
aser nous prévint que ce seroit faire
ge a ces honnêtes gens , de leur
moindre chose. Cette scène me pa-
teressante que j’engageai notre des-
à 1 esquisser d’après nature pen-
nous étions dans la maison (voyez
I I ) .
rtant de chez lui , Mac-Nab vou-
faire voir, sur un petit tertre
gne de sa maison, un monument
é ; les anciennes loix de 1 hospitalité donnent en -
■ivilège aux étrangers.
an t nous trouvâmes une vieille femme qui fai-
i r , dans une ch au d iè re, de la chair de b o u e ;
n: peu anglois , mais nous avions des in te rp rè .
e p a ru t assez disposée à nous démontrer son sys-
uomie. Elle a cinq en fa n s, tous vivant avec elle •
m x , un garçon de treize ans , étoit au bois avec
vieillard octogénaire. Ses deux fils cadets étoient
erness acheter de la farine : il est bon d ’obser-
n entend toujours de la farine d ’avoine. Elle
farine comme une n o u rritu re bien dispendieuse,
que dans le printems , lorsque les chèvres don-
t , ses enfans se passoient de pain. Conformé-
!oix de l’hospitalité pastorale, elle u o u sp ria ds
ir et de boire du wisky. Elle nous p a ru t fo rt
âque 1 eglise soit a quatre milles , elle y va tous
InA. ’"leur ¿¿c ¿aJdaisoo, d eA fa e -m il ÆonMzp n a rd _Ec
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