
quants, i f . âpre, auffere, bo^ru , .
grofficr. ^ s
Hiasutus, a , um * hériffé ; ici le T é efl
radouci en S ; le fens efl le mctne que
celui de Hîrtuj.
HiRéutia » « , hèriflemfnt dupdîl.
j . URsur , Oqp.s., .ài‘ caille de fou poil
hériffé.
;Ursinus t a.y um > d’Ours.
lo .l&Tiola., a , efoece <fe: vigne*, qui
rampe très-haut, & dont les feufUesi
font très-pointues,
A R , A R G , poiutft.
A K G u tu s , a , Mm y a ig u ,
déÛé. : ï °. pet:qaM/, e«:la.tjnt,.frii
.j&flant des (ons ; fubtil * fin.»
en parlant de P é trir. '
t , AReno >rere,i i jâ ^prendre. » piquer
blâmer,; aVRCCufeu^
çouvriï ; 5*% être un tempjgnage , nne;
preuve.
Argutia, a fointilîc^e,; pointe
• prit ; plaHantcries, aenfé.ç^e&ftb^|fo^i
*. mauvaife pointe, Ç^canprie, _ ^
’ Ar®un'oïa , oe
Asxmè , aveu une l^nue |otn^,_
tement, fogcniçufomcnt.
.faire.de&.foproChy^yÿ
énfomblei formentunVaifonnCM-eNV, un
argiiMBjrr,
Àjfsiuhéttàr,-^çâ ifoijner *? 'êsmparer
SCtirer des cônféquencés, diîfçeùrtéï conjecturer.
[ Akg umehtofûs, tt, üm ÿ -qui a^uantîté de
râifojis i qui eft d’iiae -foWgué ^foupon •
f ÀiiktturnMtmo&gnkv raif©n®apppttêe &
niwlsrparler infe%tnmentd’une çhofo..
Arautoï t-âri:y Etfrè des paî^â »-"fM.
le bel efprk , lie plaiCanf,
Axeyj&iÉM ’ un à^ u t-M _ ^ a ^ s
.. un fpphifte/, g . mauvais plaifont.
Argutam, onts , lp craquement, le elfe
* ' qUetis perçant $Üa ï ® d'une cî&ifpf
trop fortement remués ou mal joints.- j
a.ERXr^ioeif ».^ieflè dës querelles. ^
Suijma, i î s , éperorf, pied, iouütm. ;
BjCl*0;MES.
A rgument«® , f: ce mot efl forme de
- ^ro & de ment , quantité, glufieurs,
mot-à-mot maintss rasfons, qui unies ’
conclu (ion preuve & fou explication,
f* ■ &Reumeitiéfa$/ï ^gwicanceæn.dlAfïifob,
le», difeours.
ri ?Ê O .M P O IS-É S--
tbGn.-As8.0U8; sSBVt, çeoforçt^re prendre,
•publier, faijpe voir.
Is-ARGutd , faûs.ffo^tj^ fans^ajlrefle ,
grplÇefement,^ 11
; PFR-ÀR'Gkur/iL ’unty trës-ingémcux ,
'^-'fubrtlî- '
. PER-ARbufi^très-ingénieufemérit; àjec
■ 'êlprit.
Red-Argu?,,-efe;,^sécufer^ ‘blâ'mef, rç-.
^proeheE. "
Reo-Argu£m , oriis , .jeprodie „bV^e.
^SuB-ARGutur , a , um^i »>
, ‘ a , -UB' * pp i ,.fo|Ct: , r.ufér . ;
A &
ijlnijjé, ïig s ,
..AS eft un mot prttnilttf qÿî- défign*
l $ tankc^i%ce e3üftai?î cpffiiine; feul,
, ualiiïdiytdoij l&f CepiessInMce des
S foivaftk : de-là
; :de mois, .
AS, en Calqueun joaînt.. |
A S , en.Celte, pere,.tige>fea;Ece.
d?an- poia#, Et etiJJiân^
ï . ASSq >r0 p ■>
Assîîs, a~, unt, foui', (ansmélange.
if|A,S y A s s is ,Une(:Uvre romaine,
i èeiaç onces mûr & .fnfoû^ ifo StiÈjtr.
fe nient,
A s s Ass ai lus , ii-, anr'foi,
Assx-PoNDiu®, poids d’une livre de douze
onces,- .
