Hàl , cacher couvrir ,
voiler^,envelop^ér, quifitl’ÀHem.
’ Hèhsn , HuL-csiisle Latin Oe'lo,
en Ffapçois^pE^r, &c. =
'Dê-ia e n effotlcous cesuno tsr
0 La P e a u qui couvre Je corps;le
/ o r / j l a quiicou^reuD ja peau ;
\p\ê^yeux qm couvrent la tête.
« ' . Oit à trës-bién’,’vü qiie le Grec