— 2 9 4 —
P = 1 ^ 1 ,1 4 0 1 ,7 8 9
20.48.65 20.28.45 48.28.17 65.45.17
Q = ^ 2 ,3 9 4 ^ 1 5 5 ,7 1 4 ^ 9 6 ,9 0
R = +
12 1 ,6 5 2
20.48.65 20.28.45 ^ 48.28.17 65.45.17
9 6 ,9 4 ^ 4 2 9 9 ,3 6 , 1 4 8 2 ,0 1 7 1 7 ,4 4
20.48.65 20.28.45 ^ 4 8 .2 8 .1 7 65.45.17
T = - 0 ,0 1 8 .6 2 4 0 0
2 0 .4 8 .6 5 = — 0 .0 1 8
Nous avons laissé, avec in tention, les dénominateurs
sous celte fo rm e , afin de pouvoir faire la ré duction
à un même dénominateur avec plus de facilité
, si 011 voulait faire ces calculs directement; pour
nous, nous avons préféré employer les logarithmes
pour calculer chacune de ces fractions, ce qui nous
a conduit aux résultats suivants :
10® P = 0,288 + 54,682 + 49,912— 35,979 = 68,903
10* Q = 0,384 + 61,791 + 42,425— 24,465 = 80,135
10* R = 0 ,î 552 + 1 7 ,0 6 0 + 6,4886—3,4 5 3 9=2 0 ,2 4 9 9
La formule qui servira a donner l’état du n° 4482,
pour chacun des jours de la série comprise entre
Hobart-Town et la Baie des île s , sera donc
(S) E ,= ^ 68,903— ^ 8 0 .1 3 5 + 1 ^ 2 0 .2 4 9 9—
- 2 9 3 -
Si an moyen de celte formule nous voulons calculer
l’état du 11° 4482 un jo u r donné, il suffira d’y remplacer
X par la valeur correspondante ; ainsi par
exemple, pour le 15 m ars, époque où nous étions
moiiillés aux îles Auckland, on aura a ;= 20, d’où
Eoo = 0,044100.68",903 — 0 ,2 8 7 0 .8 0 ,135 +
2,10 .20",2499 — 2 0 .0 ,0 1 8 = 22",20618
résiliât qui ne diffère que dans les millièmes de la
valeur trouvée précédemment
E2o=22",205706
on conclura ensuite la longitude comme nous l’avons
déjà fait.
Chacun des chronomètres exigera le calcul d’une
formule particulière de la forme (5), mais ces équations
une fois bien établies, il sera possible de calculer
rapidement l’état de chaque chronomètre pour
un jo u r quelconque de la traversée et par su ite , les
calculs se trouveront considérablement abrégés lorsque
l’on a beaucoup de longitudes à déterminer.
Généralement, on devra faire concourir les ré sultats
de tous les chronomètres ponr fixer les longitudes
des mouillages, et en su ite , lorsque ceux-ci
seront suffisamment rapprochés, il Suffira, pour calculer
les longitudes intermédiaires des points relevés
sous voiles, d’employer un ou deux chronomètres