AssAri™ , i i , lieu où lion fabrique la
Hienneie.-
Assarer,, «i, tm i sles ? CbaUgears... Cette
famille tient,- à celleniîfiits, Grecque ,
^revfSJniliantiiaî.': fèuà.®
j'.TR-Esisîj; is’j^Ê^o M j& ê fflBï1? !
TiCr M—IsSitf-rW.îÆî'oifîénieipartie délias.
Qtijpfrqu-tssis*,'is',-vi.êce de cinq fois.
N osMLJasir, .ir-i, neuf .fols.
Drc-llssir ',,fj , dl?t fols i î°.-dirainè!F^.
Sautoir.-
TKi^|ssi^*"wV ‘piéee dMté>M^dSs:* ’
Dans ces derniars -l’A du mot AS
&:0lïàiJge‘tfti*lJ enie.. eccnSsu dairt saveeda.
tÈcininailèn: du-mot' auqusediLseîft. uni.’ .
Be l’Oriental A S h ES(.r Eeu a
, font ivQiiKs ;ces jlianttüés Eatiuies.
'xi^
f;. -^^âs^Vqre.', .rôtir,
AsSus ,:a ,<um }fs?-A'ssatus\ as
A^_uKys;,goéie,étwe,licurçù.Qt»tfaitfocr.
Assa, muni , rbaife, lieu où' on faifoit
foer ; s°. Archet deOKkat^èn;'
. m-, fovreàfo , Bou»ai(SbfsiqSflait':
■ du Gaçc AZô ,• t a r i r .êfoc à.lèç, .
Assius^ lâÿts y cercueil de pierre qui .coir-
fomèîtiïcé 'tnôpfs. _ ‘
i; ASiac,/oe, l’Afie-, pajs-dii Scdeil levant,
Asiuï.,; S y ■ “s
Asiacusy ( %
Asiuiêicùjr.^ X d Aie* j
Asianer, J
3<AStru»2 , i , Aflre, tontellatren , ët6ile ;
FflyffXafàttrillï dans lesm-ots ‘venus Au
Gré*®1«
q. Le Grée A ït'ôo, brûler; <8e ces mots Latins.
Æther? erij ;• ï°, -'J’Eléniènt "du'Feu;
5f
a®. le haut,de l’air omeA -le feu le plus
pur ; 3®. l’air, le ciel.
ÆiMenus, Æmerias , -a-, um, céleôe;
de l’air.
Æsr ara, srÿtëms, elàirr& festein; beau aem».
ÆxRdièL, lOjtum ly'fcwi qui .paroiflënt dans
l’air , air enflammé,
xi-
■ ÆsTar ,-atis , Posé, la faifon du feu , de
: 'la'dfetfkur.*
Æs;Tfftëî“,' •pii:, 1 les 'grandes chaleurs*
i°. les tâches de roufleur.1 -
b ÆsTaredurant l ’été , en'été.
p, Æ-srifer, a , um , qui 'amène dé grandes
'' chaleurs ;»i°. expofé à la -grande cha-’
‘ leur;
Æs\ïva, Qram, lieux frais 8c âTombre
tpènr fè gaBâtrtirde la châlpisr ’;^2» cam-
j jpagne iie}gejjs dê guërrè.
ÆsTivumi ; ÆsTivatio, onis , féjour
■* qü-’on fait en unlieu'pendant rété:
ÆstAo i-ars , pafler l’été en un lieu.
; ÆsTH-ur ,'a,- «772 v lEsTira/ir ; je , -R’été.
* ÆkTWè y chaudement | à-la légère.
2.„^nuj, 4r, chaleur, ardeur, bouil-
Aonnem«]* ; x°.agitationy émotion, in-
- quiétude rtrouble.
Æstuo/us s a. ,■ um-, ardent;, bouillant,
. * brillant, chaud; 2'®. agité , ému , inquiet.
. Æssu^-arevêtM.échauffé;, bouiUonuCT ;
i* . Êt*e^.-énMi^, inquiet ^ j?. être irré-
| .folu , indécis. •
Æsxwtw y ums s «grandie chaleur, ■ bouillonnement
, agitation., .tjffervefcence;
.2°, émotion , violence , tranfonrts de
colere3"3®. inquiétude, irréfedution., in-
eertitude.
ÆsTütuè , avec chaicur , avec.émotion,
.avec inquiétude.-.
Æsïuariwn , -ü , foupirad ^ évent pour
'donnât-dé4a fraîcheur; r?. ‘Ifle formée
, paT le flux de la mer ;* 30. barre, banc
-qui ferme T emb ouchure d’une ririere 8c