
obtenir une troiiiétne foudre: pat gjj dépècement d'autre»
victimes*
Life a* TEB.TiAkJtJSpANTfr.TRnA-. T éfra. Piv'SEKATV.‘Cè;defnièr mot eft
le.Latin: Projeca/io, lè dépècement-;Spanti lignifie (ans douce af&ÎT
blée générale 4é. P Xk- touei
Lïgi $> O n v o i t i c i q u e c e t t e c é r é m o n i e d e v .o ic p t r e d i r i g é e p a r Te R o t o u l e v
G h e f d ç T a n n é e p r é c é d e n t e . . V e s -v n e . P v e m ^ n I I v 1? v p b .i k e s , I c i V È -
£ donu , d e V e t o sb, p r o ’n o n c ê VEsjférs^ v i e u x , a n c ie n ! _
Eigi. 1 6. Le? deux Rois ou Paffeurs font “défignést tous\çleux'dans cette ligne
Pvemvne. Pvprike*. V esvne* FvEMVNæs; ‘PvprikeS. .
Life i S. Scalbeta. Kïkikax. Dan* la' Table II: %•*, j . oivlir- eg^ement
Sgabs-ie, Coîjiqos, On leconnoit içi Le Latm
„ frande q p i‘ c o n fifto it en un gâteau : dmGrec Chôheia four »f^coflâme
l’à bien vû'Feftus, mot eggiemérïf'H^e^Mldofe. &er. 1
Scaffie >k Scdbttae ».viendront. '|u. Grec Skkal ^cbèper^alller^fenfiér,".
Quant au caraéfcere de, ce-s deux dernières Tablg||,, it paroif
moins ancien que celui des autres, parce qu on y voit le B pren»
dre la* formé de notre d misufeuîe, fi»; la- lettre R prendre une
queue & redembler au q , fans changer, la forme primitive : comme
on peut s’èn a durer dans la gravure que nous donnons de î&.
j--Se; ligne de ce monument, PL /. N°. l.Ugni
§. iv;.\
Langue. & Médaillés. Samnüesï,
Les Samnites étant defcendusi des Ombriens Sc dès Sabins,
■ parlèrent certainement là même Langue, avec peut-.êtrè quelques
légères différences : malheureufement, il ne relie de ces ennemis
mortels du Peuple Romain que quelques Médailles relatives
à leurs*guerres contre ce Peuplé : ellçs prouvent: cependant'-qu’ils-
avaient le même Alphabet fie à peu près la^ mêhie-;L:an|;üe-;.
Entre ces Médailles, on en dîftingue deux -fer lefquelles on
•Vok un même -nom écrit de droite à gauche.
Au r e v e r s . , .
Autour“ d,e|Ta "tête *,
Autour;de la tète,
. Au; revers-,
C,^?aapi . C.
M v T^L.1 EMBRÂÏVR,
C . MV/TIL;
■ Sà BINIM.
; Ce’sjdéiix Médailles - fur ; 'lelèj'ueîles s ou trouve-le même- nom
Mîütil , ont été expliquées- djiverfemenr p ah chacun de ceux qui
s ’&j^fdnt'Occupés :'ôc on doîhs’yhattendre lorfqit’il s’agit'dfobjets
h peujçOnnus.
L ’Àb-héJ O lEVIERI f f ) ico.rnbi'nok enfemble les Inféripetons
de\ces MédailfeS? il en faifede ^ «C.’Mutil' Empereur ^rfils’dc
O. Papiu# de Sapi-tïim. j *
■ Il avotthien vu que c-’étotit. le C. Papîus Mutiliùs dont parlent
divers Auteurs’'Latins , comme Général dés .SamnkesGdans ia
guerre f%s Al|ié^''en.'ééz , &c qu-jy^ep-r^ntent commeunjhom-
me pleînqdê'cburagq,, ,&l un des plus grands Capitaines contre lef-
quels les. Romains ayent eu à fe défendre (2). Quant à Sapinim ,
•il veut que ce {oit la ville des Samnites qu’on appelloit S-dpinum:
il remarque, auffi q.i|^a Rome il y avoir la famille Sa f in ia qui
étoic Samhîte d’mybitflj tandis que , félon M. Ma ffe i , ce; nom
dé'figBoîtfies Sab-iftsi'l’
P.ASiSERl,^5) prétendit au contraire que le nom de S a b in im ou
jS a p f f im t fu bkicué à celiii d’Einpereur, ne pouvoit défigner ni un
'(,1 ) Mern. de Corton. T . II. & IV. ^
f > ) Plutarq- de la Fortune des Rqrfiairis , ph,^XV„ ,
13 ),u n vDempfleri E tru ria R eg . p , 113-11 y;
Ji’hi'j