
 
		pour F Xg = 
 á COS. a” [A’ sin. (v—y )—G' sin. (y—y”)_  
 (F— E)sin.  ( d — y ’) 
 (38)  j  (5 sin. a ” [A’ sin. (y—y’)—G' sin. (y—y”)_ 
 Y.3 (F — E)  sin.  (a” — y”) 
 A' B'  G'  se déduisent  facilement  de A B G en changeant  
 S d  d 'e n  y y  y'  et réciproquement. Dans  toutes  
 ces valeurs  il ne reste plus que  <5 qui a été pris comme  
 distance  arbitraire  et  qu’il  s’agit  de  d é te rm in e r,  au  
 moyen  des  observations  astronomiques  qui  servent  
 de base h  la carte et qui en donnent  l’échelle. 
 §  44. — Je suppose  que  par des observations astronomiques  
 on ait obtenu les longitudes de deux stations  
 à  la mer, A et G par exemple; X's  représentant la différence  
 en longitude  de  ces  deux  p o in ts,  sera donné  
 en  secondes de  longitude ;  si  on  voulait  avoir  cette  
 quantité  en mètres),  il suffirait  de  la multiplier  par R  
 COS.  A sin.  1", R  étant le rayon de  la te rre  exprimé en  
 mètres, A la latitude du point A que l’on peut toujours  
 conclure  par  l’estime  d’après  la  station  la  plus  rapprochée  
 pour  laquelle  la  latitude  aura  été  observée. 
 En  effet,  la longueur en mètres d ’un arc  de l’équa-  
 teur  d’une  seconde,  en  considérant  cet  arc  comme  
 une ligne droite, serait R sin.  1".  La grandeur linéaire  
 d’un  arc d’équateur d’un  nombre de  secondes  égal  h  
 X'g serait donc X'g R sin.  1"; or si on veut actuellement  
 avoir la grandeur métrique  d’un arc  de parallèle  dont  
 la  latitude  est A  et  qui  soit compris  entre  les  mêmes  
 méridiens,  il  faudra remplacer R par R  cos. A qui  est  
 le rayon du  parallèle  dont  A  est  la latitude.  La  g ran - 
 d eur métrique  d’un  arc  de  parallèle  dont X'g  indique  
 ie  nombre  de  secondes sera  donc X'g R  cos. A  sin.  1". 
 Si  actuellement  dans  les  équations  (37)  nous rem plaçons  
 l’abscisse  X'g  par  sa  valeur  m é triq u e ,  nous  
 aurons 
 X'.. R COS. Asin.l" 
 k '   COS. y—B' COS.  y'H-G' cos y  \ 
 F—E 
 ou 
 (40) 
 X'gRcos. Asin.  1" (F—E) 
 A'COS.y—B' COS.y'-t-G’cos.y' 
 Par  suite  on  connaîtra  toutes  les  distances  des  
 points B,  G, D, E,  F,  par  rapport à la méridienne et  à  
 la  perpendiculaire  du point A pris pour  origine.  Si  la  
 base,  au lieu  d’être donnée  par  deux  observations de  
 longitudes,  eût été donnée  par  deux  observations  de  
 latitude,  c’eût  été une des ordonnées Y'g par  exemple  
 qui eût été exprimée en secondes de degré. Pour avoir  
 sa  grandeur  en  m è tre s ,  il  eût  suffi  de multiplier Y'^  
 par B sin.  1 ", puis remplacer comme précédemment  
 dans l’équation  (37)  et  on eût déduit 
 Y’g R sin.  1”  (F—E) 
 A’ sin. y — B’  sin. y  H- G’ sin. y 
 Lorsque toutes les  observations au ro n t  été bien faites, 
  toutes les valeurs  de è devront  être identiques,  et  
 offriront un moyen bien simple de vérification pour le  
 travail entier. Toutes les fois que,  par les observations