
 
		(B)  IF =  8/ F 
 - 
 +   S;°F-* 
 -Ç   +  L  +   Ç + ' 
 rU, 
 Un_ 
 o ^O  f  Uj  0C[  Uo OC2 
 K  n"  r  -f- . .   .   , 
 Un OCn“l 
 rU p g p ^   Ujg,   ^  U,  go  ^ 
 n 
 n  X n '  
 _! 
 F ¿\ 
 <5 
 UTn-1 
 F   -i 
 +   8L F rM >   +  H ^   +   H ^   +   UAF 
 F   J 
 Celte  nouvelle  forme  de  l’équation  (A)  se  prête  
 mieux  au  calcul lorsque les  valeurs de  Uo,  U ,,  ü , ,  
 restant  constantes,  la  valeur  de  x   varie  à  chaque  
 in stan t,  parce qu’alors  les seules  quantités à calculer  
 pour  chaque  slalion  particulière,  sont  § T " ,   § T "  ‘,  
 etc.  Ainsi,  appellant  P,  Q, R,  S,  Z les  coeffi-  
 cienls  de  ces  quantités  une fois  calculés pour chacun  
 des  chronomètres,  on  aura  pour  chacun  d’eux  une  
 équation  de  la  forme 
 E, =  P 8: .F   +  Q 8: f - >   +   R s;.F -*   + ........z 8, : f 
 E l  =  P' 8,: F   +   Q' 8: ¿r"-*  +   R' 8,: F - *   + ......   Z' s > ° 
 Les  valeurs  de  8> " ,   S > " - ',  calculées  pour  
 le jour a? que l’on considère étant substituées dans ces  
 formules, donneront les modifications à apporter dans  
 l’état  primitif du chronomètre  pour  conclure les états  
 des jours où  l’on  a  fait des observations. 
 Lorsque  le  navire  est  destiné  à  faire  des observalions  
 hydrographiques,  lorsque  surtout  il  a  pour  
 mission  de  lever  sous  voiles  de  longues  étendues  de  
 cô te ,  la plupart  du  temps  on  est  obligé  de  calculer  
 les  longitudes pour chaque jour de la traversée,  alors  
 il  est préférable de  se  servir de l’équation  (A)  sous  la  
 forme  qüe  nous  lui  avons  trouvée  (B).  Lorsque,  au  
 contraire, le  navire  ne doit fixer la longitude,que des  
 quelques  points  de relâche où  il  a  to uché,  on  économise  
 du  temps  et  des  calculs  en  la  laissant  sous  la  
 forme  (A)^  En  un m o t,  lorsque  le  nombre des chronomètres  
 qui  doivent  concourir  à  la  détermination  
 de  la  longitude  est  plus  grand  que  celui  des  points  
 à  déterminer,  on  se  servira  de  l’équation  (A),  et  
 on  emploiera  l’expression  (B)  dans  l’hypothèse  inverse. 
 On  pourrait  à  la rig u e u r,  dans un voyage  de circumnavigation, 
   faire  concourir  à  la  détermination  
 de  la  courbe  représentant  le mouvement  d’un chronomètre  
 ,  toutes  les  observations de  la  marche  faites  
 pendant  le  cours  de  la  campagne;  mais  alors  pour  
 former les  équations  (A)  ou  (B),  on  serait  conduit  à  
 des  calculs  interminables  et  à  peu  près  inutiles. Si,  
 en  effet,  se  reportant  à  l’équation (A),  on  cherche  à  
 calculer  les  longitudes  comprises  entre  deux  points  
 où  les march?s  observées  ont  été  par  exemple  Up  et  
 Up_^i,  on voit bien  vite  que  les  coefficients  qui  affecten 
 t  les  marches Up_2  et Up+g  sont  très-petits,  et  à  
 plus  forte  raison  ceux  affectant  les marches qui  précèdent  
 et qui  suivent celles-ci sont plus petits encore. 
 H y d r o g r a p h ie ,  I. 
 If 
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