nt connus ( voy ez planche I I IJ.
à qui Jacob Newton , avoit en-
renseignemens sur les usages de
n te , rapporte que- cet auteur avoit
dire dans le pays que les monta-
’Ecosse mangeoient tous les ma*
ligusticum 3 dans la persuasion
nt que c ’étoit un antitode qui les
it de toute maladie dans la jour-
hi Cinquitj ibi notum e s t, Sco-
anos 3 a pu d quos copiose oritur
mane eam esitare y quo se tutos
suadent toto die aquavis conta-
'a j y Hist. 4 4 y .
r dit j dans sa Flore de Norvège y
nne de cette plante aux troupeaux,
de la livèche ordinaire, mêlées
s e l , comme un préservatif contre
ies. Folia hujus y v e l e t ligustici
y planine hortensis , cum sali p e -
i t remedium vulgo preservativum
Gunner y Norw» 85.
taniste le plus moderne qui ait
ion des propriétés du ligusticum
, est Jolin L igh t fo o t , dans sa
Ecosse. Voici ce qu’il en dit :
Je/ker dcdp wec cosses, il