
48 3 D I C T I O N N A Ï R
ÇiçiliUtes, a ,~fortè .de.vin.doux.
■ CissiTe j', oe, pierre préçieufe. |
' Cisi“Anth«7*#;î, i ^riK/«r«yâs|ito^ çi’ |
clamen -,plante
Cissus, i, Gr. ka«j-gç , le lierre, qui fe
, : foutient dedpr-niêm.ej. .
Cisjybium , ,,ii Gr. Ktnyfiut , tafiê de
:
Çxsxhum, i , Gr. K/rfioî, arbrifleau
qui. produit leiabdaiiùm.
Cit Hugo , inis, * iyraie.
; CM,
Par<z , - C u A s is , « , abaifféitfe’nt^îes^
forces, affàiBhfiément.
ViKa-CMASTTciis, a,- diminuent. um, dont les forces
CO. y .
Prq*Coetob,puis ^ândchambre, gâr-
derobe.
Coiiàs, te , macquereau, paiffpn ; Gr.
ÉpXjctç.
Coxurusyi, Gr.. KoA«p«ï, cercle de Ja ]
IpherC.
Cçiiuri ► oÿW~>, i°- les^c-oluresj i°. à ijui,
Colut««, ce, Gr.KoùouTia.. & Kohwrtct,, ■
" B'aguenaudier.
Coi.ut«kot, i, goufïe de baguenaudier.
CoLutea, iâiù-*Jk&bi*à(i table»:
Golym^wj , i, Gr. KeAo^of, plongeur. ;
Coxy MBajadis, olive confite dans la
fàumure.
Ek-CoMiwm, ji, éloge, Gr» Eympioy, ;
de Kuua, foiAmeil profond: c*c-;
toit, l’éloge, prononcé après la
| ?ÉTYMÔLOG. $É#
mort, llerâlffin funèbre,
, oruvi, partie fùpé«
rieure du ventre fous îes^dernierds
HYPO'CosDriaïuj>, a , um, affefté des
hypocondres.
Cov.ckorus', i, mouron,
Cbkdax, cif, 1s. rroçbçe; 1 °, danfe
^ tÇomlgue ;}p peiuiqùi execute çette 1.5 sS|p|™^j
Gôrvpkïum, ii, écreviiTe de mêr, ~
» Du. Grec coings yih-
; rent •
Çb®*E<aw, i j Cqtng *,coignaflè, r lÆâ^^ü^-, d y um , de cqing, I
Les moWfuivansparoiflent te-
'r ^mrà la' même racine!
Coi inûs, 1, olivier lâüvage.
GoTomt-y ce, petite Ægue.
CsR;-
Ç rocpbilk.v,./ , Gr. KPOxa^AÈïAos;
. crocodile', animal amphibie qui fort
' 'de l’eau*pourdévoFer^dit-on , ceux
qui fe trpqyqnt furfes bords!® ’4
So& noÀi- èft cbm^ofêae deux
mots,- Gï#cs qui peignent exa£t;é-
meqfecet, animal diaprés Citie: idée j
des mots Deiltfl, terreur, eflroç, &
Kroki, i .rivage., » La terreur-djnfi-
• y, vage«.f^ , CT. :
les quatre ideiits- dé de5-
f ovant, i
CxEüi-A&Tef, i , Maréchal ferrant. Ce
ipÉ DE LA LANGUE LAT. C Grec; 48^ mlemota AnrdXs,u -sq upia frîgonifi fcietr'Mé ^led èAcrj/tri |d||é|s Aile
G
ÇvT$Ua, Æjt farriettç’j Gr Konifê.
:fî lits » un coignaffier.
Crr>onitéit, te; i°. cotignac; i°. liqueur
;^;,fiqte ayce i ç p Çqltes, ; > _
Cymæ, æ, tendron de ch,oUx ; i®.,cîmï
des plantes, |
^Çumlttgo ,i ijjiXjJjfarriette fauvage.
CYDONiwr, a , u m ,,'ae coignièrVdê
gr eomg.-^Æ ,Cïnonium, malum, .coingy;.Gyubnii*ima-
CYFrzxr ,.z; 1?. Troène ; i ° , parfum
. ; jçordpo^lîjJe Àeur^. 4 ;
IGxxt/woe, it î .JPV-S"***.-
g %iTus.
MOTS L A T 0 :$. WfiNVÇ D E
' <1 11 ~ ......— - -»
C
\jA .çA .u a , et ? clleryis fàuvage, ou
^kléontique, mot- à-mot plante-lion :.
c’éft Un npm Oriental légèrement
1ji altéré. Sac liai fignifie un lion.
’ Lest Orientaux ont également ’ dé-
' ' ligné quelques plantes par ce même '
CÀomia, te , calamine ,"fnïnéral qui,
" fondu aved le cuivre rdüge, fait la
^couleur jaune.En Oriental)_j jji
f 'QavMiA. n
, , C Æ^Ê. "
,Cæcu s \ a , um, aveugl&Lce rpot tient’
.àl’hébreu.-^^é-^iêir^ob-;
/eut, fans-lu-mi^re, moTarno£;ÿî\oni
lumierç’ :' il ’ eft'» fomiéB?du prifixicm
r\D\£l * Se'KÈ , yoir , regarder,*quij
a fait .l’ancien*» Allgniand/jS’ejt^e« ,u
voir, ’éeriî àujourd’hu] ^À^j.^nais
•dont le C fubfièe dans Sicht, vue.
, .D,,e-là1 cette Lâmille.
1. CÆcüs^&'utà:, i 0. aveugle* qui a
perdu la vue Lp.- noir, ténébreux,
, vqui ne reçoit pas la' lumière j } ®.
,, caché, inconnu,decret, incertain;
4°. inconftdété, imprudent.
.Çpcitaf is, av eu g lem en t, privation de
Âî^yjùj^v»
Çæ.co ;iiiT:e>, ;aveugIer, priver de la vue ;
j if
C æ culus awrÿiqhi a la vue b aîfe,
ly a u ^ if e . V ;
. Cæci^Io ,-« re’vf,y?î$» la vue tfès-fqible ;
ne yraxpâs biëirvientreVôir ‘iè u ic n le n t,
^"'.faî^Ÿax eu ’g lj^ B p
, devenit.aYe:Bgîc.,;ne’, voir
;^fokè&tr.4
■z-, CcxcilMy.ce , ferpent- 6os yeux.<
,°le Nord*-Eft, vent tres-
U -viplgnj/vqui^,faç^ite la vue,^qui
bleflb.les, yeux.
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