
_ [ tin Sta , Eis - ST A , fignîfia » fee
iNTer-ÏMtf j - etc y tuer. Ittter-ÉMPtttr,ÏNter-Esmio , a, um, maflacré. v Ohis, tuerie, meurtre. "
hf-ter-EMPtar, tMR&W&Stöftf afljfltpy
P e r - I m o , emi y emptum, ere, tuer ,
faire mourir*
Per-Emo ,- ere, deshonorer, gâter ,
; défendre. - i , PPrrRRi--EEîMvtPPffioiîr'yvi tjt, ,c eulmuï, qfüupi ptirriém. é j: attéanti.
¥ er-Em? trix Mifî^çeile qui tue. .
P eStE tàtâÀïiiSi lt, um, définitif^ décifif. 1
mjâmEiMiaiismeihaam dHfipe ce q u ia 'p ré -- ; cédé,-
IVv
OB-EDio , Obéir.'" ï
©B-ÊDïe^, s irç., ,.,êsre fournis * obéin j
Ce verbe eft de la même nature -
cjue Par-erë, être auprès'’-être à la
main , prêt à fervir , obéir. O B- \
\ E&ire; formé' de &É, défaut | ]
.v figriifie, être devant^ têtrerébéifo j
' “lÿiir; en Oriental, CfsEÙi;-. "
O b -Ebien fer; avec obélffance.- -
O B -T ïb ien fià s ", fans aucune répugnance.- * ©b-Edientia-,-te'i'OH-ÈBKio', b'nis d'éfé- ' _
-taM.ee y ibuoeiifliottî.
N É G A T I F S» j
lN-OBrEear, a? um ,.
I n-O b-Èd/«Zï , tis ,
I htOB- ÉfûentlcL jyCe, défoEéiîfifiéè ,
défobéiftânt.
e. : . - j
Iÿs..Egnifent:idex^eneeydéEgnaégalef ' !
ment l'é’xifiet^emtérieui^i Ehs^lài, fl
k Ptépofttibn Qrëcijue Eis , dans.
Ittnof joinf àu véffeôrèc & tki T-
» qui exifte dans l’intérieur. « Delà
cette famille Latine.,,, j
- Extu, orum, entrailles , boyaux, p ExTflrir, e ; ExTaZet, lum, qui fert à'cuire.
des tripes, .dè tripière,- ni
; e n.. _ :
•De.E, Es, exifter,& de En,-dedans,
fe forma la - famille foiyante , &—
• mille vraiment: Latine.
Ex-Entcm , orum, trî^ailles , entrait
I
1 Bx-Erwero ,-are, éventrer, 'étriperU^-
I ¥-\dé^É|®eî',î; ■ | ' -Ex-Esteratt^-ÿ/Pdift ,'Eaéfcion d’ôter les-
i ,, • tripeÿ.C'
Ex-EisTfMfôr, h, éelùi qui'iéveniïet
j k,N'^ ï i F«.-
De In , non, Sc de ES, être, pronom
cé A n/te forma le NégatifÎN-A-N^
, ' mvi~u-tnbt, lé nop-etEtf, lïjiéaiù r
; 'J De* là cette Fasnillei-.
S il W$l$atWf es-vuide.
- tile : 4.°. gÙ£«X j" 3 caft-méÿ r;6 ®i-
; qui n’eft poiat chargéi' In-Ato , ix,,vüide.; t°t rien
.. JJnw--AAunî;o« , arum., vùides ,,ji«ns,. ,-ire , vuider , évacuer. En Gr. •.
J 1 W
i i ÏS^Anvê0s f tis ", vuide 1*i'€V iriuti* '
■ | " lité. ' '* lkîÂiïSér','kutrlêùiBttt, vainement.
Iv-Ampientum vüide , inanition.
I n-Amfco ^-ïie ^Ee diflfiper. -
* B i Ni, -o' m* AEsJffi;
Ïn-Axe-iACW^-âfe , vuider, faire diipa*-
roitrei
f 91> D E L A L A N In-ABi-i!0[Qiÿ|W, Ay um, difeur de riens.,.
O M P O 5 É s.. I
Ex-Inan& c. vuider, éva-
“ éuér ; i ®.: épuifèrne rien laifler ;
î° . dégarnii^ dépèuplër ; j 0.
I ,v ■ ^piller )t rayagier. . Evxu-iIdneàrn.î.mloou t, .ems, évacuation , aftion de Exq-ulNi'éÀmmpïeorrt e'io ttfjqfa.,u,t ,p iqllqair dn e, qlauiif lrèa rviaegne,,
is§, Ejéniens.«. „
De L , Ei, Ol.? aâion d’élever , en-
- fance , eomrnenc.efnent’ ,' ( voyez
A'l’,;co1.‘ i8. ) fe forma le Latiif,
Êikmentum 3 principe , -éfèment i°.
rudiment , ' prémierè’^nftmcïfSn ;
^ mot-h-mot, la première riourrïtu-
“ré'du corps & de felprit, les pre-
•friiers arommencemeïis des Etres",
, ce en quoi ils Commencent d’é-
Ei.?.m?-nï(rfii£sal a ,aittr,;êlçmentaite-; z°. quî?en cil aux éléisens , aux premie^
! amdeiùes. «to
Ce mot‘rehiontr à" une haute-
. antië[.uiiét,'/puilqae fà racine Ef^
Qx , n’eft pas-moins Otientale què‘
, Latines ^p, Ol ;; îdéftgna-nt dîen-
fance , lè tems où on Æft aux cJct
| . mens de toutes ïç|ipfes.:.,.
T)e El , croître , & de Ex, fe forma :
Ex-Iur , e , petit ^menu,. mince , délié
i X®. peu confidérable } fîmple,
bas, du commun; j°. maigre, fec,
décharné ; 40j-aride/
Ex-Itztuï, atps-, petkeflê, foibleiTb » , tnaigr^ir,, feçhf rq^. X
| Ex—ii-it^r , petitement -,baffement ; i®.
d’une manière fécbe , aride.
. ERG.
;> Ergà , envers, à l'égard, Prépojltioa
■ qui le met avec l'^qcuiâtif.
? Ergo , donc y amft, par confëquent;
i°,.-à eaufe' dé cek, eu égard à
| r celà/'r
j Nous réunifions ces deux motsen-
femble,parce qu’ils font unis par l’idée
commuriè^a’égard, de confidé-
‘taâon , de rapport d’un ob)fet à un
5 ajitxe , & qu’ils vi rirèn if airi fi "d’u n e
“î^êpnç (durees leur origine p’çn
étoit cependant .pas moins incon-
-'n’^ ,pnBin.t!étoiiiiai^9'
j puilqu’ils H’ofireHt peint par eux-
£ ^êfftes dëfiilstpropfe où phyfîqùe,
- & qué leùrs' iélémens primitifs; fe,
:| . fent légérériÉsrifc 'altérés tSamnâé^é-
» la arrive dans tous -les mots de
cettenatàxe & aùffi femilièrs. S
Re , Reh , REt?k , RcH , eft ùn
i ' mot-primitif qui ngrfifie felèïl ,
i |’/trayop > vue; 2 arranger par
l; ray on salligtîeV^0. voir , confi-
| dCT é'ir ,' " '^
De Rbgh , vinrent, en Latin l
! ‘ R^gzï/æ , KiG'a'y dbc. rayori, ligné ,
j rfsle: g
lê'Grèc’ORfeHôjj plan-
| ^ ration en rayons,en lignes droites/,1
||> -&l’Hébx. "J1P ordre, ef-
Pp ij