r^^cococ<ico<rooi'(S<l^'
(N^tcc ir'*COCOC'OG3*OCOOO(M^-«H<M^<M
^î(Mt^-H05CDO>l>^(N^5^5«50M5iOMlflr'00 0 0 » O i r ^ ^ C X ) - H O i G ;5 ( ì C Ì 2 i Ì O ^ < M C a ( N a O ' * j J < o o c ù c o ^
C O i O î i î Ç Î G Î ^ r H ^ Î C O .co 1 > tH 0 0 fO C> Cû a r t 3 r t <?Q §1 GÌ ^
• m ctì cà p<isvi . 1ZÎ co cà cà *<
%X)X ) r_±l
§ S S ?
■ p O d
co cO cO cO cO
• 09 -ffl -CQ^CQCa
<d 3 a> '<v P 3 O
l'S'S'S-a'S'Si? -533 3o o a>
h<0S «m "«S¿So ü'-1 i«x8 i:df f“«l>S\2f f®lgÉc -a£s3.HaJgoS3HaMjDEo-oig3g3
a'S s • 'Td Æ ! ^ CQ
si hd
1-2?
i "3 .3
H
_S, .2_. "3 neu .op .O0 obC ;,2-3 S 3 .3
NJ -9
u
Ci QJ si *
)« »-rQt-ï ^Cd -'£r■t< .7S2-i ^¿3 ^ * B
—ML — - ■ _ ! - _ — BHRi-3. 3 3 o 3-d ¡b -3_ W l x ] c « - < S H r -W S ( Z } HW H l a i t 3 Ì a 3 SW - < c «W
"4< Oî- «S<
CHAPITRE VII
L E S I N D U S T R I E S E U R O P E E N N E S
Les colons se sont moins portés vers l’industrie que
vers l’agriculture. Cependant, dès les débuts de la prise
de possession de la Régence par la République française,
des établissements industriels de quelque importance
furent fondés. « A Tunis et dans les environs, écrivais-je,
en 1887, des minoteries perfectionnées ont été créées pour
la fabrication des semoules destinées soit à faire du pain,
soit à faire du couscous », et je citais la minoterie de
« M. Raymond Valensi à Djedeida, installée sur le bord de
la Medjerdah à laquelle elle emprunte sa force motrice et
qui présente les meilleurs aménagements pour une production
rapide, régulière et économique ». Après avoir
cité une briqueterie mécanique, « installée aux pieds de
Sidi-Bou-Saïd, sur le bord du golfe de Tunis, pour produire
non seulement des briques et des tuiles, mais encore tous
les objets en terre dont les Européens et les indigènes font
usage » j ’ajoutais : « L’industrie qui paraît faire le plus
de progrès est l’huilerie. Près de Tunis, à l’entrée de la
vallée de Mornag, il a été créé, il y a deux ans à peine, une
huilerie à vapeur qui travaille à la fois pour les indigènes
et pour elle-même. L’huile faite à l’aide des fruits achetés
par les propriétaires de l’usine est entourée de tous les
soins qu’on lui prodigue en Europe et se vend en partie
sur le marché de Marseille ; une autre partie est expédiée
dans les pays d’Orient. Pour celle fabriquée au compte
des indigènes, on se soumet à leurs habitudes, c’est-à-dire
qu’on laisse macérer les olives dans des chambres obscures